La Secrétaire d’Etat chargée du Développement durable, Mme Nezha El Ouafi, a pris part à Bamako aux travaux du segment de haut niveau du 2ème Dialogue structuré, que le Fonds Vert pour le Climat (FVC) organise avec l’Afrique.

Lors de ce dialogue, les pays africains ont fait un premier bilan des efforts fournis en matière de mise en œuvre des projets et débattront des modalités de renforcer davantage l’engagement desdits pays.

Cette rencontre intervient dans un contexte marqué par des avancées en termes de mobilisation et de dynamique accompagnée par l’approbation des financements des projets, y compris l’élaboration et la mise en œuvre des Plans Nationaux d’Adaptation.

D’autre part, ce dialogue permettra d’appuyer les autorités nationales désignées et les entités accréditées pour accélérer la mise en œuvre du portefeuille de projets à travers la mobilisation, le renforcement des capacités et l’accompagnement des porteurs de projets prioritaires, le soutien des pays à la mise en place du cadre stratégique avec le FVC à travers le développement des Programmes Pays qui reflètent les priorités nationales.

Ce dialogue a connu la tenue d’un segment ministériel, des sessions plénières et des groupes de travail thématiques et réunira les autorités nationales désignées, les points focaux auprès du FVC, les départements ministériels en charge de l’environnement et des finances, les points focaux nationaux de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) ainsi que les entités accréditées.

Le Fonds Vert Climat est une entité opérationnelle du mécanisme financier de la CCNUCC, créée en 2010 à Cancun au Mexique, devenu opérationnel en 2014. Son objectif est de réaliser le transfert de fonds des pays les plus avancés à destination des pays les plus vulnérables, afin de mettre en œuvre des projets visant à promouvoir un développement à faibles émissions carbone et résilient au changement climatique dans les pays en développement.

Dans le cadre des engagements Climat pris par Lydec, figure notamment l’engagement n° 3 visant à «Economiser l’équivalent de la consommation en eau d’une ville de 1,2 million d’habitants d’ici 2020». Un engagement ambitieux qui repose sur une expertise «métier», mais trouve aussi son prolongement dans la mobilisation de l’ensemble des parties prenantes concernées.

Afin de sensibiliser ses parties prenantes à la gestion durable de la ressource en eau, Lydec déploie, à l’occasion de la Journée Mondiale de l’Eau 2018, un dispositif de sensibilisation en interne et en externe, présentant les enjeux liés à cette thématique et les actions de Lydec dans ce domaine.

Ainsi, la Coalition Marocaine pour l’Eau «COALMA», dont Lydec est membre fondateur, a participé à une session du Forum Mondial de l’Eau sur le thème «Usages transectoriels de l’eau et adaptation au changement climatique» et a signé, à cette occasion, un protocole d’accord avec l’Alliance des Entreprises pour l’Eau et le Changement Climatique (BAFWAC), afin de promouvoir la gestion durable de l’eau au Maroc et à l’international.

Par ailleurs, Lydec a déployé une campagne de communication sur les réseaux sociaux, dans ses agences clientèle, ainsi qu’en interne, présentant ses actions dans le domaine de la gestion durable de la ressource en eau et les éco-gestes à adopter pour y contribuer.

Le programme comprenait également une visite, au profit des enseignants et des représentants d’associations, à la station d’épuration des eaux usées de Médiouna et à l’espace expérimental d’agriculture urbaine, inauguré lors de la Journée Mondiale de l’Eau 2017.

Enfin, dans le cadre du partenariat entre La Fondation Lydec et l’Association des Enseignants des Sciences de la Vie et de la Terre (AESVT), la journée du jeudi 22 mars a été dédiée à un atelier de réflexion sur les outils de sensibilisation à l’eau dans le milieu scolaire, suivie d’une conférence-débat, en présence des parties prenantes concernées par la gestion durable de la ressource en eau sur le Grand Casablanca. Cet évènement a été clôturé par la remise des prix de la 2e édition du concours «Aqua’vidéo».

Leader mondial des technologies d’avant-garde, ABB écrit aujourd’hui l’avenir de la digitalisation de l’industrie. Fort de plus de 130 ans d’expertise, ce géant suisse compte à son actif près de 135 000 employés dans plus de 100 pays.

Présent au Maroc depuis 1980, il accompagne les acteurs économiques et environnementaux du Royaume à atteindre leurs objectifs en matière de développement durable.

Engagé dans la transition énergétique et la quatrième révolution industrielle, ABB s’implique fortement dans la stratégie ambitieuse du Maroc à réduire la consommation d’énergie jusqu’à 15 % et à augmenter la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique à 42 % en 2020.

Dans ce cadre, le Groupe s’est mis au service du Royaume pour apporter ses solutions. En plus de son siège de Casablanca, il a mis en place un atelier de turbocompresseurs à Agadir.

Au niveau national, il est ainsi devenu le fournisseur incontournable en matière de produits d’électrification, de robotique, de contrôle des mouvements, d’automation industrielle et de réseaux électriques, d’assistance technique, de formation et de surveillance à distance.

« Le Groupe satisfait ses clients en répondant efficacement et rapidement à leurs besoins et en les aidant à être plus compétitifs en matière d’énergie et de productivité durables », nous confirme Khaled Torbey, Directeur Général ABB Maroc.

Le partenaire industriel idéal pour l’événement Formule E

Disposant du plus grand parc de stations de charge rapide pour véhicules électriques au monde, ABB était incontestablement le partenaire industriel idéal pour l’édition 2018 de l’événement Formule E, qui s’est tenue à Marrakech.

En tant que partenaire officiel de ce championnat électrique régi par la FIA et, désormais, baptisé « ABB FIA Formula E », le Groupe a mis son nom et son leadership en matière d’innovation et de technologie au service de Formule E.

En effet, cette compétition sert de plateforme de test et développement des technologies d’électrification et de digitalisation en faveur de l’e-mobilité. Elle permet de repérer les manquements et d’améliorer la conception et la fonctionnalité des véhicules électriques, de l’infrastructure connexe ainsi que des plateformes digitales associées.

Grâce à leur collaboration, ABB et Formule E ont « bénéficié d’un positionnement solide pour repousser les limites de l’e-mobilité, à l’heure où des études confirment que 50 % des voitures qui seront vendues en 2030 seront électriques », nous explique M. Torbey.

La sous-station hybride, une première au Maroc !

ABB intervient également au développement de l’infrastructure électrique afin d’intégrer les énergies renouvelables, avec des objectifs de production de plus d’électricité grâce au vent et à d’autres sources d’énergies renouvelables.

Dans cette perspective, le Groupe est en train de fournir au Maroc une sous-station hybride pour un parc éolien. Première en son genre au pays, cette sous-station a nécessité un budget de 16 millions de dollars et permet de résister aux intempéries du désert et aux conditions atmosphériques maritimes.

D’après M. Torbey, « la sous-station est prévue sur une capacité de 225/33 kilovolts (kV) avec une possibilité d’extension jusqu’à 400 kV ou d’augmentation de la puissance du parc éolien jusqu’à 300 MW ».

Flexible et évolutive, cette sous-station, non seulement, renforce la présence d’ABB en Afrique, mais elle permettra également à la division « ABB Power Grids » ̶ premier fournisseur au monde de produits, de systèmes et de solutions de services dans l’énergie et l’automation ˗ de rendre les réseaux plus performants, plus intelligents et plus verts pour ses clients.

Dans un paysage énergétique en mutation, EDF accélère dans le développement du stockage de l’électricité pour devenir le leader européen du secteur. Le stockage est un levier essentiel de la transition énergétique, aux côtés de l’efficacité énergétique et des énergies nucléaires et renouvelables. Pionnier dans le domaine, le Groupe est déjà présent sur les principaux champs d’application des technologies de stockage, notamment les batteries et les STEP hydrauliques.

EDF a pour ambition de développer 10 GW de nouveaux moyens de stockage dans le monde d’ici à 2035 en plus des 5 GW déjà exploités par le Groupe. Cette accélération représente un investissement de 8 milliards d’euros sur la période 2018-2035.

Les ambitions d’EDF portent sur l’ensemble des marchés du stockage de l’électricité au service du bon fonctionnement de l’équilibre du système électrique, des clients particuliers et entreprises et des territoires. Le Groupe vise notamment à être le leader en France et en Europe sur le marché des clients particuliers avec sa gamme d’offres d’autoconsommation intégrant des batteries. Le continent africain est également un marché prioritaire pour le groupe qui a l’objectif de développer un portefeuille d’1,2 million de clients « off-grid » (sans accès à l’électricité) à l’horizon 2035 en s’appuyant sur des partenariats locaux.

Des réalisations concrètes dans les douze prochains mois :

– La mise en service d’au moins trois projets de batteries pour la performance et l’équilibre de système électrique;

L’extension de notre offre d’accès à l’électricité avec des panneaux solaires et des batteries au Ghana, après le 
succès rencontré en Côte d’Ivoire (déjà 15 000 installations).

Démultiplier les forces du Groupe Face au développement rapide des technologies de stockage, EDF renforce également sa capacité de Recherche et Développement et d’innovation dans le domaine. L’investissement de recherche sur le stockage pour le système électrique est doublé pour atteindre 70 millions d’euros sur la période 2018-2020.

En parallèle, EDF Nouveaux Business consacrera dans les deux ans à venir 15 millions d’euros, soit un tiers de ses investissements, aux projets et start-up liés au stockage électrique et à la flexibilité. 
Jean-Bernard Lévy, Président-Directeur Général d’EDF, a déclaré que « Les technologies de stockage de l’électricité sont appelées à transformer radicalement le secteur de l’énergie.

Le Plan Stockage Electrique d’EDF s’appuie sur l’expertise de l’ensemble des métiers du Groupe et sur 25 années d’investissement en R&D. La nouvelle frontière que le groupe dessine est celle d’un système énergétique 100% dé-carboné à l’horizon 2050. De par leur ampleur, le Plan Stockage Electrique, comme le Plan Solaire, confirment la capacité d’EDF à entraîner tout un écosystème compétitif pour concrétiser notre avenir sans carbone.»

Les moyens de renforcer la coopération bilatérale entre le Maroc et l’Inde ont été au centre d’entretiens, le 10 avril à New Delhi, entre le ministre de l’Energie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah et des responsables indiens du secteur de l’énergie.

Lors de cette réunion, M. Rabbah a passé en revue la stratégie nationale des énergies renouvelables qui ambitionne la production de 42% des besoins énergétiques de sources renouvelables d’ici 2020 et 52% d’ici 2030, mettant en avant l’importance de la création d’un centre marocco-indien d’excellence dans le domaine des énergies renouvelables pour établir un échange fructueux d’expériences et d’expertises entre les deux pays et avec le continent africain, sur la base de quatre axes qui concernent la formation continue, la formation initiale, la gouvernance énergétique et les rencontres B to B.

Pour sa part, M. Kumar Singh a rappelé les succès réalisés par le Maroc et l’Inde dans la fertilisation des terres agricoles, exprimant son souhait que ces succès puissent s’étendre à d’autres secteurs économiques dans la perspective de consolider davantage la coopération entre les deux pays.

Le responsable indien a appelé à accorder de l’importance au volet économique dans le développement du secteur de l’énergie au vu de son rôle important dans la création d’emploi, affirmant la nécessité de mettre en avant les atouts communs des deux pays et d’encourager les entreprises marocaines et indiennes à mettre en place des joint-ventures, relevant que le Maroc, qui a des liens privilégiés avec l’Europe, est à même d’offrir à l’Inde une plateforme d’accès aux marchés prometteurs du vieux Continent.

A l’issue de cette réunion, les deux parties ont signé un mémorandum d’entente visant à mettre en place les bases d’un partenariat institutionnel pour promouvoir et consolider la coopération technique en matière d’énergies renouvelables dans l’intérêt des deux pays.

Ce mémorandum vise également à développer les technologies des énergies renouvelables, à renforcer les capacités, à former le personnel technique et scientifique, à échanger des informations techniques, à organiser des ateliers communs et à réaliser des recherches et des projets conjoints dans ce domaine.

Les deux pays ont également souligné l’importance de l’Alliance solaire internationale et son rôle de premier plan dans le développement des solutions appropriées en la matière, affirmant leur volonté commune de concrétiser les objectifs de l’Alliance à travers le développement et la généralisation des solutions de l’énergie solaire par le biais du financement, de la recherche et du renforcement des capacités.

M. Rebbah s’est également entretenu avec le ministre indien du pétrole et du gaz, M. Dhamendra Pradhan avec lequel il a fait part de la volonté du Royaume, qui a fait de grands progrès dans le domaine de l’énergie, d’élargir sa coopération avec l’Inde, notamment en ce qui concerne le développement de l’exploitation de ses ressources énergétique.

Lors d’échanges après une projection vidéo sur l’Institut et l’Alliance solaire internationale et ses objectifs, M. Rebbah a indiqué que le Maroc, qui s’assigne l’objectif de parvenir à une production de 6000 Mw d’électricité, aspire également à assurer 52% de ses besoins énergétiques à partir des énergies renouvelables à l’horizon 2030.

Les travaux de la 16e réunion ministérielle du Forum international de l’énergie se sont ouverts, le 11 avril à New Delhi, avec la participation de 72 pays, dont le Maroc.

Le Royaume prend part à ce Forum, organisé sur trois jours sous le thème « L’avenir de la sécurité énergétique mondiale », avec une délégation présidée par le ministre de l’Energie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah, et composée du second de l’ambassadeur du Maroc en Inde, Hassan Alaoui Mostefi et des responsables centraux du ministère.

Intervenant à l’ouverture de cette réunion, le secrétaire général du Forum international de l’énergie, Sun Zheng a indiqué que cet événement international se veut une plateforme pour adopter des recommandations et des politiques susceptibles de développer la coopération dans le domaine de l’énergie et de poursuivre le travail déjà accompli.

Il a affirmé la nécessité d’activer les mécanismes de dialogue concernant l’avenir énergétique entre les pays producteurs et consommateurs, appelant à réfléchir à de nouvelles politiques pour inciter l’investissement dans le secteur de l’énergie au niveau mondial.

Pour sa part, le Premier ministre indien, Narendra Modi a fait savoir que le monde connaît actuellement des changements importants dans le secteur de l’énergie avec une forte hausse de la demande des économies émergentes en ressources énergétiques, notamment en Afrique et en Asie.

Il a fait remarquer que l’Inde sera le moteur de la demande mondiale en énergie au cours des 25 prochaines années, appelant à une tarification raisonnable sur le marché mondial pour trouver un juste équilibre entre les intérêts des producteurs et ceux des consommateurs.

De son côté, le ministre indien du Pétrole et du gaz naturel, Dharmendra Pradhan a relevé que ce Forum qui se tient en Inde, troisième consommateur mondial d’énergie, vise à examiner les moyens susceptibles de mieux organiser ce secteur qui est le moteur même de tout développement économique et social.

La tenue de ce Forum intervient dans une conjoncture économique marquée par de grands changements au niveau mondial, estimant que ce conclave constitue une opportunité pour les pays exportateurs et importateurs pour mener réflexion sur un partenariat équitable et efficient.

Le Forum international de l’énergie, organisé tous les 2 ans, est une plateforme importante pour consolider les relations commerciales dans le domaine de l’énergie et des énergies alternatives et instaurer des partenariats stratégiques entre les différents intervenants du secteur énergétique.

Le ministère délégué chargé des affaires générales et de la gouvernance a lancé, jeudi à Rabat, l’application « Mahatati », une plateforme digitale dédiée à la consultation et la comparaison des prix des carburants.

A travers cette solution, mise en place en collaboration avec le Groupement des pétroliers du Maroc (GPM), le ministère ambitionne de mettre à la disposition du citoyen une information fiable à propos des prix des carburants.

Disponible en versions arabe et française, l’application « Mahatati » permet aux citoyens (particuliers ou professionnels) un accès libre, gratuit et en temps réel aux prix des carburants dans les différentes stations de service à l’échelle nationale, grâce à sa conception innovante et intuitive.

De même, cette application offre, à travers la géolocalisation, la possibilité d’identifier les stations de service les plus proches et l’ensemble des produits et services que celles-ci proposent.

Jet Energy a réalisé une centrale solaire avec une technologie de tracking mono-axe, une première au Maroc.  Contrairement à l’installation sur des structures fixes, l’utilisation de trackers permet d’améliorer le rendement d’au moins 25%. 

La centrale en question a une puissance de 750kWc et produira annuellement plus 1,4GWh, évitant ainsi à la ville de Marrakech 1022 tonnes d’émissions CO2.

Les modules photovoltaïques utilisés pour les besoins de cette centrale ont été produits localement, par Pv Industry, une filiale de Jet Energy, disposant d’une ligne de production de panneaux photovoltaïques aux normes internationales pouvant atteindre une capacité de production annuelle de 60MW.

Initié conjointement par le ministère de l’environnement et la SIE (Société d’Investissements Energétiques) et financé grâce à une contribution du PNUD (Le Programme des Nations unies pour le développement), cette centrale permettra la recharge des bus électriques mis en service récemment dans le cadre de la COP22.

De par sa dimension environnementale intégrée, ce projet met en avant un modèle de mobilité urbaine inédit sur le continent Africain dont l’expérience pourra être dupliqué dans d’autres villes du royaume.

 

Jet Energy en bref

Jet Energy est un contractant général spécialisé dans la réalisation, l’exploitation et la maintenance de centrales photovoltaïques. Grâce à plusieurs MWc installés au niveau national, Jet Energy est aujourd’hui le leader marocain dans son domaine.

Vous trouverez plus d’informations sur le site www.jetenergy.ma

Leader mondial des technologies d’avant-garde, ABB écrit aujourd’hui l’avenir de la digitalisation de l’industrie. Fort de plus de 130 ans d’expertise, ce géant suisse compte à son actif près de 135 000 employés dans plus de 100 pays.

Présent au Maroc depuis 1980, il accompagne les acteurs économiques et environnementaux du Royaume à atteindre leurs objectifs en matière de développement durable

Engagé dans la transition énergétique et la quatrième révolution industrielle, ABB s’implique fortement dans la stratégie ambitieuse du Maroc à réduire la consommation d’énergie jusqu’à 15 % et à augmenter la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique à 42 % en 2020. 

Dans ce cadre, le Groupe s’est mis au service du Royaume pour apporter ses solutions. En plus de son siège de Casablanca, il a mis en place un atelier de turbocompresseurs à Agadir.

Au niveau national, il est ainsi devenu le fournisseur incontournable en matière de produits d’électrification, de robotique, de contrôle des mouvements, d’automation industrielle et de réseaux électriques, d’assistance technique, de formation et de surveillance à distance.

« Le Groupe satisfait ses clients en répondant efficacement et rapidement à leurs besoins et en les aidant à être plus compétitifs en matière d’énergie et de productivité durables », nous confirme Khaled Torbey, Directeur Général ABB Maroc.

Le partenaire industriel idéal pour l’événement Formule E

Disposant du plus grand parc de stations de charge rapide pour véhicules électriques au monde, ABB était incontestablement le partenaire industriel idéal pour l’édition 2018 de l’événement Formule E, qui s’est tenue à Marrakech.

En tant que partenaire officiel de ce championnat électrique régi par la FIA et, désormais, baptisé « ABB FIA Formula E », le Groupe a mis son nom et son leadership en matière d’innovation et de technologie au service de Formule E.

En effet, cette compétition sert de plateforme de test et développement des technologies d’électrification et de digitalisation en faveur de l’e-mobilité. Elle permet de repérer les manquements et d’améliorer la conception et la fonctionnalité des véhicules électriques, de l’infrastructure connexe ainsi que des plateformes digitales associées.

Grâce à leur collaboration, ABB et Formule E ont « bénéficié d’un positionnement solide pour repousser les limites de l’e-mobilité, à l’heure où des études confirment que 50 % des voitures qui seront vendues en 2030 seront électriques », nous explique M. Torbey.

La sous-station hybride, une première au Maroc !

ABB intervient également au développement de l’infrastructure électrique afin d’intégrer les énergies renouvelables, avec des objectifs de production de plus d’électricité grâce au vent et à d’autres sources d’énergies renouvelables.

Dans cette perspective, le Groupe est en train de fournir au Maroc une sous-station hybride pour un parc éolien. Première en son genre au pays, cette sous-station a nécessité un budget de 16 millions de dollars et permet de résister aux intempéries du désert et aux conditions atmosphériques maritimes.

D’après M. Torbey, « la sous-station est prévue sur une capacité de 225/33 kilovolts (kV) avec une possibilité d’extension jusqu’à 400 kV ou d’augmentation de la puissance du parc éolien jusqu’à 300 MW ».

Flexible et évolutive, cette sous-station, non seulement, renforce la présence d’ABB en Afrique, mais elle permettra également à la division « ABB Power Grids » ̶ premier fournisseur au monde de produits, de systèmes et de solutions de services dans l’énergie et l’automation ˗ de rendre les réseaux plus performants, plus intelligents et plus verts pour ses clients.

La CGEM a procédé, le 5 mars, à la signature de deux conventions de partenariat pour le développement d’une économie climatique visant à renforcer les capacités nationales du secteur privé marocain en matière de lutte contre le changement climatique.

Ces conventions ont été signées, en marge d’une rencontre initiée par la CGEM sur la « Nouvelle économie climatique », par la présidente de la Confédération, Mme Miriem Bensalah-Chaqroun et la Secrétaire d’État chargée du Développement Durable, et Présidente du Centre de Compétences en Changement Climatique du Maroc « 4C Maroc », Mme Nezha El Ouafi, d’une part, et par Mme Bensalah-Cheqroun et Obaid Amrane, secrétaire permanent du Cluster solaire et membre de Direction de MASEN, d’autre part.

La première convention a pour objet de déterminer les modalités d’accompagnement par le 4C Maroc, avec l’appui du projet 4C/GIZ, de la CGEM dans la mise en œuvre du plan d’action de son « Initiative Entreprises Climat Maroc » (IECM) pour l’année 2018.

Avec l’appui du projet 4C/GIZ, le 4C MAROC s’engage notamment à favoriser le déploiement au niveau régional de la Dynamique Climatique du secteur privé, et participer à la réussite du déploiement régional de la Dynamique Climatique du secteur privé initiée en 2016, à travers l’IECM, au niveau de 6 régions du Royaume.

Le 4C MAROC prendrait également en charge les aspects logistiques liés à l’organisation des journées régionales « Entreprises et Changement Climatique », prévues selon un calendrier défini dans le plan d’action 2018. L’accord prévoit également de mettre en place, avec l’appui de la CGEM, d’une Plateforme Public/Privé, dédiée au Changement Climatique(CC), dont l’objectif serait d’assurer une participation anticipée, planifiée et réussie du secteur privé dans la tenue des engagements pris par le Royaume dans l’Accord de Paris.

Il s’agit, en 2018, de concevoir cette plateforme et de permettre une participation effective du secteur privé La CGEM s’est engagé, quant à elle, sur les aspects de déploiement au niveau régional de la Dynamique Climatique du secteur privé et de la mise en place de la Plateforme Public/Privé Changement Climatique (CC).

Les deux parties sont tombées d’accord pour créer un comité de suivi paritaire pour assurer le suivi de la mise en œuvre de cette convention qui entre en vigueur à la date de sa signature par les parties concernées et a une durée d’une année. La deuxième convention a pour objet de concrétiser la volonté de collaboration exprimée par la CGEM et e cluster solaire pour le développement d’une économie climatique autour des énergies renouvelables.

Les axes de partenariat qui seront développés entre la CGEM et le Cluster Solaire sont le développement de marchés autour des applicatifs des énergies renouvelables, le renforcement de capacités, l’Organisation d’évènements/séminaires et workshops et l’entrepreneuriat dans le green.

Cette convention, d’une durée de 3 ans, entrera en vigueur à compter de sa signature par les deux Parties. Dans l’hypothèse où les elles n’auront pas été en mesure, dans ce délai, d’exécuter leurs obligations au titre de ladite convention, elles pourront convenir de la reconduire pour une durée définie d’un commun accord.