Le taux d’épuration des eaux usées est passé de 5 % en 1999 à plus de 71 % à fin 2016, a fait savoir, le 30 mars à Ifrane, la Directrice de la Coopération et Communication à l’ONEE- Branche-eau, Asma El Kasmi, à l’occasion de la présentation du Rapport mondial des Nations unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2017 sous le thème « les eaux usées, une ressource inexploitée ».

D’après la même source, cette performance a été rendue possible grâce à 113 stations d’épuration des eaux usées (STEP) fonctionnelles, dont 93 réalisées par l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE) et d’autres par les autres distributeurs dans les grandes villes.

Cinquante nouvelles STEP additionnelles sont en développement pour traiter l’accroissement de l’urbanisation et de la population que connait le pays, a ajouté El Kasmi, également, présidente de la Chaire UNESCO « Eau, femmes et pouvoir de décisions » à l’Université Al Akhawayn.

Professeur El Kasmi a souligné que le rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources montre que la gestion améliorée des eaux usées implique aussi bien la réduction de la pollution à la source que l’élimination de contaminants des flux d’eaux usées, la réutilisation des eaux récupérées et la récupération de sous-produits utiles.

Le Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau est le fruit de la collaboration des 31 entités des Nations Unies et des 37 partenaires internationaux qui constituent l’ONU-Eau.

MASEN (Moroccan Agency for Sustainable Energy), l’OFPPT (Office de formation professionnelle et de promotion du travail) et le groupe d’ingénierie et construction SENER ont signé, le 28 mars à Rabat, une convention de partenariat pour la formation d’une centaine de jeunes aux métiers liés à l’énergie solaire à concentration, dans le cadre des préparatifs au lancement de la phase d’exploitation des centrales Noor Ouarzazate II et Noor Ouarzazate III dans la région de Ouarzazate. 
Le complexe solaire Noor, développé par MASEN, a été conçu comme un projet intégré pour optimiser ses impacts socio-économiques, avec notamment une forte volonté d’accompagner le développement des compétences techniques nationales, et de favoriser l’emploi local.

Cette volonté s’est traduite dès le lancement de la construction des projets de MASEN, par la mise en œuvre de synergies entre opérateurs nationaux et internationaux. 
Les entreprises marocaines et leurs ressources humaines ont ainsi été largement mises à contribution. Ainsi pour Noor Ouarzazate II et III, le taux d’intégration industrielle envisagé dépasse celui de Noor Ouarzazate (30%), pour atteindre 35 %. 
La convention signée par MASEN, l’OFPPT et SENER porte sur une offre de formation en relation avec les besoins de la phase exploitation des centrales Noor Ouarzazate II et Noor Ouarzazate III. Elle prévoit notamment de favoriser le capital humain local à travers la formation, en collaboration avec l’OFPPT d’une centaine de jeunes en collaboration avec l’OFPPT, issues majoritairement de la région de Ouarzazate. Les candidats retenus suivront une formation qualifiante d’environ 3 mois à partir d’avril 2017, à l’issue de laquelle ils recevront une attestation de formation sur l’énergie solaire à concentration.
Les formations, programmées en deux sessions (avril et septembre), qualifieront des techniciens et opérateurs qui participeront au fonctionnement des projets. SENER sélectionnera parmi les candidats formés une soixantaine de personnes qui seront embauchées sur les sites Noor Ouarzazate II et Noor Ouarzazate III.

Le Maroc est devenu, le 6 avril, membre du bureau exécutif du Conseil des ministres arabes en charge de l’électricité pour les deux prochaines années.
Le Conseil, réuni dans le cadre de sa 12è session au siège de la Ligue arabe au Caire, a approuvé la composition de son nouveau bureau exécutif qui est présidé par l’Egypte et comprend parmi ses membres, outre le Maroc, les Emirats arabes unis, le Soudan, la Mauritanie, la Jordanie, l’Arabie Saoudite et la Libye.
Dans des recommandations formulées à l’issue des travaux de la 12è session, le Conseil a salué la coopération avec l’Agence internationale pour les énergies renouvelables, donné son accord de principe pour le tenue d’une réunion ministérielle conjointe début 2018, en marge des réunions de l’Agence, et chargé son secrétariat en coordination avec le secrétariat de l’Agence de faire le suivi des préparatifs nécessaires pour prendre part à cette réunion.
Le Conseil s’est félicité également de la poursuite de la coopération avec la Fondation Euro-arabe, comme il a chargé son secrétariat à coordonner en vue de la mise en œuvre du programme de formation commun pour l’année 2017 sur l’énergie durable.
Le Conseil a également demandé à son secrétariat de veiller à la préparation du congrès prévu avec la Banque mondiale courant cette année et accueilli favorablement la participation à ce congrès de l’instance en charge de la connexion électrique dans les pays de Conseil de coopération du Golfe (CCG) arabe.
Le Conseil a, par ailleurs, appelé les pays arabes qui disposent d’une instance de régulation de l’électricité à adhérer au Forum arabe des régulateurs de l’électricité et à intensifier leur participation aux activités menées par le Forum.
Lors de sa session, le Conseil a examiné plusieurs sujets, dont le développement des projets de connexion électrique dans le monde arabe et du marché arabe commun de l’électricité, l’activation des mécanismes de coopération avec la Banque mondiale en vue d’élaborer le plan exécutif de création du marché arabe commun de l’électricité.
Le Maroc a été représenté aux travaux de la 12è session du Conseil des ministres arabes de l’électricité par l’ambassadeur du Royaume au Caire et son délégué permanent auprès de la Ligue arabe, Ahmed Tazi.

SM le Roi Mohammed VI a inauguré, le 1er avril, le chantier de la quatrième et dernière tranche du programme solaire Noor à Ouarzazate. Ce dernier déploiera à terme une capacité totale de 582 mégawatts (MW).

Noor VI, qui sera développé sur une superficie de 137 hectares, est d’une capacité de 72 MW et utilisera la technologie photovoltaïque du type « polycristallin avec un système de tracking à un axe ». La maturité de cette technologie dans un marché en forte croissance en fait une solution très compétitive pour le Maroc.

La réalisation de la centrale Noor IV s’inscrit en droite ligne des engagements internationaux du Royaume concernant la baisse des émissions de gaz à effet de serre et de son objectif majeur de porter la part des énergies renouvelables dans le mix électrique national à 52% à l’horizon 2030.

La quatrième tranche du programme solaire Noor Ouarzazate nécessitera un investissement de 750 millions de dirhams, dont 659 millions de dirhams financés par KFW, Bankengruppe.

La centrale Noor Ouarzazate IV, dont la mise en service est prévue pour le premier trimestre 2018, sera développée dans le cadre d’un partenariat associant MASEN, acteur central des énergies renouvelables au Maroc, et un consortium d’opérateurs privés mené par le groupe ACWA POWER et sélectionnée suite à un appel d’offres international.

La phase d’exploitation sera opérée, selon un schéma de production indépendante (Independent Power Production – IPP) tripartite intégrant l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE). Le tarif de sortie du kilowattheure de Noor Ouarzazate IV s’établira à 0,44 dirham, coût parmi les plus compétitifs jamais obtenu sur le marché mondial du photovoltaïque.

Par ailleurs, le taux d’avancement des travaux de la deuxième et troisième centrale du complexe solaire Noor (Noor II et Noor III), lancé par le Souverain le 4 février 2016, ont atteint, respectivement, les 76 et 74 % et adoptent également le schéma de production IPP.

D’une puissance de 200 MW, la centrale Noor II est développée sur une surface maximale de 680 ha, sur la base de la technologie thermo-solaire (CSP), avec capteurs cylindre parabolique. Pour sa réalisation, plus de 3.870 employés ont été mobilisés à ce jour, et 53 entreprises interviennent pour sa concrétisation, dont 43 entreprises marocaines.

La centrale Noor III est, quant à elle, développée sur une surface de 750 ha en utilisant la technologie thermo-solaire (CSP) avec Tour, et aura une puissance de 150 MW. Plus de 2.520 employés ont été mobilisés à ce jour pour sa réalisation, et 53 entreprises, dont 40 marocaines, y sont intervenues.

Les centrales Noor Ouarzazate II, III et IV, combinés à la Centrale Noor Ouarzazate I (160 MW), mise en service en février 2016, font de Noor Ouarzazate le plus grand site de production solaire multi-technologique au monde. Le complexe Noor Ouarzazate abrite également une tour belvédère offrant une vue panoramique de l’ensemble du site, ainsi qu’un poste central de sûreté, que le Roi a visité en ce jour.

À terme, le complexe comprendra aussi un parc à thèmes (MASEN Park) de 16 hectares dont le tracé reproduit celui de la carte du Royaume, ainsi que des équipements structurants, dont une plateforme Recherche et développement, un bâtiment multifonction comprenant des espaces dédiés à l’exploitation et au fonctionnement du site, un auditorium et une médiathèque.

Le Maroc est devenu, le 6 avril 2017, membre du bureau exécutif du Conseil des ministres arabes (CMA) en charge de l’électricité pour les deux prochaines années.

Le Conseil, réuni dans le cadre de sa 12ème session au siège de la Ligue arabe au Caire, a approuvé la composition de son nouveau bureau exécutif qui est présidé par l’Egypte et comprend parmi ses membres, outre le Maroc, les Emirats arabes unis, le Soudan, la Mauritanie, la Jordanie, l’Arabie Saoudite et la Libye.

A noter que le Maroc a été représenté aux travaux du Conseil par l’ambassadeur du Royaume au Caire et son délégué permanent auprès de la Ligue arabe, Ahmed Tazi.

Avec le lancement par Sa Majesté le Roi Mohammed VI des travaux de réalisation de la Centrale Noor Ouarzazate IV, le Complexe Noor Ouarzazate, le plus grand complexe énergétique au Monde, arrive à sa dernière ligne droite.
Etendu sur plus de 3.000 hectares, Noor Ouarzazate est constitué de quatre centrales solaires multi-technologiques, développées en total respect des normes internationales, tant au niveau technologique qu’environnemental, et associées à une plateforme de recherche et développement qui s’étend sur plus de 150 hectares.
D’une capacité pouvant atteindre 160 MW, la première Centrale du Complexe Noor Ouarzazate (Noor I), mise en service en février 2016 par SM le Roi Mohammed VI, adopte le procédé de production dit IPP (Independent Power Producer). Cette centrale, développée sur une surface d’environ 480 hectares, fait appel à la technologie thermo-solaire (CSP) à capteurs Cylindro-Paraboliques avec une capacité de stockage thermique prévue de trois heures à pleine puissance.
La deuxième et troisième centrale du complexe solaire Noor Ouarzazate (Noor II et Noor III), dont le taux d’avancement des travaux de réalisation atteint, respectivement, les 76 et 74 %, adoptent également le schéma de production IPP. La centrale Noor II, d’une puissance de 200 MW, est développée sur une surface maximale de 680 ha, sur la base de la technologie thermo-solaire (CSP), avec capteurs cylindro-paraboliques.
La centrale Noor III est, quant à elle, développée en utilisant la technologie thermo-solaire (CSP) avec Tour, et aura une puissance de 150 MW. Elle s’étalera sur une surface maximum de 750 ha.
La dernière tranche du Complexe solaire Noor (Noor IV), lancée en ce jour par le Souverain, sera développée sur une surface d’environ 137 ha en utilisant la technologie photovoltaïque (Photovoltaïque polycristallin avec système de tracking), avec une puissance installée à la pointe de 72 MW. La technologie photovoltaïque permet de produire de l’énergie électrique directement à partir du rayonnement solaire capté par des cellules semi-conductrices. La maturité de cette technologie dans un marché en forte croissance en fait une solution très compétitive pour le Maroc.
Ces quatre projets feront du Complexe Noor Ouarzazate le plus grand site de production solaire multi-technologique au monde avec une capacité totale de 582 MW et un investissement de 2 milliards d’euros, sans compter les infrastructures communes développées par Masen et l’ONEE pour les besoins des développeurs. Ces infrastructures servent les besoins de connexion électrique, de transport routier, d’adduction en eaux brute et potable, de drainage, de télécommunication et de sécurité.
Enfin, ces projets ont également été l’occasion d’activer les leviers de développement socio-économique à travers la mise en place d’actions dans la santé, l’éducation, l’agriculture, l’entreprenariat et l’animation culturelle et sportive. Ainsi, plus de 20.000 personnes ont pu bénéficier de ces mécanismes de solidarité, plus de 30 douars ont pu être alimentés en eau potable et 4 d’entre eux reliés au réseau routier national, réduisant ainsi leur désenclavement territorial.
Outre le complexe « Noor-Ouarzazate », le plan solaire « Noor » prévoit la construction d’une série de centrales solaires multi-technlogiques à Midelt, Laâyoune, Boujdour et Tata, pour une capacité minimum de 2.000 MW.
Avec tous ces projets énergétiques, le Maroc serait capable de satisfaire ses engagements internationaux relatifs à la baisse des émissions de gaz à effet de serre et d’atteindre son objectif majeur de porter la part des énergies renouvelables dans le mix électrique national à 52 % à l’horizon 2030.
Les énergies renouvelables, qui permettent au Royaume de faire face à ses besoins croissants en énergie tout en améliorant sa sécurité énergétique, constituent une réponse, la plus juste et visionnaire, aux problématiques liées à la lutte contre les changements climatiques.

Quatre projets académiques d’étudiants marocains dans le domaine des technologies vertes et des énergies renouvelables ont été primés, le 29 mars à Rabat, par l’Agence marocaine pour les énergies renouvelables (MASEN) dans le cadre de la 4e édition de son « Prix d’Excellence ». Un jury composé d’enseignants, de chercheurs ainsi que d’un représentant de MASEN, a remis le premier prix de la catégorie « Industrie » à Ismail Drhorhi de l’Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Kenitra, pour son travail sur le sujet « Amélioration du raccordement du parc éolien de Lafarge Tétouan II au réseau électrique, en concevant un circuit qui permet de garder la connexion des éoliennes même en cas des défauts du réseau électrique ». Dans la catégorie « Développement durable », l’étudiante Ibtissam Bensaadout de l’Ecole Mohammadia d’Ingénieurs, s’est vue décerner le premier prix pour son travail relatif à la « Conception d’un bâtiment à énergie positive : application à la tour Casablanca Finance City ». De même, Achraf El Kasmi de la Faculté des Sciences et Techniques de Tanger a été primé pour son travail de recherche sur le sujet « Dépôt chimique en phase vapeur assisté par pulvérisation pulsée (PSECVD) pour la synthèse de matériaux fonctionnels avec des propriétés catalytiques et optiques en vue des utilisations dans les domaines de l’environnement et l’énergie » et ce, dans la catégorie « Recherche appliquée ». S’agissant de la catégorie « Innovation », l’étudiante Laila Sedki de l’Ecole Mohammedia d’Ingénieurs, a été primée pour son travail sur le sujet « Système d’éclairage solaire par fibre optique ». Ces lauréats se sont vus remettre, à l’issue de la cérémonie de remise des prix, un chèque d’une valeur de 30.000 dirhams, alors que d’autres

étudiants, qui se sont vus décernés les 2e et 3e prix dans chacune des catégories, ont reçu, outre des attestations, un kit de matériel informatique. Intervenant à cette occasion, le Président de MASEN, Mustapha Bakkoury, a souligné que cette initiative a pour principale ambition de « garantir une bonne transition entre le monde académique et le milieu entrepreneurial ». C’est une manière d’encourager les lauréats de ce prix d’Excellence, mais aussi de renforcer les capacités des étudiants marocains dans le domaine des technologies vertes, en les incitant notamment à s’orienter vers les thématiques liées aux technologies vertes. Selon la Présidente du Jury, Touria Barradi, ancienne directrice de l’Ecole nationale supérieure d’électricité et mécanique (ENSEM) de Casablanca, cette édition se distingue par la présence des quatre catégories sur le podium, ainsi que l’offre d’une récompense pécuniaire, notant que les candidatures qui ont connu une forte augmentation (75 participants) cette année, ont été toutes effectuées en ligne. Elle a également mis en relief la forte présence géographique, ainsi que la consolidation de la composante genre qui a largement caractérisé cette 4ème édition du Prix d’Excellence de MASEN. Lancé par MASEN en 2013, le Prix d’Excellence est organisé en partenariat avec l’Agence de Coopération Internationale Allemande pour le Développement (GIZ). Cette initiative met à l’honneur les meilleurs travaux académiques, ainsi que les projets d’études ou de recherche d’étudiants portant sur les énergies renouvelables et leurs applications.

Vivo Energy Maroc et l’association TIBU Maroc ont inauguré leur premier centre de basketball à Mohammedia en présence des autorités de la région et de jeunes bénéficiaires accompagnés de leurs parents. Situé dans les locaux de l’école publique Ibn Habbous dans le quartier Aliyah, cette structure a pour objectif la première année de former au basketball une centaine de jeunes âgés de 8 à 12 ans. Trois terrains sont mis à leur disposition dans le cadre de deux classes de formation.

L’encadrement est composé de sept personnes qui veillent sur leur perfectionnement. Les entraînements sont dispensés tous les mercredi après-midi, ainsi que les samedi et dimanche matin. Dans une approche d’inclusion communautaire, des ateliers de coaching familial et de renforcement des capacités seront proposés aux parents d’enfants

bénéficiant des cours du centre. Vivo Energy Maroc fait de l’éducation un axe majeur de son action citoyenne. L’entreprise contribue au développement d’un large choix de programmes éducatifs. Ils sont destinés aux enfants et aux jeunes dans le but de lutter contre l’abandon scolaire, encourager l’entrepreneuriat, l’apprentissage et l’insertion professionnelle. La promotion du basketball auprès des jeunes s’inscrit dans cette dynamique de faire du sport scolaire un moyen d’action efficace en faveur du soutien à l’éducation.

La Secrétaire générale de l’Agence marocaine pour l’Efficacité Énergétique (AMEE), Sonia Mezzour, s’est vue décerner le « Prix de l’Excellence Marocaine » par le Club PPP MédAfrique et le Groupe Edifice Capital, pour son « remarquable travail en faveur des Partenariats public-privé (PPP), plus particulièrement en matière énergétique et de développement durable ». Ce prix a été remis à Mme Mezzour, à l’occasion des 10es Rencontres Internationales des PPP qui se sont tenues à Paris le 22 mars, et ce en raison de « son dynamisme, sa contribution et de son excellente connaissance du terrain en matière de PPP », a-t-on indiqué auprès du Club PPP MédAfrique et du Groupe Edifice Capital, qui notent que « le Maroc peut se targuer d’être un pionnier dans ce secteur ». Le jury a été présidé par Marc Teyssier d’Orfeuil, Délégué Général du Club PPP MédAfrique et Nicolas Boudeville, Président du Groupe Edifice Capital, par ailleurs très actif sur le continent africain.