Les bassins sédimentaires marocains restent encore sous-explorés malgré le fait qu’ils présentent des systèmes pétroliers potentiellement favorables à l’accumulation de gisements d’hydrocarbures, a affirmé la directrice générale de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), Amina Benkhadra. Le nombre total de puits forés à fin juin 2017 est de 340 dont 43 en offshore, soit une densité moyenne de 4 forages par 1.000 Km² contre 10 par 100 Km² à l’échelle mondiale, a indiqué Mme Benkhadra dans une interview à la MAP. En dépit de la conjoncture difficile que traverse actuellement le secteur énergétique mondial avec notamment l’impact de la baisse du cours du pétrole sur les investissements dans les projets d’exploration et de production des hydrocarbures, l’ONHYM poursuit avec détermination son rôle de catalyseur de l’exploration pétrolière en multipliant les actions de promotion du potentiel des bassins sédimentaires marocains auprès de l’industrie pétrolière internationale, a assuré Mme Benkhadra. Le but est à la fois de maintenir et développer les partenariats existants, et d’attirer de nouveaux investisseurs pour continuer à dynamiser la reconnaissance et l’évaluation du potentiel des bassins sédimentaires marocains. Mme Benkhadra a fait observer que plus d’une vingtaine de sociétés pétrolières opèrent actuellement au Maroc, en partenariat avec l’ONHYM, et que des négociations sont en cours avec quatre autres compagnies internationales de renom.

Jusqu’à présent, la superficie couverte par les travaux d’exploration s’élève à 180.121.42Km² et portent sur 87 permis de recherche, huit autorisations de reconnaissance et autant de concessions d’exploitation. S’agissant du montant des investissements en exploration pétrolière, la directrice générale de l’ONHYM a indiqué que ceux-ci ont atteint lors de la période 2010-2016, près de 16 milliards de dirhams, dont 98 % supportés par les partenaires. Pour 2017 et à fin août, ces investissements s’élèvent à 466,9 millions de dirhams pour les partenaires et 18,8 millions pour l’ONHYM, a-t-elle indiqué, notant que ceux-ci pourraient se chiffraient à la fin de l’exercice à 1,3 milliard de dirhams pour les partenaires contre 36,4 millions de dirhams pour l’ONHYM. Mme Benkhadra a en outre fait observer que les efforts de l’ONHYM et de ses partenaires en exploration pétrolière ont été couronnés par la découverte de gisements productifs de gaz dans le bassin du Gharb et de gaz et condensat dans le bassin d’Essaouira, relevant que les récents travaux de forage réalisés sur la zone de Tendrara, située dans le bassin des Hauts Plateaux ont également confirmé la présence de gaz naturel dans cette zone. Elle a précisé à ce propos que l’ONHYM et ses partenaires ont réalisé entre 2016 et début 2017, le forage de trois puits d’exploration dans la zone de Tendrara, soulignant que l’évaluation de faisabilité économique du gisement est en cours, y compris la certification des réserves, et que la mise en production de cette découverte est prévue pour 2019. Et en vue d’assoir le potentiel pétrolier de tout le bassin de Tendrara, l’ONHYM et ses partenaires ont démarré, en août 2017, un programme d’acquisition de nouvelles données sismiques et gravimétriques, a-t-elle poursuivi. Pour ce qui est des gisements découverts dans l’onshore du bassin du Gharb, Mme Benkhadra a indiqué que bien qu’ils soient de petite taille, ils sont économiquement intéressants en raison de l’existence, sur place, d’un réseau de gazoducs avec plusieurs stations de séparation ainsi que la proximité de plusieurs industries de la province de Kenitra, ce qui permet de les rentabiliser. Encouragée par ces résultats, la directrice générale de l’ONHYM s’est dite optimiste quant à la possibilité de réaliser des découvertes majeures dans le futur, grâce à un effort d’investissement soutenu et à une dynamique maitrisée combinant études, évaluations et promotion des bassins sédimentaires marocains. Elle a signalé à cet égard que les prévisions budgétaires pour 2018 en termes

d’investissement sont de l’ordre de 124 millions de dirhams pour l’ONHYM, contre près 1,34 milliard de dirhams pour les partenaires. Durant la période 2017-2021, l’ONHYM prévoit l’acquisition de 3.350 Km de sismique 2D dans le nord du Maroc et dans les provinces Sud, alors que les partenaires de l’Office comptent au cours de cette même période acquérir 2.200 Km de sismique 2D, 15.600 Km² de sismique 3D et réaliser 24 forages d’exploration. Elle a également fait part de la détermination de l’ONHYM de poursuivre, par ses moyens propres, ses efforts de mise en valeur du potentiel pétrolier des différents bassins sédimentaires notamment au niveau des régions de Tanger-Tétouan-Al Hoceima et Rabat-Salé-Kénitra, faisant remarquer que deux programmes sismiques 2D sont planifiés dans les deux prochaines années dans les provinces sud du Royaume portant sur 1.000 Km et 1.500 Km respectivement sur Le bassin de Zag (2018) et d’Al Haggounia (2019). De leur côté, les partenaires de l’ONHYM prévoient en 2018 l’acquisition de 1.755 Km de sismique 2D, essentiellement sur Tendrara, 5.200Km² de sismique 3D sur Boujdour offshore et le forage de quatre puits d’exploration dont un en offshore, a-t-elle conclu.

La Fédération nationale de l’électricité, de l’électronique et des énergies renouvelables (FENELEC) organise, du 4 au 7 octobre 2017 à la Foire de Casablanca, trois salons internationaux dédiés aux différentes branches et activités du secteur. Il s’agit de la 11e édition d’Elec Expo, un salon consacré à l’électricité, à l’éclairage, à l’électrotechnique et à l’automatisation industrielle, ainsi que la 6ème édition d’EneR Event portant sur les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique. La FENELEC tiendra, par la même occasion, la 5e édition de Tronica Expo réservé aux composants, systèmes et applications électroniques. Les trois événements sont considérés comme le rendez-vous annuel qui réunit l’ensemble des intervenants et experts dans les trois secteurs : électricité, énergies renouvelables et composants électroniques. Plus de 160 entreprises exposeront lors de l’édition 2017, en provenance d’Allemagne, de France, d’Italie, de Chine, du Japon, de Turquie, d’Espagne, du Portugal et du Maroc. Comme chaque année, dans le cadre de la stratégie Maroc Export Plus, des délégations africaines composées d’une centaine de donneurs d’ordres prendront part aux activités des trois salons. En marge des visites, des rencontres B2B et des tables rondes seront programmées.

Les participants viennent de 16 pays africains, à savoir l’Algérie, le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Côté d’Ivoire, le Gabon, Madagascar, le Mali, la Mauritanie, le Niger, la République du Congo, la RD Congo, le Sénégal, le Tchad, le Togo et la Tunisie. Des conférences et des tables rondes prévues par le comité scientifique animeront les sessions du Forum Afrique Global Elec, avec la participation des principaux acteurs publics et privés dans le Royaume. Les organisateurs s’attendent à recevoir quelque 12.000 opérateurs professionnels, architectes, promoteurs immobiliers, ingénieurs, techniciens investisseurs, directeurs, consultant, en plus des partenaires institutionnels.

Les participants au « Sommet des leaders mondiaux de l’énergie », organisé du 12 au 14 septembre à Mexico par le Conseil mondial de l’Energie (CME), ont invité les gouvernements des pays de l’Amérique latine et de l’Afrique à tirer profit de l’expérience marocaine en matière des énergies renouvelables. Lors des travaux de ce sommet, organisé sous le thème « Énergie en transition: mener par le changement », un intérêt particulier a été manifesté par le Conseil mondial de l’Energie pour le partage de l’expérience marocaine notamment avec les pays de l’Amérique latine et de l’Afrique, a souligné le secrétaire général du ministère de l’Energie, des Mines et du Développement durable, Abderrahim El Hafidi, qui représentait le Maroc à cet événement planétaire. Après avoir présenté les évolutions du secteur énergétique marocain durant les 10 dernières années et l’attractivité de son business model pour le Développement des projets des énergies renouvelables, M. El Hafidi a mis l’accent, lors de son intervention, sur les conditions de coexistence maîtrisée durant la période de la transition énergétique, entre l’ancien modèle basé sur les combustibles fossiles (notamment pour le base load et le back up

flexible), et le nouveau modèle basé sur les énergies renouvelables et l’introduction des technologies flexibles et des Smarts Grid dans le système électrique national. L’accent a également été mis sur les dernières tendances en matière de repositionnement des technologies fossiles particulièrement les CCGT (combine cycle gas turbine), les USCCF (Ultra Super Critique Coal Fire) et les (pumping storage by sea water), notamment en matière de flexibilité offerte au niveau du système électrique. M. El Hafidi a soulevé à cette occasion la problématique des coûts échus du KWH produit de sources renouvelables et la nécessité de sa prise en charge par les nouveaux systèmes tarifaires. En marge des travaux de ce sommet, le secrétaire général du ministère de l’Énergie a eu des entretiens avec des chefs d’entreprises actives au niveau international dans le domaine des énergies renouvelables qui ont manifesté leur intérêt d’investir au Maroc et participer à la mise en œuvre des projets des énergies renouvelables, ainsi qu’avec des responsables d’organisations internationales actives dans le domaine de l’énergie.

Le Maroc s’est engagé à investir 40 milliards de dollars à l’horizon 2030 pour développer le secteur énergétique, a fait savoir, dimanche 17 septembre à Manama, le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah. « Le Royaume a réussi, grâce à une stratégie ambitieuse, à transformer ses défis en véritables opportunités d’investissement, à travers son engagement dans des projets visant le développement du secteur énergétique d’une valeur de 40 milliards de dollars à l’horizon 2030, dont 75% est consacré aux énergies renouvelables », a indiqué M. Rabbah, dans une allocution à l’ouverture du premier forum d’investissement en énergie (Step 2017). Le ministre a noté que la transition énergétique a commencé à porter ses fruits, relevant que la part de l’éolien et du solaire dans la puissance électrique installée, qui n’était que de 2% début 2009, a atteint 13% en 2016. Cette transition a permis de réduire le taux de dépendance énergétique, qui est passé de 98% en 2008 à 93,3% en 2016, a souligné M. Rabbah, ajoutant que les énergies renouvelables ont contribué avec plus de 13% en 2016 pour répondre à la demande en énergie, contre 2,13% en 2008. Le ministre a rappelé que l’année 2016 a été marquée par plusieurs événements phares, avec notamment l’entrée en service de la station solaire “Noor-Ouarzazate I” d’une capacité de 160 MW de technologie thermosolaire concentrée (CSP) à capteurs cylindro-paraboliques avec 3 heures de stockage thermique et de Noor II et Noor III avec des capacités de stockage respectives de 5 à 6 heures et de 5 à 8,5 heures. L’année 2016 a connu également la mise en oeuvre de la feuille de route pour le développement du photovoltaique, visant à développer l’utilisation de ce procédé dans la production de l’électricité, a indiqué M. Rabbah, rappelant le lancement d’un programme pour la mise en place de centrales solaires photovoltaiques d’une capacité de 400 MW, dont les projets « Noor Tafilalet » (100 MW), « Noor Atlas » (200 MW) et « Noor Argana » (100 MW). Par ailleurs, le ministre a noté que le Maroc oeuvre pour renforcer l’interconnexion électrique avec les pays voisins, notamment le projet Maroc-Portugal, en cours d’étude, avec une capacité de 1.000 MW, le projet

d’une troisième interconnexion de 700 MW avec le voisin espagnol, ainsi que d’autres projets avec les pays de l’Afrique subsaharienne, à travers la Mauritanie. Il a, en outre, relevé que le Maroc accorde un grand intérêt à la formation dans le domaine des énergies renouvelables, avec le développement d’un réseau de centres de formation dans les métiers des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, ainsi qu’à la recherche, avec la mise en place du Green Energy Park, une plateforme de test, de recherche et de formation en énergie solaire située dans la ville verte de Ben Guerir, la première du genre en Afrique. En matière d’efficacité énergétique, le ministre a indiqué qu’une stratégie a été mise en oeuvre, visant à atteindre 20% d’économie en énergie à l’horizon 2030. Le forum Step 2017, qui a connu la participation de ministres, d’experts dans le domaine des énergies renouvelables et des chefs d’entreprises et d’institutions d’investissement, s’est penché sur les sources d’énergie renouvelable au Bahrain, l’avenir de l’énergie dans le monde, les défis du développement des énergies renouvelables et les expériences réussies en la matière.

La production de l’énergie électrique a augmenté à fin juillet 2017 de 2,1%, après une hausse de 0,4% un an auparavant, indique la Direction des études et des prévisions financières (DEPF), relevant du ministère de l’Économie et des finances.
Cette évolution découle, notamment, de la bonne tenue de la production de l’ONEE (+7,6%) et de celle des projets développés dans le cadre de la loi 13-09 relative aux énergies renouvelables (+16,7%), atténuée par le recul de la production privée de 1,4%, explique la DEPF dans sa note de conjoncture du mois de septembre.
Dans ces conditions, le volume des importations de l’énergie électrique s’est inscrit en hausse de 15,3%, à fin juillet 2017, après +12,2% un an plus tôt, pour ramener la progression de l’énergie nette appelée à +5,3%, après +2% à fin juillet 2016, ajoute la DEPF.
Du côté de la consommation de l’énergie électrique, elle s’est appréciée, durant la même période, de 4,3% en une année, après +1,2% un an auparavant, relève la note, qui explique cette évolution par la consolidation des ventes de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension (+4,7%, après +0,6%), impulsée par la bonne tenue de celles adressées, principalement, au secteur industriel (+7% après -0,1%) et de celles attribuées aux distributeurs (+3,1% après +1%).
Quant à la consommation de l’énergie de basse tension, elle s’est accrue, à fin juillet 2017, de 2,7% comparativement à la même période de l’année précédente, révèle la même source.

 

Les participants au « Sommet des leaders mondiaux de l’énergie », organisé du 12 au 14 septembre à Mexico par le Conseil mondial de l’Energie (CME), ont invité les gouvernements des pays de l’Amérique latine et de l’Afrique à tirer profit de l’expérience marocaine en matière des énergies renouvelables. Lors des travaux de ce sommet, organisé sous le thème « Énergie en transition: mener par le changement », un intérêt particulier a été manifesté par le Conseil mondial de l’Energie pour le partage de l’expérience marocaine notamment avec les pays de l’Amérique latine et de l’Afrique, a souligné le secrétaire général du ministère de l’Energie, des Mines et du Développement durable, Abderrahim El Hafidi, qui représentait le Maroc à cet événement planétaire. Après avoir présenté les évolutions du secteur énergétique marocain durant les 10 dernières années et l’attractivité de son business model pour le Développement des projets des énergies renouvelables, M. El Hafidi a mis l’accent, lors de son intervention, sur les conditions de coexistence maîtrisée durant la période de la transition énergétique, entre l’ancien modèle basé sur les combustibles fossiles (notamment pour le base load et le back up flexible), et le nouveau modèle basé sur les énergies renouvelables et l’introduction des technologies flexibles et des Smarts Grid dans le système électrique national. L’accent a également été mis sur les dernières tendances en matière de repositionnement des technologies fossiles particulièrement les CCGT (combine cycle gas turbine), les USCCF (Ultra Super Critique Coal Fire) et les (pumping storage by sea water), notamment en matière de flexibilité offerte au niveau du système électrique. M. El Hafidi a soulevé à cette occasion la problématique des coûts échus du KWH produit de sources renouvelables et la nécessité de sa prise en charge par les nouveaux systèmes tarifaires. En marge des travaux de ce sommet, le secrétaire général du ministère de l’Énergie a eu des entretiens avec des chefs d’entreprises actives au niveau international dans le domaine des énergies renouvelables qui ont manifesté leur intérêt d’investir au Maroc et participer à la mise en œuvre des projets des énergies renouvelables, ainsi qu’avec des responsables d’organisations internationales actives dans le domaine de l’énergie.

Le Maroc s’est engagé à investir 40 milliards de dollars à l’horizon 2030 pour développer le secteur énergétique, a fait savoir, dimanche 17 septembre à Manama, le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah.
« Le Royaume a réussi, grâce à une stratégie ambitieuse, à transformer ses défis en véritables opportunités d’investissement, à travers son engagement dans des projets visant le développement du secteur énergétique d’une valeur de 40 milliards de dollars à l’horizon 2030, dont 75% est consacré aux énergies renouvelables », a indiqué M. Rabbah, dans une allocution à l’ouverture du premier forum d’investissement en énergie (Step 2017).

Le Maroc s’est engagé à investir 40 milliards de dollars à l’horizon 2030 pour développer le secteur énergétique, a fait savoir, dimanche 17 septembre à Manama, le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah. « Le Royaume a réussi, grâce à une stratégie ambitieuse, à transformer ses défis en véritables opportunités d’investissement, à travers son engagement dans des projets visant le développement du secteur énergétique d’une valeur de 40 milliards de dollars à l’horizon 2030, dont 75% est consacré aux énergies renouvelables », a indiqué M. Rabbah, dans une allocution à l’ouverture du premier forum d’investissement en énergie (Step 2017). Le ministre a noté que la transition énergétique a commencé à porter ses fruits, relevant que la part de l’éolien et du solaire dans la puissance électrique installée, qui n’était que de 2% début 2009, a atteint 13% en 2016. Cette transition a permis de réduire le taux de dépendance énergétique, qui est passé de 98% en 2008 à 93,3% en 2016, a souligné M. Rabbah, ajoutant que les énergies renouvelables ont contribué avec plus de 13% en 2016 pour répondre à la demande en énergie, contre 2,13% en 2008. Le ministre a rappelé que l’année 2016 a été marquée par plusieurs événements phares, avec notamment l’entrée en service de la station solaire “Noor-Ouarzazate I” d’une capacité de 160 MW de technologie thermosolaire concentrée (CSP) à capteurs cylindro-paraboliques avec 3 heures de stockage thermique et de Noor II et Noor III avec des capacités de stockage respectives de 5 à 6 heures et de 5 à 8,5 heures. L’année 2016 a connu également la mise en oeuvre de la feuille de route pour le développement du photovoltaique, visant à développer l’utilisation de ce procédé dans la production de l’électricité, a indiqué M. Rabbah, rappelant le lancement d’un programme pour la mise en place de centrales solaires photovoltaiques d’une capacité de 400 MW, dont les projets « Noor Tafilalet » (100 MW), « Noor Atlas » (200 MW) et « Noor Argana » (100 MW). Par ailleurs, le ministre a noté que le Maroc oeuvre pour renforcer l’interconnexion électrique avec les pays voisins, notamment le projet Maroc-Portugal, en cours d’étude, avec une capacité de 1.000 MW, le projet d’une troisième interconnexion de 700 MW avec le voisin espagnol, ainsi que d’autres projets avec les pays de l’Afrique subsaharienne, à travers la Mauritanie. Il a, en outre, relevé que le Maroc accorde un grand intérêt à la formation dans le domaine des énergies renouvelables, avec le développement d’un réseau de centres de formation dans les métiers des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, ainsi qu’à la recherche, avec la mise en place du Green Energy Park, une plateforme de test, de recherche et de formation en énergie solaire située dans la ville verte de Ben Guerir, la première du genre en Afrique. En matière d’efficacité énergétique, le ministre a indiqué qu’une stratégie a été mise en oeuvre, visant à atteindre 20% d’économie en énergie à l’horizon 2030. Le forum Step 2017, qui a connu la participation de ministres, d’experts dans le domaine des énergies renouvelables et des chefs d’entreprises et d’institutions d’investissement, s’est penché sur les sources d’énergie renouvelable au Bahrain, l’avenir de l’énergie dans le monde, les défis du développement des énergies renouvelables et les expériences réussies en la matière.

Vivo Energy Maroc, société en charge de la distribution et de la commercialisation des carburants et lubrifiants de marque Shell au Maroc et de gaz de pétrole liquéfié de marque Butagaz, mène pour la 15e année consécutive son opération de distribution de vélos et de cartables. Cette initiative vise à alléger les charges de la rentrée scolaire de familles nécessiteuses et faciliter l’accès à l’école de leurs enfants. Un moyen efficace pour lutter contre l’abandon scolaire, causé principalement par la distance séparant l’école du domicile parental de l’enfant.

C’est à Oujda que Vivo Energy Maroc a donné, pour cette nouvelle rentrée scolaire, le coup d’envoi de l’opération 2017, en partenariat avec l’association l’Heure Joyeuse et le Rotary Club de Casablanca Mers Sultan et en présence du wali de la région de l’Oriental, M. Mouad Jamai, des autorités et des élus locaux. Des vélos et des cartables ainsi que des kits de sécurité sont remis aux écoliers dans le besoin. Des ateliers pratiques de sensibilisation à la sécurité routière offerts par le CNPAC (Comité National de Prévention des Accidents de la Circulation) sont également organisés en marge de cette distribution.

« Améliorer les conditions d’accès à l’école pour contribuer à la généralisation de l’enseignement fondamental est l’un des domaines de prédilection de notre entreprise depuis maintenant 15 ans. En

Vivo Energy Maroc, société en charge de la distribution et de la commercialisation des carburants et lubrifiants de marque Shell au Maroc et de gaz de pétrole liquéfié de marque Butagaz, mène pour la 15e année consécutive son opération de distribution de vélos et de cartables. Cette initiative vise à alléger les charges de la rentrée scolaire de familles nécessiteuses et faciliter l’accès à l’école de leurs enfants. Un moyen efficace pour lutter contre l’abandon scolaire, causé principalement par la distance séparant l’école du domicile parental de l’enfant.

C’est à Oujda que Vivo Energy Maroc a donné, pour cette nouvelle rentrée scolaire, le coup d’envoi de l’opération 2017, en partenariat avec l’association l’Heure Joyeuse et le Rotary Club de Casablanca Mers Sultan et en présence du wali de la région de l’Oriental, M. Mouad Jamai, des autorités et des élus locaux. Des vélos et des cartables ainsi que des kits de sécurité sont remis aux écoliers dans le besoin. Des ateliers pratiques de sensibilisation à la sécurité routière offerts par le CNPAC (Comité National de Prévention des Accidents de la Circulation) sont également organisés en marge de cette distribution.

« Améliorer les conditions d’accès à l’école pour contribuer à la généralisation de l’enseignement fondamental est l’un des domaines de prédilection de notre entreprise depuis maintenant 15 ans. En contribuant à fournir à de jeunes élèves résidant loin de leur établissement scolaire une aide pratique, nous améliorons leurs conditions d’apprentissage et nous nous inscrivons dans la dynamique de mobilisation sociétale d’un secteur crucial pour l’avenir du Maroc », a déclaré M. Asaf Sasaoglu, Président Directeur Général de Vivo Energy Maroc.

Les résultats de l’opération de distribution de vélos et de cartables sont au rendez-vous. Le taux de réussite scolaire des enfants bénéficiaires est largement supérieur à la moyenne. 83% des élèves concernés par l’opération de l’année dernière ont réussi et plus important encore, aucun abandon n’a été enregistré durant cette même période.

« Année après année, l’opération de distribution de vélos et de cartables avec Vivo Energy Maroc confirme son impact positif auprès des bénéficiaires. Depuis 2002, ce programme offre à des écoliers une plus grande égalité des chances et permet de soulager leurs familles d’une partie des dépenses scolaires »,a indiqué Mme Leila Cherif, Présidente de l’association l’Heure Joyeuse.

Vivo Energy Maroc fait de l’éducation un axe majeur de son action citoyenne. L’entreprise contribue au développement d’un large choix de programmes éducatifs. Ils sont destinés aux enfants et aux jeunes dans le but de lutter contre l’abandon scolaire, lutter contre l’exclusion sociale, encourager l’entrepreneuriat et soutenir l’éducation à travers la pratique du sport en milieu scolaire.

La troisième édition du sommet LPG Europe d’ACI réunira des cadres supérieurs et des experts de l’industrie du GPL, ainsi que des consultants, des fabricants de véhicules et des principaux analystes du marché pour discuter des derniers défis et développements au sein de l’industrie du GPL en Europe.

L’événement de deux jours vous donnera un aperçu des derniers défis et des opportunités d’affaires de l’industrie et, tout en se concentrant principalement sur la production et le prix du GPL en Europe, fournira également des mises à jour et des prévisions futures sur les tendances mondiales de l’offre et de la demande de GPL, les projets de bio-lpg en Europe et les plus récents progrès technologiques.

En mettant l’accent sur les instruments de marketing et de promotion du secteur clé, la conférence fournira une perspective holistique sur les tendances et les applications commerciales actuelles et futures.

Contact : www.wplgroup.com / aci / event / lpg-europe-summit /

Le développement des interconnexions des réseaux électriques et gaziers entre le Maroc et l’Europe permettra d’améliorer la sécurité d’approvisionnement énergétique et d’assurer la flexibilité au profit des gestionnaires des réseaux pour une intégration massive des énergies renouvelables, a souligné, jeudi 7 septembre à Rabat, le ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah.
L’intégration énergétique du Royaume dans son espace euro-méditerranéen constitue un vecteur essentiel de sa nouvelle stratégie énergétique de par sa position géostratégique à la croisée des continents européen et africain, a affirmé M. Rabbah lors de la réunion de lancement des travaux du comité de pilotage de la déclaration conjointe sur l’échange durable d’électricité « Roadmap for sustainable electricity trade between Morocco and the European international energy market ». 
Cette déclaration signée lors de la COP22 à Marrakech entre le Maroc, la France, l’Allemagne, l’Espagne et le Portugal, revêt une grande importance et ouvre une nouvelle étape d’intégration régionale via les interconnexions, a-t-il relevé, notant que ladite déclaration confirme la volonté de tous les intervenants de renforcer le partenariat maroco-européen en vue d’asseoir un marché régional de l’énergie visant notamment l’intégration progressive des systèmes et marchés énergétiques et le développement des échanges et des interconnexions électriques pour un approvisionnement sûr et durable.
« Les défis énergétiques auxquels nous sommes confrontés ne peuvent être relevés que dans un cadre de coopération régionale globale, développé et élargi, afin de bénéficier des complémentarités existantes et de convertir toutes les opportunités de coopération offertes au sein de notre région en projets concrets d’intérêt commun », a-t-il soutenu.
A cette occasion, M. Rabbah a réaffirmé l’importance capitale qu’accorde le Maroc à ce projet, notamment son département et des partenaires marocains, l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN) et l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) en particulier, qui déploient d’importants efforts pour la concrétisation de ce projet.
De leur côté, les représentants des partenaires internationaux qui ont pris part à cette rencontre, à savoir la Banque Mondiale, la Commission européenne et l’Union pour la Méditerranée ont réitéré leur soutien à cette louable initiative qui permettra de développer les échanges énergétiques entre les deux rives de la Méditerranée, saluant la stratégie énergétique adoptée par le Royaume qui s’active à renforcer ses interconnexions électriques et gazières avec ses voisins et ambitionne d’intégrer pleinement son marché de l’énergie à celui de l’Europe.
Pour leur part, les représentants des parties signataires se sont félicitées de la mise en œuvre des objectifs de la déclaration conjointe sur l’échange durable d’électricité, réitérant l’engagement de leurs pays à réussir l’opérationnalisation de ce grand projet énergétique intercontinental. 
Cette réunion a été l’occasion de présenter les objectifs et le contenu du projet, d’examiner le schéma de sa gouvernance, les grandes lignes de la feuille de route pour sa réalisation et la planification des prochaines étapes.