La 3e édition du Salon international sur l’énergie solaire « Photovoltaïca 2018 » s’est ouverte mardi 13 février à Marrakech, avec une orientation vers l’Afrique et la volonté de faire de « Photovoltaïca » une « PhotovoltAfrica ».

Placé sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI et organisé sous le thème « vers le développement durable en Afrique », ce salon biannuel dédié au secteur des énergies renouvelables, en particulier aux énergies solaires photovoltaïques, se veut un carrefour de rencontres pour la réussite du meilleur modèle d’investissement en Afrique.

Organisée par le ministère de l’Energie, des mines et du développement durable, en partenariat avec la Société d’investissements énergétiques (SIE) et l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN), cette édition (13 -15 février) a pour objectif de sensibiliser les professionnels sur l’importance de l’investissement dans l’énergie solaire en Afrique.

« Photovoltaïca 2018 » prend une dimension internationale et établit un cadre professionnel, raffiné et convivial pour faire face aux enjeux climatiques, afin que l’Afrique devienne une priorité pour les professionnels des énergies renouvelables.

Après deux éditions réussies, « Photovoltaïca 2018 » oriente sa stratégie vers l’Afrique avec la programmation de « la conférence thématique » ayant pour but de traiter les vrais sujets et alimenter les débats, d’une rencontre « Régions » et « Investisseurs/Développeurs » pour stimuler l’investissement dans des projets des régions marocaines (développement territorial) et d’une rencontre « Afrique » et « Investisseurs/Développeurs » pour booster les investissements en Afrique à partir du Maroc.

D’édition en édition, « Photvoltaïca » enregistre en plus en plus de succès et se positionne comme un événement de référence dans le secteur d’énergie solaire photovoltaïque.

Cette édition réunit plus de 700 participants, notamment des représentants officiels de plus de huit pays africains, des investisseurs et des acteurs des énergies renouvelables.

En coordination avec le Service Permanent de Contrôle (SPC), Lydec, a organisé, le 23 janvier 2018, une visite de chantiers au profit des membres du Comité de Suivi de la Gestion Déléguée, instance chargée du suivi de l’exécution du contrat. Cette visite s’est déroulée en présence notamment du Président de l’Autorité Délégante, Abdelaaziz OMARI, et du Directeur Général de Lydec, Jean-Pascal DARRIET, ainsi que d’autres élus et responsables de l’Autorité Délégante et de Lydec.

L’objectif de cette visite était de s’enquérir de l’état d’avancement des travaux d’équipement en infrastructures d’eau potable, d’assainissement liquide et l’électricité, dans trois des grands projets engagés dans le cadre du Plan de Développement du Grand Casablanca, dans les Provinces de Médiouna et de Nouaceur, d’un coût global d’environ 575 millions de DH. Il s’agit des projets :

  • Annasr : prévu sur 313 ha et permettra de recaser 9.880 ménages ;
  • Ryad : prévu sur 174 ha et permettra de recaser 8.574 ménages ;
  • Arrachad : prévu sur 95 ha et permettra de recaser 4.024 ménages.

A cette occasion, Abdelaaziz OMARI, Président de l’Autorité Délégante et du Conseil de la ville de Casablanca, a déclaré que « Cette rencontre est à l’initiative du comité de Suivi de la Gestion Déléguée qui a souhaité constater de près l’avancement des projets, fruit des principaux investissements du Fonds de Travaux de l’Autorité Délégante et que Lydec exécute à travers de grands chantiers structurants pour la métropole ».

Et d’ajouter que « les efforts fournis, aussi bien par l’Autorité Délégante que par le Délégataire, en matière d’infrastructures lourdes doivent être valorisés et nous, en tant que décideurs au niveau du Comité de suivi, devons suivre les budgets que nous validons chaque année et qui se transforment sur le terrain en stations, en réseaux, en ouvrages et en équipements très importants non seulement pour les communes qui les abritent, mais aussi pour les habitants qui en bénéficient ».

De son côté, Jean-Pascal DARRIET, DG de Lydec, a indiqué que « nous présentons aux membres du Comité de Suivi de la Gestion Déléguée trois projets sociaux à grands enjeux pour la Gestion Déléguée et qui nécessitent des investissements extrêmement lourds. C’est un effort d’investissement de la Gestion Déléguée qui profitera à près de 400.000 habitants des communes de la périphérie de Casablanca. A travers cette visite, nous prenons tous conscience des enjeux qui sont devant nous et de l’importance des efforts qui sont réalisés à la fois par l’Autorité Délégante, l’Autorité de tutelle qui est le Ministère de l’Intérieur et Lydec, au bénéfice de la modernisation des insta

Les trois projets visités s’inscrivent dans le cadre des efforts et des engagements de la Gestion Déléguée et Lydec visant à accompagner le développement socio-économique et l’extension urbaine de la ville de Casablanca.

Le laboratoire central de contrôle de la qualité des eaux « reste mobilisé quotidiennement » pour assurer la qualité de l’eau potable, a affirmé, le 7 février à Rabat, le Chef du gouvernement, Saad Eddine El Othmani.

S’exprimant lors d’une visite au laboratoire central relevant du complexe Bouregreg de l’Office national de l’eau et de l’électricité (ONEE), en vue de permettre aux organes de presse de s’informer sur place des étapes de traitement et de production de l’eau potable, ainsi que du processus du contrôle de sa qualité, M. El Othmani a salué les efforts déployés par les cadres du laboratoire dans le contrôle de la qualité de l’eau, tout en louant leur expertise et leur compétence en la matière.

Le laboratoire central de contrôle de la qualité est « une fierté pour le Royaume », a souligné le Chef du gouvernement dans une déclaration aux médias présents sur place, notant que les équipes de cette structure veillent à assurer la qualité de l’eau à chaque étape du traitement, conformément aux normes de qualité internationales et aux standards de l’OMS.

Il a fait savoir que le laboratoire central a pour principale mission de contrôler la qualité des ressources en eau ainsi que la qualité de l’eau potable distribuée, en s’assurant que cette eau est conforme aux normes de potabilité, et ce 24h/24 et 7jours/7.

Pour sa part, le directeur général par intérim de l’Office national de l’eau et de l’électricité (ONEE), Abderrahim El Hafidi a indiqué que le laboratoire procède à de nombreux prélèvements d’eau chaque jour, afin de l’analyser et de mesurer sa qualité, saluant la fiabilité et l’efficacité du travail effectué par les équipes d’experts.

M. El Hafidi a, par ailleurs, mis en avant l’ensemble des certifications du laboratoire notamment la norme ISO 9001 pour la qualité de gestion du processus du contrôle de la qualité des eaux, ainsi que l’accréditation ISO 17025 qui spécifie les exigences générales concernant la compétence des laboratoires d’étalonnages et d’essais.

Ces accréditations, qui témoignent de la fiabilité des résultats d’analyse et la compétence technique de son équipe, sont le fruit des efforts consentis par le laboratoire pour mettre en place un système de gestion de qualité qui assure l’exactitude et l’authenticité des résultats obtenus, a-t-il ajouté.

Créé en 1968, le laboratoire central de contrôle de la qualité des eaux, qui célébrera, cette année, son 50e anniversaire, a pour objectif de produire et desservir une eau potable de qualité et préserver un environnement sain. Doté d’une équipe de 85 personnes notamment des docteurs, des ingénieurs, techniciens, et administratifs, le laboratoire a mis en œuvre tous les moyens nécessaires pour garantir la qualité des eaux distribuées et veiller à réduire toutes les sources de pollution qui pourraient toucher négativement les ressources en eau destinées à l’approvisionnement en eau potable.

Lors de cette visite d’information aux installations de stockage et de production d’eau potable à partir du Barrage Sidi Mohammed Ben Abdellah, au profit des organes de presse, le Chef du gouvernement a rassuré les citoyens sur la potabilité de l’eau provenant de cette infrastructure hydraulique.

Un accord pétrolier portant sur la zone Onshore nommée « Tanfit » d’une superficie de 9990 km2, a été signée entre l’Office national des Hydrocarbures et des Mines (ONHYM) et les sociétés pétrolières Repsol exploration Tanfit et Shell exploration et production du Maroc (Gmbh).

« Suite aux résultats des travaux de reconnaissance réalisés sur cette zone par la société Shell, en partenariat avec l’ONHYM dans le cadre d’un contrat de reconnaissance, Shell et Repsol ont décidé de poursuivre les travaux dans le cadre d’un permis d’exploration avec l’ONHYM », indique l’ONHYM dans un communiqué.

Opérateur de ce projet, Repsol est l’une des plus importantes compagnies pétrolières cotées en bourse dans le monde, avec des opérations à l’international dans les régions les plus prometteuses en termes de potentiel énergétique.

Fondée en 1890, Shell est l’un des Majors de l’industrie pétrolière opérant des projets pétroliers et gaziers dans plus de 70 pays.

L’ONHYM a annoncé, le 6 février, le retrait des permis de Boujdour Maritime de Kosmos Energy et de Capricorn Exploration and Development.

Dans le but de concentrer ses investissements sur de nouveaux projets, notamment suite aux récentes découvertes faites en Afrique de l’Ouest, Kosmos Energy a décidé de poursuivre son processus de retrait de certaines régions en phase amont du processus de l’exploration pétrolière.

Cette pratique de réallocation du portefeuille est courante dans l’industrie pétrolière. Les investisseurs cherchent régulièrement à limiter et à mieux répartir les risques et à affecter des capitaux en relation avec l’exploration pétrolière. Plusieurs opérations de ce genre ont eu lieu ces dernières années dans différents permis octroyés au niveau mondial.

Malgré sa décision stratégique et vu l’intérêt qu’elle a toujours porté à la zone Boujdour Maritime, Kosmos Energy assurera la supervision des travaux d’acquisition sismique et le traitement et l’interprétation de la sismique 3D, et ce jusqu’à la remise du rapport final à l’ONHYM.

Pour rappel, les permis Boujdour Maritime ont fait l’objet d’importants travaux de sismique 2D et 3D et du forage d’un puits d’exploration. Cependant, malgré la consistance et la qualité de ces programmes et vu la superficie de la zone, des travaux supplémentaires sont nécessaires pour affiner davantage l’appréciation du potentiel.

L’ONHYM a apprécié la qualité du partenariat qui a permis de faire avancer la connaissance de ces bassins.

L’ONHYM et Kosmos Energy demeurent convaincus de l’existence d’un réel potentiel de la zone de Boujdour Maritime et que les chances de réaliser des découvertes commerciales d’hydrocarbures restent intactes.

Kosmos Energy laisse ouverte la possibilité d’entamer des discussions avec l’ONHYM pour un possible retour dans l’exploration pétrolière au Maroc.

L’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN) a annoncé le lancement d’appels à projets dans les domaines des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique au titre de l’année 2018, destinés aux universités et entreprises marocaines et étrangères.

Ces appels à projets entrent dans le cadre des programmes “Green Inno-project” pour le financement de projets collaboratifs de recherche appliquée et “Green Inno-boost” pour l’incubation et l’accélération de projets innovants. A noter que le programme annuel de l’IRESEN de financement de la recherche et de l’innovation dans les domaines des technologies vertes est doté de 50 millions de dirhams au titre de l’année 2018.

Selon l’Office des changes, les importations du Maroc en 2017 ont atteint 435,2 milliards de dirhams, soit une hausse de 6,4% par rapport à 2016. Cet accroissement des importations s’explique en partie par la hausse de la facture des produits énergétiques de 27,4%, des produits bruts de 15,8% ou encore des produits finis de consommation de 5,2%, précise l’Office dans une note sur ses indicateurs mensuels des échanges extérieurs à fin 2017.

Le chef du gouvernement, Saâd Eddine El Othmani, qui présidait le Conseil d’administration de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), a mis en exergue l’importance des investissements engagés au Maroc depuis 2000 dans le domaine de recherche des hydrocarbures, et qui sont de l’ordre de 25 milliards de dirhams (MMDH), dont 96% faits par les partenaires de l’Office.

Par ailleurs, il a indiqué que l’année 2017 a été marquée par des efforts continus en termes d’investissements, s’élevant, dans le domaine de la prospection pétrolière, à environ 12,42 MMDH pour les partenaires et 27 millions de dirhams pour l’Office, notant que les opérations d’exploration des hydrocarbures ont couvert une superficie globale de près de 170 000 km2, avec 22 permis en Onshore, 77 permis en offshore, 3 autorisations de reconnaissance et 9 concessions d’exploitation.

M. Mustapha Bakkoury, président du Directoire de l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN) s’est entretenu, jeudi 8 février à Bruxelles, avec Mme Marie Christine Marghem, ministre fédérale de l’Énergie, de l’Environnement et du Développement durable. Lors de cet entretien, qui s’est déroulé en présence de l’ambassadeur du Maroc en Belgique et au Grand Duché du Luxembourg, Mohamed Ameur, les deux parties ont souligné le potentiel de coopération entre les deux pays dans le domaine des énergies renouvelables.

Pour M. Bakkoury les atouts dont dispose le Maroc aujourd’hui et l’expertise belge peuvent être mis à profit en vue de développer davantage la coopération bilatérale dans le domaine des énergies renouvelables. Après avoir passé en revue les projets initiés au Maroc sous l’impulsion de SM le Roi Mohammed VI dans le domaine des énergies renouvelables, M. Bakkoury a affirmé que le Royaume est aujourd’hui en position de leader en la matière et s’emploie, dans la dynamique de coopération sud-sud, à renforcer l’échange d’expertises, le co-développement de projets et la participation, de manière effective, à l’effort de l’électrification en Afrique.

M. Bakkoury a également évoqué les projets d’interconnexions avec l’Europe et les perspectives de renforcer le partenariat avec l’Union européenne dans le domaine des énergies renouvelables et du développement durable. Pour sa part, la ministre belge a salué les efforts déployés par le Maroc pour le développement des énergies renouvelables, exprimant le vœu de voir se concrétiser un partenariat bilatéral approfondi en la matière.

«J’ai eu l’occasion de constater avec admiration les efforts déployés par le Maroc dans le domaine des énergies renouvelables et du développement durable lors de ma participation à la COP 22 à Marrakech», a-t-elle affirmé lors de cette entrevue. Au sujet de la coopération bilatérale, Mme Marghem a rappelé que des acteurs belges sont présents au Maroc avec d’importants projets énergétiques et de développement durable, notant que le Royaume dispose d’atouts qui peuvent susciter davantage d’intérêt auprès des opérateurs belges.

M. Bakkoury avait eu auparavant un entretien avec Mme Pascale Delcomminette, administratrice générale de Wallonie-Bruxelles International (WBI), l’instance chargée de la politique internationale menée par la Communauté française de Belgique, la région wallonne et la Commission communautaire française de la région de Bruxelles-Capitale.

La fédération Wallonie-Bruxelles initie tout au long de l’année en cours un programme qui fait du Maroc un «Marché cible 2018» qui ambitionne de renforcer davantage les échanges économiques avec le Royaume, qui est déjà son deuxième partenaire commercial le plus important en Afrique.

Plusieurs actions économiques et commerciales en faveur des opérateurs wallons et marocains sont programmées, dans la perspective de valoriser le commerce extérieur de la Wallonie vers le Royaume.

Le chef du gouvernement, Saâd Eddine El Othmani a présidé à Rabat, la 14è session du Conseil d’administration de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), consacrée au bilan des réalisations et aux perspectives de l’Office, à travers l’examen de son plan stratégique pour la période 2017-2021. Intervenant à l’ouverture des travaux du Conseil, M. El Othmani a souligné que les opérations d’exploration, de prospection et de développement des hydrocarbures et des mines constituent l’un des piliers contribuant à l’amélioration de l’attractivité des grandes sociétés d’investissement au Maroc et des opportunités d’emploi.

Cette donne, relève M. El Othmani, a poussé les autorités publiques à mettre en place un cadre juridique, institutionnel et fiscal spécifique et plus efficace, en plus d’une stratégie promotionnelle anticipative dans ce domaine, notant que l’expérience accumulée par l’Office au fil des années, l’importance de ses ressources humaines et logistiques, ainsi que l’approche participative qu’il a adoptée vis-à-vis du secteur privé, ont permis d’attirer des entreprises internationales leaders pour investir dans le Royaume qui regorge de potentialités prometteuses en hydrocarbures et mines.

Il a, dans ce contexte, mis en exergue l’importance des investissements engagés au Maroc depuis 2000 dans le domaine de recherche des hydrocarbures, et qui sont de l’ordre de 25 MMDH, dont 96% faits par les partenaires de l’Office. Par ailleurs, il a indiqué que l’année 2017 a été marquée par des efforts continus en termes d’investissements, s’élevant, dans le domaine de la prospection pétrolière, à environ 1242 MMDH pour les partenaires et 27 millions de dirhams pour l’Office, notant que les opérations d’exploration des hydrocarbures ont couvert une superficie globale de près de 170.000 km2, avec 22 permis en Onshore, 77 permis en offshore, trois autorisations de reconnaissance et neuf concessions d’exploitation.

Il a cité également le forage de six puits d’exploration, dont quatre dans le bassin du Gharb, ajoutant que trois de ces puits sont positifs. En matière d’exploration, les travaux en 2017 ont concerné un total de 43 objectifs, dont 12 projets dans le cadre de partenariats, a souligné le Chef du gouvernement, notant que ces travaux ont été réalisés surtout dans les régions du Grand et du Petit Atlas, à Oued Eddahab, Aousserd, Errachidia, Figuig et Jerada ainsi qu’à Meknès, Khémisset, Azilal, Rhamna et Nador.

D’autre part, l’ONHYM a continué à approvisionner les quantités demandées en ce qui concerne le gaz naturel et les condensats en 2017 à ses clients dont l’Office chérifien des phosphates et l’Office National de l’Électricité et de l’Eau Potable. Afin d’évaluer les acquis et les efforts déployés par l’ONHYM et compte tenu des potentialités prometteuses que recèlent les côtes et les bassins sédimentaires du Royaume, M. El Othmani a appelé l’Office à continuer à mettre en œuvre sa vision fondée sur l’augmentation du niveau des investissements intelligents et à obtenir des explorations économiques à travers son plan stratégique 2017-2021 que le conseil d’administration est en train d’étudier.

Dans ce sens, il a insisté sur la nécessité de fonder ce plan sur les principes de la bonne gouvernance, du partenariat, de la vigilance, de la communication, de l’évaluation et de la gestion des risques et de viser l’obtention du financement approprié et le développement des potentialités scientifiques et logistiques ainsi que l’ouverture sur les marchés du continent africain et de continuer à soutenir la formation et l’échange des expertises. M. El Othmani a félicité à la fin de son intervention, la Directrice générale et tous les cadres et les employés de l’ONHYM pour les réalisations qui font de l’Office un levier essentiel d’attraction des investissements pour ce secteur, connu par ses énormes besoins en investissements et la complexité de ses opérations de forage et d’exploration, poursuit le communiqué.

Par ailleurs, les membres du Conseil ont suivi un exposé de la directrice générale de l’ONHYM, Amina Benkhadra, dans lequel elle a présenté le bilan des activités de l’Office dans les domaines de la prospection d’hydrocarbures, de la coopération et de la promotion, et ce au titre de l’année 2017. Lors de cette réunion, les responsables ont présenté le plan d’action pour la période 2017-2021 et via lequel l’Office compte mettre en place un modèle de développement permettant le renforcement de son rôle dans la prospection et la promotion des investissements en hydrocarbures et mines, à l’exception des phosphates.

Au terme de cette réunion, le Conseil a approuvé un ensemble de décisions portant notamment sur l’arrêté des comptes de l’Office au titre de 2016 tels que présentés et du budget de l’Office en 2018, ainsi qu’une série de points relatifs à la gestion administrative et financière de l’Office. Cette réunion s’est tenue en présence du ministre de l’Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la Ville, du ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, du ministre délégué chargé des affaires générales et de la gouvernance et des représentants des départements membres au Conseil d’administration de l’ONHYM.