La transition énergétique mondiale est porteuse d’opportunités pour les pays en voie développement, a affirmé mercredi 3 octobre, à Marrakech, le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement Durable, Aziz Rabbah. « La transition énergétique constitue également une opportunité pour changer les modes de consommation, notamment pour les pays en voie de développement », a-t-il ajouté à la cérémonie d’ouverture du 30è Forum mondial de l’industrie des gaz de pétrole liquéfié (World LPG forum). Et de noter que le Maroc a décidé d’aller vers une transition énergétique, qui promeut les énergies renouvelables, réduit la consommation des énergies fossiles et les émissions des gaz à effet de serre et où la mix a sa place, faisant savoir que le Maroc, dont la facture énergétique est estimée à 6 milliards de dollars par an, investira près de 40 milliards de dollars d’ici 2030 dans les énergies renouvelables. Il a par ailleurs, fait remarquer que le Maroc a décidé de traduire les contraintes en matière d’énergie en véritables opportunités créatrices d’emploi et de richesses, soulignant que la tenue de ce forum au Maroc témoigne de l’intérêt que portent les institutions internationales et le secteur privé au secteur énergétique au Royaume. Le président de la World LPG association (WLPGA), Yağiz Eyüboğlu, a fait savoir de son côté, que le Maroc constitue le deuxième grand marché de consommation du GPL (boutane/propane) avec 2,5 millions tonnes et le plus grand taux de consommation au monde par habitant. Il a en outre, noté qu’en 2016 et 2017, l’industrie GPL a enregistré une croissance continue à la fois dans la production et la consommation, faisant savoir qu’en 2016 et pour la première fois en histoire, la production mondiale globale a dépassé les 300 millions de tonnes (les Etats-Unis d’Amérique devenus le premier producteur et l’Inde a enregistré la plus forte croissance grâce à une campagne de promotion de la consommation du GPL). « La Turquie a quant à elle, la plus grande flotte de véhicules au monde qui fonctionne avec de « l’autogaz » avec plus de 4,3 millions de voitures, soit le choix de plus de 40% des consommateurs », a-t-il indiqué. Le PDG et directeur général de la World LPG Association (WLPGA), James Rockall, a pour sa part, noté que le Maroc a la plus grande consommation résidentielle de GPL par habitant dans le monde, soit 30 fois supérieure à la consommation moyenne en Afrique subsaharienne. Pour le président de la Fédération des énergies au Maroc, Rachid Idrissi

Kaitouni, la tenue de ce forum à Marrakech traduit l’importance que revêt le sujet des gaz de pétrole liquéfié dans le Royaume. Il a en outre, noté que les GPL occupent une place de choix dans le bouquet énergétique national. En effet, a-t-il indiqué, le Maroc arrive dans le peloton de tête en termes de consommation par habitant des GPL en bouteilles. « Ceci fait de notre pays un acteur engagé, impliqué et acquis à la cause des GPL », a-t-il ajouté. Les autres intervenants ont souligné que le choix du Maroc et de l’Afrique pour abriter ce 30ème Forum n’est pas fortuit. En effet, sur les cinq dernières années, la consommation du Maroc en matière de GPL a connu, en volume, une croissance moyenne de 20%, ce qui fait du Maroc le deuxième plus gros marché du GPL en Afrique. A l’échelle continentale, l’Afrique affiche sur cette même période, des performances de 30% de croissance en volume de consommation en GPL, dépassant de loin la dynamique relevée dans d’autres régions du monde.

Sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, les travaux du 30e Forum mondial de l’industrie des gaz de pétrole liquéfié (World LPG forum), se sont tenus du 3 au 5 octobre à Marrakech. Organisée par la World LPG Association (WLPGA), l’association mondiale pour le développement du GPL (butane/propane) dans le monde en partenariat avec la Fédération de l’Energie, cet événement a connu la participation des acteurs institutionnels et du secteur privé, ainsi que de l’ensemble des intervenants de la chaîne de valeur de l’industrie du GPL. L’objectif de ce forum consiste à échanger autour des dernières évolutions du secteur, de ses potentiels de croissance à long terme, ainsi que de l’établissement de nouvelles relations d’affaires. Parallèlement aux sessions des conférences, une exposition s’est tenue et qui a permis aux acteurs publics et privés du secteur de découvrir les dernières innovations dans le secteur.

A noter que cet événement a été précédé par la tenue, le mardi 3 octobre, d’un Side Event organisé par la Fédération de l’Energie, sous le thème « LPG for Development ». Cet événement a été consacré aux présentations des programmes et politiques d’utilisation du GPL dans le développement social et au partage des expériences et des politiques de subvention et de compensation de différents pays.

Selon le président de la WLPGA, Yagiz Eyüboglu, en 2016 et 2017, l’industrie GPL a enregistré une croissance continue à la fois dans la production et la consommation. Et en 2016 et pour la première fois dans l’histoire, la production mondiale globale a dépassé300 millions de tonnes. Ce 30e Forum mondial de l’industrie du GPL permettra aux acteurs publics et privés, d’explorer ensemble le potentiel de l’industrie africaine du GPL et poser les jalons d’un développement partagé dans le futur autour du thème « alimentation de nouveaux marchés ».

Vivo Energy Maroc renouvèle son engagement avec le Comité National de Prévention des Accidents de la Circulation (CNPAC) à travers la signature d’une convention de partenariat d’une durée de trois ans.

Cette convention de partenariat a été signée à l’occasion de la 6é conférence de l’IRTAD (International Road Traffic and Accident Database) et en présence du Ministre de l’Equipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau Abdelkader Amara.

La société poursuit ainsi son implication avec le CNPAC qui se matérialise chaque année à travers des campagnes de sensibilisation des automobilistes en périodes de pic de trafic routier et des actions éducatives en milieu scolaire ainsi que des séminaires de formation et de sensibilisation au profit des collaborateurs de Vivo Energy Maroc et de ses partenaires. Un engagement qui vise à faciliter un changement culturel dans les comportements liés à la sécurité routière dans la population en général, et chez les enfants en particulier.

Masen s’engage dans une Politique Qualité avec l’objectif de mettre en place un Système de Management de la Qualité conforme à la norme ISO 9001 version 2015.

Le secteur de l’énergie et plus particulièrement celui des énergies renouvelables, connaît actuellement une véritable transformation dont Masen est l’un des acteurs principaux. Il est donc primordial pour le Groupe de consolider et renforcer son positionnement de leader dans un secteur en constante évolution.

Dans ce contexte, l’adoption par Masen d’une Politique Qualité permettra d’atteindre la vision globale du plan stratégique qu’il s’est fixé. Cette Politique visera la mise en place d’un Système de Management de la Qualité conforme à la norme ISO 9001 version 2015, qui s’inscrit dans une logique de développement durable et qui passe par la maîtrise des performances. Ainsi, cette démarche ne manquera pas d’impacter positivement l’environnement économique et institutionnel du Groupe.

Tout en respectant les exigences applicables au métier, le Système de Management de la Qualité qui doit être mis en place par Masen s’appuie sur le développement de relations pérennes avec les différents partenaires du secteur et l’adoption d’une culture d’amélioration continue mettant en avant le management des risques comme outil de progrès.

Ce Système s’articule autour des objectifs suivants :
1. Comprendre les enjeux et répondre aux attentes des différentes parties prenantes ;
2. Développer des relations de confiance avec les prestataires ;
3. Améliorer en permanence les performances des processus et rationaliser leur fonctionnement ;
4. Capitaliser le savoir-faire à travers le développement des connaissances et compétences individuelles et collectives.

 

Les travaux du 30e Forum mondial de l’industrie des gaz de pétrole liquéfié (World LPG forum), se sont tenus du 3 au 5 octobre à Marrakech sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI.
Organisée par la World LPG Association (WLPGA), l’association mondiale pour le développement du GPL (butane/propane) dans le monde en partenariat avec la Fédération de l’Energie, cet événement a connu la participation des acteurs institutionnels et du secteur privé, ainsi que de l’ensemble des intervenants de la chaîne de valeur de l’industrie du GPL.
L’objectif de ce forum consiste à échanger autour des dernières évolutions du secteur, de ses potentiels de croissance à long terme, ainsi que de l’établissement de nouvelles relations d’affaires.
Parallèlement aux sessions des conférences, une exposition s’est tenue et qui a permis aux acteurs publics et privés du secteur de découvrir les dernières innovations dans le secteur.

A noter que cet événement a été précédé par la tenue, le mardi 3 octobre, d’un Side Event organisé par la Fédération de l’Energie, sous le thème « LPG for Development ». Cet événement a été consacré aux présentations des programmes et politiques d’utilisation du GPL dans le développement social et au partage des expériences et des politiques de subvention et de compensation de différents pays.

Selon le président de la WLPGA, Yagiz Eyüboglu, en 2016 et 2017, l’industrie GPL a enregistré une croissance continue à la fois dans la production et la consommation. Et en 2016 et pour la première fois dans l’histoire, la production mondiale globale a dépassé300 millions de tonnes.
Ce 30e Forum mondial de l’industrie du GPL permettra aux acteurs publics et privés, d’explorer ensemble le potentiel de l’industrie africaine du GPL et poser les jalons d’un développement partagé dans le futur autour du thème « alimentation de nouveaux marchés ».

Rabbah :« La transition énergétique mondiale, porteuse d’opportunités pour les pays en voie en développement »

 “La transition énergétique mondiale est porteuse d’opportunités pour les pays en voie développement”, a affirmé mercredi 3 octobre, à Marrakech, le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement Durable, Aziz Rabbah.
« La transition énergétique constitue également une opportunité pour changer les modes de consommation, notamment pour les pays en voie de développement », a-t-il ajouté à la cérémonie d’ouverture du 30è Forum mondial de l’industrie des gaz de pétrole liquéfié (World LPG forum).
Et de noter que le Maroc a décidé d’aller vers une transition énergétique, qui promeut les énergies renouvelables, réduit la consommation des énergies fossiles et les émissions des gaz à effet de serre et où la mix a sa place, faisant savoir que le Maroc, dont la facture énergétique est estimée à 6 milliards de dollars par an, investira près de 40 milliards de dollars d’ici 2030 dans les énergies renouvelables.
Il a par ailleurs, fait remarquer que le Maroc a décidé de traduire les contraintes en matière d’énergie en véritables opportunités créatrices d’emploi et de richesses, soulignant que la tenue de ce forum au Maroc témoigne de l’intérêt que portent les institutions internationales et le secteur privé au secteur énergétique au Royaume.
Le président de la World LPG association (WLPGA), Yağiz Eyüboğlu, a fait savoir de son côté, que le Maroc constitue le deuxième grand marché de consommation du GPL (boutane/propane) avec 2,5 millions tonnes et le plus grand taux de consommation au monde par habitant.

Il a en outre, noté qu’en 2016 et 2017, l’industrie GPL a enregistré une croissance continue à la fois dans la production et la consommation, faisant savoir qu’en 2016 et pour la première fois en histoire, la production mondiale globale a dépassé les 300 millions de tonnes (les Etats-Unis d’Amérique devenus le premier producteur et l’Inde a enregistré la plus forte croissance grâce à une campagne de promotion de la consommation du GPL).
« La Turquie a quant à elle, la plus grande flotte de véhicules au monde qui fonctionne avec de « l’autogaz » avec plus de 4,3 millions de voitures, soit le choix de plus de 40% des consommateurs », a-t-il indiqué.
Le PDG et directeur général de la World LPG Association (WLPGA), James Rockall, a pour sa part, noté que le Maroc a la plus grande consommation résidentielle de GPL par habitant dans le monde, soit 30 fois supérieure à la consommation moyenne en Afrique subsaharienne.
Pour le président de la Fédération des énergies au Maroc, Rachid Idrissi Kaitouni, la tenue de ce forum à Marrakech traduit l’importance que revêt le sujet des gaz de pétrole liquéfié dans le Royaume.
Il a en outre, noté que les GPL occupent une place de choix dans le bouquet énergétique national.
En effet, a-t-il indiqué, le Maroc arrive dans le peloton de tête en termes de consommation par habitant des GPL en bouteilles.
« Ceci fait de notre pays un acteur engagé, impliqué et acquis à la cause des GPL », a-t-il ajouté.
Les autres intervenants ont souligné que le choix du Maroc et de l’Afrique pour abriter ce 30ème Forum n’est pas fortuit.
En effet, sur les cinq dernières années, la consommation du Maroc en matière de GPL a connu, en volume, une croissance moyenne de 20%, ce qui fait du Maroc le deuxième plus gros marché du GPL en Afrique.
A l’échelle continentale, l’Afrique affiche sur cette même période, des performances de 30% de croissance en volume de consommation en GPL, dépassant de loin la dynamique relevée dans d’autres régions du monde.

La Fédération de l’Energie et la World LPG Association et The Global LPG Partnership, organisent, le mardi 3 octobre 2017, durant le 30e World LPGA Forum qui aura lieu à Marrakech du 3 au 5 octobre 2017, un Side Event sous le thème « LPG for Development ».

Cet événement sera consacré aux présentations des programmes et politiques d’utilisation du GPL dans le développement social et au partage des expériences et des politiques de subvention et de compensation de différents pays.

Il verra la participation d’intervenants, de haut niveau de différents pays et organismes : Maroc, Nations Unies, WLPGA, GLPGP, Inde, Cameroun, Indonésie, Ghana, Kenya, etc.

Le 11 octobre 2017 à Tanger Automotive City

M. Moulay Hafid Elalamy, Ministre de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce, et de l’Economie Numérique et Dr Markus Take, CEO de Siemens Gamessa Renewable Energy procéderont, le 11 octobre 2017 à Tanger Automotive City, à l’inauguration de la première usine de pales éoliennes en Afrique et au Moyen Orient.

Siemens Gamessa Renewable Energy compte déjà à son actif plusieurs parcs et projets éoliens au Maroc. Cependant la réalisation de ce projet permettra, pour la première fois, de fournir des pales éoliennes « Made In Morocco »,

contribuant ainsi à la mise en œuvre de la stratégie énergétique nationale, fixant un objectif de 52% de part d’énergies renouvelables à l’horizon 2030.

La World LPG Association (WLPGA), l’association mondiale pour le développement du GPL (butane/propane) dans le monde, organise, du 3 au 5 Octobre 2017, à Marrakech, le 30e Forum Mondial de l’industrie du GPL (World LPG Forum).

Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, cet événement, d’envergure internationale et unique en son genre, est le premium évènement annuel de l’industrie du GPL dans le monde.

Le World LPG Forum regroupe chaque année et dans différentes villes du monde, des acteurs institutionnels et du secteur privé de premier plan, ainsi que l’ensemble des intervenants de la chaîne de valeur de l’industrie du GPL. L’objectif est d’échanger autour des dernières évolutions du secteur, de ses potentiels de croissance à long terme, ainsi que de l’établissement de nouvelles relations d’affaires.

Le choix du Maroc et de l’Afrique pour abriter ce 30e Forum Mondial de l’industrie du GPL n’est pas anodin. Sur les cinq dernières années, la consommation du Royaume en matière de GPL a connu, en volume, une croissance moyenne de 20%.

Cette situation fait du Maroc le deuxième plus gros marché du GPL en Afrique. A l’échelle continentale, l’Afrique affiche sur cette même période, des performances de 30% de croissance en volume de consommation en GPL, dépassant de loin la dynamique relevée dans d’autres régions du monde.

En dépit de cette dynamique, la part de l’Afrique dans le marché mondial du GPL dépasse à peine 5%. Néanmoins, l’avenir du GPL étant fortement lié à la croissance économique et démographique, l’Afrique qui réunit parfaitement ces deux facteurs, dispose d’exceptionnels potentiels de croissance pour l’industrie du GPL.

Ce 30e Forum Mondial de l’Industrie du GPL permettra ainsi, aux acteurs publics et privés, d’explorer ensemble le potentiel de l’industrie africaine du GPL et poser les jalons d’un développement partagé dans le futur autour du thème « Fuelling New

une très large exposition, l’endroit de rencontre de tous les intervenants de l’industrie, permettra aux acteurs publics et privés du secteur de découvrir les dernières innovations dans le secteur.

Lors de sa 29e édition, tenue l’année dernière à Florence (Italie), le Forum Mondial de l’Industrie du GPL (World LPG Forum) a rassemblé 2100 personnalités et experts des métiers du GPL venus de 115 pays du monde, dont 64 speakers de haut niveau et 1240 m2 d’expositions rassemblant 117 sociétés exposantes.

 

Fédération de l’Energie : Side Event sous le thème « LPG for Development »

La Fédération de l’Energie et la World LPG Association et The Global LPG Partnership, organisent, le mardi 3 octobre 2017, durant le 30e World LPGA Forum qui aura lieu à Marrakech du 3 au 5 octobre 2017, un Side Event sous le thème « LPG for Development ».

Cet événement sera consacré aux présentations des programmes et politiques d’utilisation du GPL dans le développement social et au partage des expériences et des politiques de subvention et de compensation de différents pays.

Il verra la participation d’intervenants, de haut niveau de différents pays et organismes : Maroc, Nations Unies, WLPGA, GLPGP, Inde, Cameroun, Indonésie, Ghana, Kenya, etc.

Sur les six premiers mois de 2017, la Lyonnaise des Eaux de Casablanca (Lydec) a réalisé un résultat net en progression de 23% par rapport à la même période de 2016. Le résultat net, qui avait été très fortement impacté à fin juin 2016 par une situation climatique particulièrement défavorable et par un retard de mise en œuvre du programme des travaux, se redresse au terme du semestre écoulé et s’élève à 108 millions de dirhams (MDH), souligne la Lydec dans une communication financière. Suivant la même tendance, le chiffre d’affaires du délégataire des services de distribution d’eau et d’électricité ainsi que de l’assainissement du Grand Casablanca ressort en appréciation de 4,6% à 3,5 milliards de dirhams (MMDH). Cette progression s’explique essentiellement, selon la société, par la récupération de l’augmentation des prix d’achats d’électricité au 1 er janvier 2017, conformément au contrat programme Etat-ONEE. Lydec a noté, dans ce cadre, une stabilité des volumes d’électricité vendus, à

fin juin 2017, marquée par la poursuite de la baisse de la consommation unitaire des particuliers, compensée par une légère reprise des volumes distribués aux industriels. Lydec a également ajouté que le rendement du réseau électricité a été maintenu à un niveau similaire à celui enregistré au S1 2016, avec la poursuite des plans d’actions de réduction des pertes. Pour leur part, les écoulements de l’eau s’apprécient de 2,2%, portés principalement par l’augmentation du nombre de clients, relève la même source, qui note une légère baisse du rendement, marqué par une augmentation des fuites durant la saison des pluies. De son côté, l’excédent brut d’exploitation (EBE) s’établit à 471 MDH, en accroissement de 18 MDH par rapport au S1 2016, grâce à la croissance des activités Travaux générant des recettes de maîtrise d’œuvre et à la poursuite de la maîtrise des charges d’exploitation, précise Lydec dans son communiqué publié sur le site web de la Bourse de Casablanca De même, le résultat financier en amélioration de 5 MDH limite son déficit à -36 MDH, suite notamment à la diminution de l’endettement long terme, du fait principalement de la poursuite du remboursement de l’emprunt obligataire. Pour ce qui est des investissements de la gestion déléguée, ils se sont élevés à 457 MDH, dont 199 MDH financés par le Délégataire. Par ailleurs, Lydec revient sur les principaux faits marquants du semestre, notamment le lancement officiel, en février dernier, de l’étude du Schéma Directeur d’Aménagement Lumière (SDAL) de Casablanca. Cette initiative entre dans le cadre du Plan de Développement du Grand Casablanca (2015-2020) qui vise à améliorer le cadre de vie des habitants. La société a aussi mis en avant la signature, en mars dernier, de la convention de création du “Réseau Local du Pacte Mondial” au Maroc, lancé par la CGEM et le PNUD, et dont l’objectif principal est d’inciter des entreprises à adopter une attitude socialement responsable. Ce réseau comprend un noyau dur constitué de 7 entreprises, dont Lydec, qui siègeront au comité de pilotage du réseau. Autre faits saillants, le succès de l’audit de reconduction de l’accréditation ISO 17025 du Centre Technique de Métrologie, suite à la visite, en avril dernier, des auditeurs du Service Marocain d’Accréditation (SEMAC), confirmant ainsi l’exigence de Lydec en termes de maîtrise de la qualité et le respect des normes. Le semestre dernier a été marqué également par la consolidation de la reconnaissance RSE via l’obtention, de nouveau, du trophée « Top

Performers RSE » décerné par le cabinet Vigeo Eiris, qui récompense 15 entreprises pour leur engagement en faveur du développement durable.

Taqa Morocco a enregistré une progression appréciable de ses résultats au 30 juin 2017 par rapport à la même période de l’année dernière.

Ainsi, au niveau des comptes consolidés, le chiffre d’affaires a connu une légère évolution de 0,5% par rapport au 30 juin 2016 passant de 4052 MDH à 4072 MDH. Cette évolution s’explique d’une part par la bonne performance de l’ensemble des unités, en tenant compte de la révision majeure de l’unité 3, et d’autre part par la baisse de 2% des frais d’énergie, qui s’explique par l’évolution du prix d’achat du charbon sur le marché international, qui impacte aussi bien le chiffre d’affaires que les achats consommés.

Pour sa part, le résultat financier a connu une amélioration de 13% due à la baisse des charges d’intérêt sur emprunt, suite à la négociation du taux d’intérêt et à l’optimisation du placement des excédents de trésorerie.

Le résultat net part du groupe s’établit à 536 MDH à fin juin 2017, en hausse de 15% par rapport à la même période de l’année dernière. Le groupe enregistre également une hausse de 14% du résultat net consolidé passant de 615 MDH à 701 MDH. Ainsi, le taux de marge net passe de 15,2% à 17,2% au 30 juin 2017.

En ce qui concerne les comptes sociaux, le chiffre d’affaires a accusé une baisse de 5%, passant de 2301 MDH, au 30 juin 2016, à 2175 MDH au 30 juin 2017. Cette baisse est due principalement à l’impact de la révision majeure de l’unité 3, ainsi qu’à l’évolution du prix du charbon sur le marché international, d’après le management.

Concernant le résultat d’exploitation, il a enregistré une amélioration de 7%, passant de 369 MDH à 396 MDH, ce qui s’explique par l’optimisation des charges d’exploitation et de maintenance, ainsi que l’évolution favorable du prix d’achat du charbon.

Pour sa part, le résultat financier a enregistré une amélioration de 16% grâce à la baisse des charges d’intérêt sur emprunt, ainsi que l’optimisation des placements des excédents de trésorerie.

Ainsi, le résultat net a augmenté de 9,3% au 30 juin 2017, passant de 193 MDH à 211.

Le premier semestre de 2017 a été marqué par la distribution d’un dividende de 37 DH par action, en hausse de 23% comparé à la distribution de 2016.