Petrom célèbre cette année ses 70 ans. Et à cette occasion, déterminée à renforcer sa croissance, l’entreprise lance le projet « Petrom 2020 », qui vise à privilégier l’innovation, la qualité et la satisfaction.

Construit avec et pour ses parties prenantes, le projet va être décliné en plan d’actions durant les 3 prochaines années. Sa concrétisation va permettre à l’entreprise de progresser et d’offrir une meilleure qualité de produits et services à travers l’ensemble de ses activités.

Ainsi, Petrom continue de se développer et d’élargir son réseau, qui compte aujourd’hui plus de 250 stations-services sur tout le territoire. De plus, la compagnie poursuit sa politique de partenariats avec des enseignes prestigieuses telles que Eléphant Bleu, Point S ou encore Brioche Dorée.

Taqa Morocco réalise un résultat net part du groupe en progression de 3,6% à plus de 1,01 milliard de DH.

Cette performance est due à l’évolution du résultat d’exploitation (REX) et l’amélioration du résultat financier, suite à la baisse des charges d’intérêt sur emprunts, souligne la filiale du groupe émirati, Taqa, dans une communication financière. Le taux de marge consolidée ressort, ainsi, en hausse à 16,3% au 31 décembre 2017, contre 16,1% à fin 2016.

Pour sa part, le chiffre d’affaires (CA) consolidé évolue légèrement de 0,4% à 8,08 MMDH, en raison de la bonne performance de l’ensemble des unités et de la réalisation du plan de maintenance programmé.

De son côté, le REX consolidé se stabilise à 2,57 MMDH, suite aux “efforts continus d’optimisation des charges d’exploitation et de maintenance ainsi qu’à l’évolution du prix d’achat du charbon sur le marché international”, explique la même source.

Ces facteurs ont atténué l’effet de la dépréciation du dollar par rapport au dirham en 2017 comparée à une année plus tôt. Le taux de marge opérationnelle consolidé s’élève à 31,8% à l’issue de l’exercice écoulé, contre 32% en 2016.

Le résultat financier s’améliore

Toujours dans le rouge, le résultat financier s’améliore de 9,7%, passant de -709 MDH en 2016, à -640% à fin 2017.

La progression des résultats financiers repose, selon la société, sur des performances opérationnelles solides et maîtrisées, d’une part, des unités 1 à 4 qui ont enregistré un taux de disponibilité de 93,2% (contre 93,1% en 2016), et d’autre part, des unités 5 et 6.

Ces dernières ont réalisé un taux de disponibilité de 91%, comparé à 91,3% en 2016, en raison de la révision mineure de l’unité 6 programmée dans le plan de maintenance.

Vivo Energy Maroc s’est vu remettre le prix Best Employer 2018 qui récompense le meilleur employeur de l’année au Maroc.

« Nous sommes très fiers d’avoir obtenu le Prix Best Employer qui consacre nos efforts continus pour le bien-être de nos ressources humaines. Ce prix récompense avant tout notre culture d’entreprise et notre climat de travail. Il confirme aussi la fierté d’appartenance à Vivo Energy Maroc de chacun de nos collaborateurs », a déclaré Asaf V Sasaoğlu, Président Directeur Général de Vivo Energy Maroc. « Nous sommes convaincus chez Vivo Energy Maroc que la clé du succès de toute organisation réside dans la qualité de son capital humain. Nous n’épargnons aucun effort ni investissement afin de favoriser un excellent environnement de travail où les femmes et les hommes s’épanouissent et où il fait bon vivre », a ajouté Hind Ameziane, Directrice des Ressources Humaines de Vivo Energy Maroc.

Vivo Energy Maroc doit en premier lieu ce résultat à la satisfaction de ses collaborateurs. Ils ont été invités à répondre à un questionnaire concernant leur perception des conditions de travail, la culture de l’entreprise, la gestion RH, l’évolution professionnelle, la rémunération et la reconnaissance professionnelle. Cette évaluation a été complétée par une analyse de la politique du personnel, dans le cadre d’une enquête menée auprès de la direction des Ressources Humaines sur les différentes pratiques en matière de gestion du capital humain.

Grâce à sa forte culture d’entreprise favorisant l’honnêteté, l’équité, la reconnaissance et le respect, les collaborateurs de Vivo Energy Maroc ont plébiscité un climat de travail agréable et propice à l’épanouissement, ainsi qu’une évolution dans des postes à forts challenges et d’opportunités de développement de leurs carrières.

Le programme « Best Employer 2018 », organisé à l’initiative de l’Institut américain « Best Companies Group » en partenariat avec le cabinet de conseil en RH Lycom, vise à rendre hommage aux sociétés marocaines et multinationales opérant au Maroc qui offrent le meilleur environnement de travail et savent attirer et retenir leurs collaborateurs.

Apres le succès de la première édition du programme de formation du futur personnel des centrales NOOR II, le groupe d’ingénierie et de technologie SENER, en partenariat avec l´OFPPT et Masen, reconduit une deuxième édition du programme de formation, cette fois-ci pour le centrale NOOR III.

Cette deuxième édition s’inscrit dans le cadre des préparatifs au lancement de la phase d’exploitation de la centrale NOOR III. Cette formation se décline sur 2 mois et cible 60 étudiants. Le programme se divise en 15 modules, répartis sur 300 heures de théorie et de pratique.

Ce deuxième cycle offrira des découchés plus variés aux futurs lauréats, tels que des opérateurs de nettoyage de champs solaires, des opérateurs de terrain, des opérateurs de blocs de puissance et des techniciens de maintenance, à la fois mécaniques et électriques. Une initiative qui s’inscrit dans le cadre de la convention de partenariat signée entre SENER, Masen et l’OFPPT le 28 mars 2017 à Rabat pour la formation d’une centaine de jeunes de Ouarzazate, visant ainsi à renforcer l’industrie locale et les compétences du capital humain. Les candidats retenus à la formation recevront un certificat de formation en énergie solaire thermique.

Pour rappel, La première session de formation a permis de former 42 étudiants aux métiers liés à l’énergie solaire thermique à concentration (CSP). L’équipe de formateurs de l’OFPPT ont eux-mêmes été accompagnés, avant le lancement de la session de formation, par des experts SENER, contribuant ainsi à la création de nouvelles compétences et favorisant le transfert de savoir-faire sur les technologies thermo-solaires aux établissements de formation locaux.

Anas Raisuni, Directeur Général de SENER au Maroc, réaffirme : « Nous sommes très satisfaits des résultats de la formation, notamment de la capacité d’apprentissage rapide des participants. Je suis ravi de constater, de manière effective, ce transfert de connaissances et de savoir-faire. Je suis ravi de pouvoir renouveler ce nouveau cycle de formation qui sera, sans aucun doute, tout aussi bénéfique pour la population locale que pour la centrale NOOR III. »

À travers cette initiative, MASEN confirme sa volonté de constituer un vivier de compétences dans les zones d’implantation de ses projets, en faisant appel à l’expertise de ses partenaires tels que SENER, mais aussi en étroite collaboration avec l’OFPPT qui cumule une longue expérience dans la formation spécialisée des jeunes.

Le Maroc dispose d’une expérience pionnière en Afrique en matière d’efficience énergétique lui permettant de s’ériger en modèle dans le continent, a souligné, mardi 8 mars à Midrand en Afrique du Sud, la directrice du Bureau Afrique de l’Organisation des Nations Unies pour l’environnement (ONU-Environnement) et ancienne ministre de l’environnement en Guinée, Juliette Biao Koudenoukpo.

Mme Biao Koudenoukpo, qui s’exprimait devant la Commission permanente des transports, de l’industrie, des communications, de l’énergie, des sciences et de la technologie du Parlement Panafricain (PAP), a affirmé que les pays africains, en particulier les pays membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), devraient profiter de l’expérience marocaine en matière de financement des projets d’énergies propres et ne pas se contenter des fonds étrangers qui font crouler le continent sous le poids des crédits à long terme, néfastes pour le développement durable au profit des générations futures.

Elle a, par ailleurs, déploré le fait que seulement deux pays africains ont répondu à l’appel de l’ONU pour financer le Fonds pour l’environnement et que quatre pays du continent ont pu mettre en œuvre des politiques publiques efficaces dans le domaine des énergies renouvelables, conformément aux résolutions de l’ONU relatives à la protection de l’environnement.

Conformément à ses statuts, la Fédération de l’Energie informe ses membres qu’elle tiendra son Assemblée Générale Ordinaire, le Lundi 02 avril 2018 à 15h au siège de la CGEM.

Cette Assemblée Générale Ordinaire sera suivie par une conférence, qui aura lieu à l’Auditorium de la CGEM, et qui sera animée par M. Cédric PHILIBERT de l’Agence Internationale de l’Energie sur le thème :

« Energies Renouvelables : Nouvelles perspectives mondiales – Quel rôle pour le Maroc ? ».

Après le succès de la première édition du programme de formation du futur personnel des centrales NOOR II, le groupe d’ingénierie et de technologie SENER, en partenariat avec l´OFPPT et Masen, reconduit une deuxième édition du programme de formation, cette fois-ci pour le centrale NOOR III.

Cette deuxième édition s’inscrit dans le cadre des préparatifs au lancement de la phase d’exploitation de la centrale NOOR III. Cette formation se décline sur 2 mois et cible 60 étudiants. Le programme se divise en 15 modules, répartis sur 300 heures de théorie et de pratique.

Ce deuxième cycle offrira des découchés plus variés aux futurs lauréats, tels que des opérateurs de nettoyage de champs solaires, des opérateurs de terrain, des opérateurs de blocs de puissance et des techniciens de maintenance, à la fois mécaniques et électriques.

Une initiative qui s’inscrit dans le cadre de la convention de partenariat signée entre SENER, Masen et l’OFPPT, le 28 mars 2017 à Rabat, pour la formation d’une centaine de jeunes de Ouarzazate, visant ainsi à renforcer l’industrie locale et les compétences du capital humain. Les candidats retenus à la formation recevront un certificat de formation en énergie solaire thermique.

La Fédération de l’Energie et MASEN ont organisé, le 23 février 2018 à Ouarzazate, un workshop sur la thématique « Le solaire au Maroc : Développement de mégaprojets et opportunités sur les applicatifs ».

Cet atelier a rassemblé des participants et intervenants de la Fédération de l’Energie, de MASEN ainsi que des industriels et chercheurs.

L’objectif de ce workshop est, entre autres, l’échange et le partage des expériences des industriels Marocains et des grands groupes Nationaux et Internationaux dans ce domaine. C’est aussi une opportunité pour favoriser le networking entre les différents acteurs du secteur à même d’identifier de nouvelles opportunités de collaboration et de business.

En effet, Le développement de Mégaprojets de production d’électricité à partir de l’énergie solaire, tel le projet Noor, en plus de participer à la réduction de la dépendance énergétique du Maroc et des émissions des gaz à effet de serre, est aussi une opportunité pour développer de nouvelles applications utilisant l’énergie de source solaire :

  • Eclairage solaire ;
  • Signalisation routière ;
  • Production de froid pour climatisation de l’air ;
  • Pompage solaire ;
  • Chauffe -eau solaires.

C’est aussi une opportunité pour l’industrie Marocaine, en particulier les PME et PMI, pour saisir de nouvelles opportunités de business et de développer de nouvelles activités et métiers dans le cadre de l’intégration locale.

Cette journée s’est conclue par une visite du complexe Noor Ouarzazate à laquelle ont été conviés l’ensemble des participants et intervenants.

 

L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a appelé les gouvernements à mieux utiliser la fiscalité énergétique pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre et les polluants atmosphériques.

La fiscalité constitue un levier efficace pour faire baisser les émissions dommageables liées à la consommation d’énergie, souligne un rapport de l’Organisation intitulé «Taxing Energy Use 2018», qui décrit l’évolution de cette fiscalité dans 42 pays de l’OCDE et du G20 (collectivement à l’origine d’environ 80 % de la consommation d’énergie mondiale) par forme d’énergie et par secteur au cours de la période 2012-2015.

Les nouvelles données montrent que les taxes sur l’énergie ne sont toujours pas en phase avec les effets secondaires négatifs de l’utilisation d’énergie, observe l’OCDE dans un communiqué, relevant que ces taxes créent seulement des incitations limitées à réduire la consommation d’énergie, améliorer l’efficacité énergétique et privilégier des sources d’énergie moins dommageables.

Les hausses efficaces de la fiscalité ont surtout concerné le secteur routier, fait ressortir le rapport qui note que dans certaines grandes économies à revenu faible ou intermédiaire, la part de ses émissions taxées à un taux supérieur au coût climatique est passée de 46 % en 2012 à 50 % en 2015 à la faveur de réformes de la fiscalité des carburants.

Le document relève ainsi qu’en 2015, en dehors des transports routiers, 81 % des émissions échappaient à toute imposition, et 97 % d’entre elles étaient taxées à un taux inférieur à l’estimation basse du coût climatique (30 EUR par tonne de CO2).

«La comparaison des situations fiscales en 2012 et en 2015 est déconcertante», a expliqué dans ce sens Angel Gurría, Secrétaire général de l’OCDE pour qui «des efforts ont été faits ou sont en cours dans plusieurs pays et collectivités pour appliquer le principe pollueur-payeur, mais les progrès sur la voie d’une utilisation plus efficace de la fiscalité pour réduire les émissions nocives sont lents et parcellaires dans l’ensemble».

«Les gouvernements doivent faire plus et mieux», a-t-il ajouté soulignant que «les atteintes au climat et à la qualité de l’air imputables à la combustion d’énergies fossiles peuvent être maîtrisées».

«Plus nous attendrons, plus il sera difficile et coûteux de relever ce défi », a-t-il toutefois averti. Le rapport cite dans ce cadre le cas du charbon, dont la consommation produit pourtant de grandes quantités d’émissions nocives et près de la moitié des émissions de carbone liées à l’énergie dans les 42 pays étudiés, et qui reste presque partout l’énergie la moins taxée ou même pleinement exonérée.