Trois lauréats ont été primés lors de la phase finale du Programme CleanTech Innovation Challenge (CTIC), qui s’est déroulée dernièrement à Casablanca, avec la participation de huit jeunes finalistes porteurs de projets d’innovation. Il s’agit de Hanane Rifai, Ghizlane Enaime et Hassan El Hemer qui ont reçu la somme de 10.000 dollars chacun après avoir présenté et défendu leurs projets, dont l’objectif est d’introduire le concept de la production propre aux secteurs du transport, de l’agriculture et du BTP, devant un Jury d’experts. Ces candidats entrepreneurs porteurs de projets d’innovation ont présenté des projets visant à tirer profit de la réutilisation des déchets, de l’énergie solaire, et de l’efficacité énergétique. Cette cérémonie a été marquée par la présence de la consule des États-Unis à Casablanca, Mme. Nicole Theriot, qui a souligné, dans son allocution, l’importance de l’innovation dans le développement économique et l’encouragement des jeunes entrepreneurs. La consule a, par ailleurs, mis l’accent sur les différents projets de coopération entre le Maroc et les États-Unis, notamment dans le domaine de l’entrepreneuriat, de l’énergie et de l’innovation. Initié par le Département d’État américain en partenariat avec MASEN, l’américain VentureWell et Maroc4Invest, le CTIC Maroc est conçu pour encourager la collaboration entre les établissements gouvernementaux, les institutions académiques et le secteur privé afin de maximiser les opportunités offertes par la révolution des technologies propres au Maroc. Le CTIC reflète la reconnaissance partagée par le Maroc et les

États-Unis des menaces posées par le changement climatique et les engagements respectifs des deux pays à poursuivre des stratégies à long terme pour les atténuer.

La production de l’énergie électrique s’est améliorée, en glissement annuel, de 2,7% à fin novembre 2016, selon la Direction des études et des prévisions financières, relavant du ministère de l’Économie et des Finances. Cette performance est imputable à la hausse de la production privée de 3,1% et de celle des projets développés dans le cadre de la loi 13-09 relative aux énergies renouvelables de 38,4%, explique la DEPF dans sa note de conjoncture du mois de janvier, notant que la production de l’Office national de l’électricité et de l’eau (ONEE), qui recouvre une augmentation de la production de l’énergie d’origine thermique (+7,3%) et éolienne (+5,8%), ainsi qu’une baisse de celle hydraulique (-25,8%), a affiché une stagnation au titre des onze premiers mois de l’année 2016. Parallèlement à cette évolution, le volume des importations de l’énergie électrique s’est accru de 6,5% à fin novembre 2016, tandis que l’énergie nette appelée a progressé de 3,2% contre 2,5% à fin novembre 2015. Quant à la consommation de l’énergie électrique, elle s’est améliorée de 3,3% durant les onze premiers mois de l’année écoulée, profitant de la progression de la consommation de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension de 4%, en lien avec l’augmentation de celle des distributeurs (+2%) et celles des autres abonnés, utilisée principalement par le secteur manufacturier (+6,6%). Pour ce qui est de la consommation de l’énergie de basse tension, elle s’est accrue de 0,9%, note la DEPF, ajoutant que dans ces

conditions, le volume des ventes de l’énergie électrique a affiché une hausse de 2,1% à fin novembre 2016, après une augmentation 2% un an plus tôt, soutenu par le renforcement de la consommation de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension de 1,5% et celle de basse tension (+3,8%).

Une rencontre de haut niveau a réuni, mardi 25 janvier à Rabat, des responsables marocains et leurs homologues des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) autour du renforcement de la coopération et de la coordination dans le domaine environnemental et du développement durable, à l’initiative du ministère délégué chargé de l’Environnement. Cette rencontre, à laquelle ont pris part de haut responsables marocains et des pays du CCG, a été l’occasion pour examiner l’échange d’expériences en matière d’élaboration des rapports environnementaux et des communications nationales sur les changements climatiques ainsi que la coordination des efforts

concernant les conventions environnementales et de discuter des projets environnementaux communs. Elle a eu, également, pour objectifs de mettre l’accent sur les opportunités et les défis à relever des deux côtés pour promouvoir leur coopération dans le domaine de la préservation de l’environnement, de la promotion du développement durable et de la lutte contre les changements climatiques. Cette manifestation scientifique, inscrite dans le cadre de la « forte » coopération entre le Maroc et les pays du CCG, se veut aussi une occasion pour mettre en place des bases solides de la coopération dans le domaine environnemental, conformément aux conventions signées entre les deux parties en matière de développement durable et d’environnement, a indiqué le secrétaire général du ministère délégué chargé de l’environnement, Abdelouahed Fikrat. Pour sa part, le ministre de l’Environnement et des affaires climatiques de Sultanat d’Oman, Najib Ben Ali Ahmed Al-Rawas, a affirmé que la coopération dans le domaine de l’environnement est devenue un besoin urgent de par le monde, relevant que les pays arabes sont appelés plus que jamais à renforcer leur coopération en vue de faire face aux phénomènes climatiques qui dépassent les frontières politiques. Il a aussi souligné que les problèmes environnementaux ont pris dernièrement de nouvelles dimensions, ajoutant que les pays du CCG, qui ont consentis d’énormes efforts pour la préservation de l’environnement, ne ménagent aucun effort pour parvenir à des solutions communes en vue de relever ces défis avec le moins de dommages possibles. Cette rencontre, ayant sanctionné une réunion de haut niveau entre le ministère délégué chargé de l’Environnement et les représentants des ministres de l’Environnement des pays du CCG, a été marquée par la présentation de la stratégie nationale marocaine de développement durable ainsi que des exposés d’institutions nationales autour de leur contribution en matière d’appui des politiques de promotion du développement durable et

la lutte contre les changements climatiques. Les représentants des ministères des pays du CCG ont effectué une visite au laboratoire national de lutte contre la pollution environnementale et à l’Agence marocaine de l’énergie solaire (MASEN).

Le projet du parc éolien de Jbel Lahdid (25 km au nord-est d’Essaouira), dont le lancement des travaux est prévu pour cette année, a été présenté, mercredi 26 janvier à Essaouira, par des cadres de l’Office national d’électricité et de l’eau potable (ONEE-Branche électricité), lors d’une journée d’information et d’échanges. D’un investissement global de 11 milliards DH, dont 2,67 milliards DH pour le projet de parc éolien Jbal Lahdid, ce projet d’envergure nationale bénéficiera d’un financement de la Banque européenne de développement (200 millions euros), la coopération maroco-allemande par le biais de KFW (130 millions euros), la Banque africaine du développement (31 millions de dollars et 40 millions euros) et de l’Union européenne (15 millions euros).
Le projet « 
Jbel Lahdid » qui sera érigé sur 2.557 ha, consiste en la construction d’un parc éolien d’une capacité installée totale de 200 Mégawatts. Près de 60 éoliennes seront installées aux crêtes du Jbel Kourati et Jbel Lahdid.
Ce projet remplacera environ 158.103 tonnes équivalent de pétroles et évitera les émissions dans l’atmosphère d’environ 475.200 tonnes de CO2/an.
Ce projet a pour objectifs la valorisation du potentiel marocain d’énergie éolienne et le développement d’une industrie éolienne marocaine par le biais du transfert d’un savoir-faire.
Dans une allocution de circonstance, le gouverneur de la province d’Essaouira, Jamal Makhtatar, a souligné que le projet du parc éolien de Jbel Lahdid s’inscrit dans le cadre de la mise en place de la nouvelle stratégie énergétique du Maroc lancée par SM le Roi Mohammed VI.
Cette stratégie, adoptée en mars 2009, a pour objectifs principaux de sécuriser l’approvisionnement en diverses formes d’énergie, d’en assurer l’accessibilité à des prix optimisés, de rationaliser l’utilisation des sources énergétiques tout en veillant au respect de l’environnement.
La responsable du bureau d’étude a présenté les conclusions de l’Étude d’impact environnemental et social stratégique (EIES) du parc éolien de Jbel Lahdid.
Les éoliennes seront installées loin des agglomérats, a-t-elle assuré, ajoutant que le site sera en harmonie avec son environnement.
« Il n y a pas d’incompatibilité environnementale ou sociale pour
l’installation du parc éolien Jbel Lahdid », a-t-elle conclu.
Les autres intervenants, dont des représentants de la société civile et des élus, ont relevé que ce projet aura un impact positif sur les communes de Moulay Bouzerktoun, Had Dra, Akermoud, Talmest, Kourati, Abdeljalil, Takat, qui sont directement concernées par ce projet.
Ce projet aura aussi des impacts positifs sur l’économie locale, ont-ils noté, ajoutant que le projet contribuera à la création de postes d’emploi durant les étapes de réalisation et d’exploitation, la construction de routes et la construction d’infrastructures dans les communes concernées.
A rappeler que ce projet sera géré par l’Agence marocaine pour l’énergie solaire (MASEN) ou/et l’ONEE-BE.
Organisée par la Province d’Essaouira en partenariat avec l’ONEE-Branche électricité, cette rencontre a connu la participation notamment des chefs des services extérieurs, des représentants d’institutions centrales et régionales concernées par le thème de l’environnement, des chercheurs universitaires de l’Université Cadi Ayyad de Marrakech, des élus et des représentants de la société civile.
Cet événement a permis de présenter les différents aspects du développement du projet envisagé et de répondre aux questions relatives à la phase de construction, à la période d’exploitation, mais également au respect des contraintes d’urbanisme et de la diversité environnementale.

Le président de la Fédération de l’Énergie a pris part les 26 et 27 janvier à Abidjan au Sommet sur la coopération régionale dans le domaine de l’énergie qui a porté sur les opportunités de projets transfrontaliers ainsi que les investissements dans l’ensemble de la région ouest-africaine.

Les communications au cours de cette rencontre se sont intéressées également à la coopération régionale et la livraison d’énergie, l’importance du gaz dans l’accélération du rythme du développement régional, le rôle du secteur privé et les méthodes novatrices pour le financement des projets.

Les travaux de ce sommet ont été animés par :

– S. E. l’honorable Patrick Sendolo, ministre des Mines, des Terres et de l’Énergie de la République du Liberia ; – S. E. le professeur Alpha Oumar Dissa, ministre de l’Énergie, des Mines et des Carrières du Burkina Faso ; – Siengui Ki, Secrétaire exécutif, EEEOA ; – Houssou, ministre de l’Énergie, de l’Eau et des Mines, Bénin ; – Mouhamadou Makhtar Cissé, PDG de Sénélec, Sénégal ; – Paul Marie A. Sagna Lakh, secrétaire général, Commission de régulation du secteur de l’électricité (CRSE), Sénégal ; – Djiby Ndiaye, directeur général de l’Agence nationale pour les énergies renouvelables (ANER), Sénégal ; – Yesufu Longe Alonge, responsable de l’approvisionnement et des contrats d’électricité, NBET, Nigeria ;

– Moussa Ombotimbe, directeur national adjoint de l’énergie, Direction nationale de l’énergie (DNE), Mali ; – Eng. Júlio António Raúl, directeur des énergies renouvelables et de l’énergie nationale, ministère de l’énergie et de l’industrie, Guinée-Bissau ; – Spero Mensah, Président d’Africa Power Group, ancien ministre de l’énergie du Bénin ;

– Ifey Ikeonu, ancienne présidente de l’autorité de régulation de l’électricité régionale de la CÉDÉAO ; – Bernhard van Meeteren, responsable principal des investissements, FMO ; – Romain Py, chef des opérations, African Infrastructure Investment Managers (AIIM) ; – Mamadou Touré, fondateur et PDG, Ubuntu Capital ; – Matthias Adler, chef de division, Infrastructure, secteur financier pour l’Afrique de l’Ouest, KfW ; – Rachid Idrissi Kaitouni, Président de la Fédération marocaine de l’énergie ; – Cassandra Colbert, représentante résidente en Côte d’Ivoire, Société financière internationale ; – Ransome Owan, directeur général du groupe, Aiteo Power, Infrastructure et Immobilier.

Trois lauréats ont été primés lors de la phase finale du Programme « CleanTech Innovation Challenge » (CTIC), qui s’est déroulée vendredi 20 janvier à Casablanca, avec la participation de 8 jeunes finalistes porteurs de projets d’innovation. Hanane Rifai, Ghizlane Enaime et Hassan El Hemer ont reçu la somme de 10 000 dollars chacun après avoir présenté et défendu leurs projets, dont l’objectif est d’introduire le concept de la production propre aux secteurs du transport, de l’agriculture et du BTP, devant un Jury d’experts.

Ces candidats entrepreneurs ont présenté des projets innovants visant à tirer profit de la réutilisation des déchets, de l’énergie solaire, et de l’efficacité énergétique. Pour rappel, le CTIC Maroc est initié par le Département d’Etat américain en partenariat avec la société marocaine MASEN, l’américain VentureWell et Maroc4Invest.

Le premier Salon International de l’Efficacité Energétique, de l’Electricité et des Energies Renouvelables d’Abidjan (SIEENRA), aura lieu du 27 au 29 avril prochain, avec la participation du Maroc comme pays invité d’honneur.

L’annonce a été faite lors d’une cérémonie de présentation de cet événement tenue ce vendredi à Abidjan, en présence notamment de l’ambassadeur du Maroc en Côte d’Ivoire, Abdelmalek Kettani, ainsi que des organisateurs et des représentants des médias.

Le Maroc a participé à la 10è édition du « World Future Energy Summit » (WFES), salon international consacré aux énergies renouvelables, qui s’est tenu du 16 au 19 janvier à Abu Dhabi (Émirats Arabes Unis).
Les acteurs-clés du secteur des énergies renouvelables au Maroc ont été présents au WFES à travers un pavillon national qui présente l’ensemble des projets dans le solaire, l’éolien et l’hydraulique, dans le cadre de la stratégie visant à porter à 52% la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique du Royaume, à horizon 2030.
Ce pavillon a également pour objectif de mettre l’accent sur les programmes d’efficacité énergétique, la dynamique de coopération internationale initiée par le Maroc, en particulier vers l’Afrique, ainsi que sur l’expertise du Royaume en matière de financement de projets.
Le WFES constitue une occasion pour l’Agence marocaine de l’énergie solaire (MASEN), l’Office national de l’électricité et de l’eau (ONEE), l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE), le groupe Alsolen et Taqa Morocco, afin de présenter aux visiteurs les avancées du Maroc en matière de développement des énergies renouvelables et des opportunités d’investissement.
Figurant parmi les salons les plus importants dans le monde avec 32 pays représentés, 600 entreprises, 1000 produits et solutions innovantes, le WFES est le plus grand événement dédié aux énergies renouvelables dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA).

La facture énergétique du Maroc a accusé une baisse de 17,7% à fin 2016, s’élevant à 54,51 milliards de DH au lieu de 66,25 MMDH une année auparavant, selon l’Office des changes.
Cette diminution est due à la réduction des approvisionnements en huile brute du pétrole (-100%), en Gaz de pétrole et autres hydrocarbures (-15,2%) et en houilles, cokes et combustibles solides similaires (-13,5%), explique l’Office des changes qui vient de publier une note sur les indicateurs préliminaires des échanges extérieurs du mois de décembre 2016.
En dépit de la chute enregistrée pour les produits énergétiques, les importations ont augmenté de 9,3%, passant de 372,2 MMDH à 407 MMDH à fin 2016, précise la même source, expliquant cette hausse par l’augmentation des acquisitions de biens d’équipement (+25,7%), de produits alimentaires (+25%), de produits finis de consommation (+15,2%) et de demi-produits (+5%).
Les échanges extérieurs du Maroc ont été marqués par une aggravation du déficit de la balance commerciale de 19,6% à fin décembre 2016, s’établissant à 184,4 MMDH contre 154,2 MMDH, un an auparavant.

Organisé sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, la 6è édition Solaire expo Maroc 2017, rendez-vous professionnel engagé pour soutenir les ambitions du Maroc en matière de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique, se déroulera du 21 au 23 février 2017 à Casablanca.

Cet événement international proposera aux professionnels une vision globale du marché de l’énergie africain et marocain, ainsi que les innovations dans le secteur des énergies renouvelables.
Avec plus de 90 exposants et 9.000 visiteurs attendus en 2017, Solaire Expo proposera, durant trois jours, aux professionnels ou profanes, entreprises ou particuliers, enseignants ou étudiants et visiteurs ou exposants, une plateforme d’échanges, de rencontres et d’affaires pour s’informer, se former, échanger les idées, ainsi que rencontrer les fournisseurs clés du marché.
Selon les organisateurs, ce salon, qui s’inscrit dans le cadre de la politique énergétique du Royaume tracée par SM le Roi Mohammed VI, garantit un impact socio-économique aux opérateurs locaux et internationaux.
Dans ce sens, Rachid Bouguern, initiateur et directeur de Solaire Expo, a souligné l’importance de ce salon, qui constitue une occasion pour « soutenir le développement du secteur de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique au Maroc, tout en vulgarisant l’information et la rendre accessible via des cycles de formation ouverts à titre gracieux ».
Il a également mis l’accent sur la nécessité d’encourager, via les workshops et le concours universitaire, les étudiants à s’intéresser davantage à ce secteur qui représente l’avenir du pays.
Solaire Expo est également considéré comme un point de jonction de visions et d’ambitions entre un contient africain engagé dans l’électrification généralisée, la réduction de la dépendance énergétique, et le reste du monde en quête de nouveaux marchés.

Solaire Expo se propose également d’exporter et de faire valoir l’expertise marocaine à travers l’Afrique.
Il se démarque par son caractère scientifique, eu égard à son engagement dans la réflexion pour le développement du secteur de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique, qui se matérialise par la tenue d’une série de conférences, lesquelles réunissent des acteurs privés et publics, nationaux et internationaux, initiés et profanes du secteur et permettent d’approfondir la réflexion sur le solaire et de partager des expériences réussies.
Au programme de ce salon, des tables rondes thématiques sont prévues pour débattre les dernières tendances du marché et les dernières actualités à travers lesquelles, les acteurs et décideurs nationaux et internationaux exposeront sur les potentialités du Maroc en tant que porte-étendard du continent africain, les opportunités en Afrique, les aspects techniques et environnementaux, le cadre juridique, ainsi que des expériences réussies des pays maghrébins, africains et européens.
De plus, plusieurs thèmes seront débattus tels que l’efficacité énergétique dans l’Industrie et le Bâtiment, la stratégie et les Programmes en EE et EnR au Maroc et en Afrique, l’Audit énergétique, les techniques et applications du solaire Thermodynamique, les techniques et applications du solaire PV (connecté au réseau et pompage).

La 6ème édition sera marquée, et pour la 4e fois consécutive, par l’organisation du Concours Universitaire de la Recherche et de l’Innovation (CURI 2017), qui aura pour objectif principal, la promotion et la simulation de la recherche et de l’innovation dans les universités et écoles supérieures publiques marocaines.
En 2016, le salon avait accueilli plus de 75 exposants et 5.400 visiteurs professionnels de différents secteurs du monde entier.