Le Secrétariat du partenariat énergétique maroco-allemand (Parema) a organisé, du 16 au 19 juillet 2018 à Rabat, une école d’été portant sur «l’implication de la société civile dans la transition énergétique».

Cette initiative a réuni une trentaine de participants représentant les organisations de la société civile marocaine (OSC), mobilisées dans la lutte contre le changement climatique, conscientes du potentiel que recèlent les énergies renouvelables et désireuses de participer au processus de mise en œuvre de la transition énergétique marocaine.

L’objectif étant de renforcer les capacités des organisations de la société civile autour de la thématique de l’énergie et de la politique de l’énergie au Maroc, en les sensibilisant.

Cette école d’été a été également l’occasion pour consolider les relations «entre les acteurs de la société civile marocaine et leurs homologues allemands et étrangers, grâce à l’engagement de l’ONG Germanwatch e.V, qui œuvre pour la justice globale et la conservation des moyens d’existence, et qui a assuré la modération de l’école d’été, en étroite collaboration avec les équipes du secrétariat Parema et les experts nationaux et internationaux mobilisés».

En 20 ans, l’électrification au Maroc a fait « des bonds de géant » jusqu’à assurer une couverture quasi-totale du territoire et permettre au pays d’apparaître comme un « pionnier » des énergies renouvelables en Afrique, selon la Banque africaine de développement (BAD).

Le Maroc est un “modèle de réussite” dans la marche vers l’électrification du continent africain d’ici à 2023 et il représente, à ce titre, un “exemple” qui pourrait inspirer d’autres pays, lit-on sur le site électronique de la BAD.

Pour la Banque panafricaine, “la prouesse est d’autant plus notable que la demande en électricité n’a cessé de croître dans le pays, de 6 à 7 % par an en moyenne ces vingt-cinq dernières années”.

La BAD souligne ensuite qu’en moins de 20 ans, le Maroc a accompli des progrès extraordinaires pour électrifier l’ensemble du pays, notamment les régions rurales. L’électrification rurale du pays, précise-t-on, est ainsi passée de 18 % au milieu des années 1990 à quasi 100 % aujourd’hui.

En effet, grâce à son ambitieux Programme d’électrification rurale global (PERG) auquel la Banque a contribué avec un financement de 155 millions d’euros, le Maroc a relevé le défi d’électrifier près de 100 % des zones rurales. Fin 2017, ce sont quelque 12,7 millions de Marocains qui avaient été raccordés au réseau grâce au PERG, lancé en 1995, ajoute la Banque. Le PERG, nuance-t-on, n’est pas le seul chantier colossal que le Maroc a lancé avec le soutien de la BAD dans le but de renforcer l’offre nationale en électricité et de diversifier son bouquet énergétique.

“Interconnexions électriques transnationales, développement de centrales, pari sur les énergies renouvelables, souci d’efficacité énergétique… Le Royaume ne ménage pas ses efforts”, énumère la Banque panafricaine. A cet égard, la BAD revient sur l’interconnexion sous-marine Maroc-Espagne, soulignant que déjà connecté à l’Espagne par des câbles sous-marins, le Maroc a décidé d’une deuxième interconnexion électrique, avec comme objectif de ce projet qui s’est étalé sur 2002-2006 de doubler la capacité de transit de l’interconnexion entre les deux pays et ainsi la faire passer à 1.400 MW.

Par ailleurs, la BAD s’attarde également sur la centrale de Ain Béni Mathar qui est une centrale à cycle combiné utilisant à la fois le gaz naturel et l’énergie solaire, d’une capacité de 472 MW. Fait notable, ce projet a été la toute première expérience dans l’énergie solaire de la BAD qui a agi en partenariat avec le Fonds pour l’environnement mondial et l’Office national de l’électricité (ONE) du Maroc. La BAD s’arrête, en outre, sur le projet NOOR, “la plus grande centrale solaire à concentration au monde”, auquel la Banque a apporté un “financement de 365 millions d’euros”.

Inauguré en 2016 et d’une capacité de 160 mégawatts, le complexe Noor I est la plus grande centrale solaire à concentration d’Afrique. Noor I, c’est plus de 500.000 miroirs reflétant le soleil et alignés sur 460 hectares, soit l’équivalent de… 600 terrains de football, souligne la BAD.

Depuis, deux autres centrales thermo-solaires, Noor II et Noor III, ont été mises en chantier et devraient entrer en service d’ici à la fin 2018, avec une capacité totale de 350 MW, ajoute la Banque, poursuivant qu’une quatrième centrale de 70 MW est également en cours de construction, ce qui portera la capacité totale de l’ensemble du complexe de Noor Ouarzazate à 580 M, poursuit la BAD.

Sur un autre registre, la Banque note que le Maroc s’est lancé, voilà plus d’une décennie, dans un ambitieux programme de renforcement et de diversification de son énergie. Le pays, qui a d’ailleurs abrité le sommet de la COP22 à Marrakech en 2016, a mis le cap sur les énergies renouvelables et entend couvrir 52 % de ses besoins grâce à elles d’ici à 2030, conclut la BAD.

Après le premier atelier de sensibilisation autour de la thématique du bâtiment, le Ministère de l’Énergie, des Mines et du Développement Durable a organisé, le 16 juillet 2018, en partenariat avec l’Agence Marocaine pour l’Efficacité Énergétique (AMEE), un deuxième atelier thématique sur l’efficacité énergétique dans l’industrie – Expériences réussies et dispositifs d’accompagnement.

Ces ateliers s’inscrivent dans le cadre d’une série d’ateliers thématiques organisés pour promouvoir l’efficacité énergétique dans les secteurs clés de l’économie nationale, discuter et débattre les éventuelles opportunités du développement de l’efficacité énergétique et pour échanger les expériences en la matière entre les différents acteurs.

En effet, le secteur de l’industrie représente plus de 21% de la consommation énergétique nationale avec un fort potentiel d’économie d’énergie. Cet atelier de sensibilisation à l’efficacité énergétique dans l’industrie a été destiné à l’ensemble des acteurs du secteur de l’industrie. Il a été constitué de plusieurs panels techniques dédiés aux principales mesures d’efficacité énergétique dans le secteur de l’industrie. Ces panels ont ciblé les industriels et ont porté sur la présentation des outils et méthodes d’économie d’énergie, les mesures et actions d’efficacité énergétique préconisées, ainsi que les mécanismes de financements existants ou recommandés par l’AMEE. Ils ont permis en outre d’apporter des solutions probantes à la lutte contre les changements climatiques et l’amélioration de la compétitivité industrielle. Une session dédiée au benchmark international sur les meilleures pratiques, et une autre dédiée aux mécanismes de financement de l’efficacité énergétique dans l’industrie, ont été assurées par des experts de renom.

 

Le groupe Engie, à travers sa filiale Ausar Energy, va commencer dans les prochaines semaines l’installation de 8 centrales solaires hybrides d’une capacité globale de 2,2 mégawatts au Gabon.

Le projet a fait l’objet d’un accord de partenariat signé dernièrement entre le Groupe français et la Caisse des dépôts et consignations (CDC).

L’accord vise à renforcer les capacités énergétiques du Gabon et contribuera à matérialiser la volonté du gouvernement gabonais de promouvoir le solaire.

Le projet permettra ainsi d’économiser «un million de tonnes de litres de fuel par an, soit 2 600 tonnes de CO2 et réduire les coûts de production de 30%».

Le Groupe français Engie indique que cette opération répond à sa stratégie de favoriser la production et la distribution en Afrique, des centrales centralisées d’électricité à base d’énergies renouvelables et permettre aux localités non raccordées d’accéder à l’énergie.

 

La ministre Suisse de l’Environnement, des Transports, de l’Énergie et de la Communication Doris Leuthard, a effectué dernièrement une visite de travail au Maro. Cette visite fait suite au mémorandum d’entente signé entre le Maroc et la Suisse le 30 janvier dernier à Genève et a pour but de renforcer la collaboration de la Suisse et du Maroc dans le domaine de l’énergie.

Lors de cette visite de travail, la ministre suisse était accompagnée de représentants de l’économie issus des domaines de l’énergie, des transports et du traitement de l’eau.

A cette occasion M. Aziz Rabbah, Ministre de l’énergie, des mines et du développement durable a reçu Mme. Leuthard au ministère de l’énergie, des mines et du développement durable à Rabat, les discussions ayant portés « sur les possibilités de coopération » avec le Maroc.

Cette visite a été l’occasion pour l’Agence Marocaine pour l’Efficacité Énergétique (AMEE) de signer un protocole d’accord avec le groupe ABB (SA), acteur majeur des technologies de l’énergie et de l’automation. Ce protocole d’accord a pour objectif, la réalisation d’une étude technico économique de mise en place de bus électriques au Maroc ; la mise en œuvre d’un projet pilote de bus articulés ou doubles articulés avec la technologie de connexion flash la plus rapide au monde et l’étude d’un modèle financier qui facilitera le déploiement des taxis électriques.

 

Le secteur des énergies renouvelables connaît une dynamique soutenue au Maroc, a indiqué le ministre de l’énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rebbah qui a mis en exergue les perspectives prometteuse de ce domaine dans le cadre du développement durable qui renforce l’équilibre entre les dimensions environnementales, économiques et sociales.

S’exprimant à l’ouverture d’un atelier de sensibilisation sur « le pompage solaire: levier de l’efficacité énergétique et de développement durable dans le secteur de l’agriculture », M. Rebbah a rappelé les avantages multiples du recours à l’énergie verte en termes d’investissements, d’emploi, d’innovation, d’industrie, d’entreprenariat ainsi qu’en ce qui concerne la recherche scientifique.

le ministre a en outre souligné que grâce à la percée réalisée en matière d’énergies renouvelables, le Maroc est bien en marche pour cibler des marchés en Afrique et au niveau international à la faveur des compétences marocaines, des grands projets lancés ainsi que des mécanismes de financement, de soutien et d’accompagnement mis en place.

Abondant dans le même sens, le directeur général de l’Agence Marocaine pour l’Efficacité Energétique (AMEE), Said Mouline, est revenu sur les efforts consentis par le Maroc pour réduire la facture énergétique et assurer une rationalisation de l’utilisation de l’énergie notamment dans le domaine agricole grâce à la promotion de l’efficacité énergétique dans les différents secteurs.

Après avoir insisté sur la nécessité de sensibiliser les acteurs du secteur de l’agriculture, M. Mouline a passé en revue les multiples partenariats tissés par l’AMEE pour garantir l’efficacité énergétique qui fait partie des grandes orientations de la nouvelle stratégie énergétique nationale.

La représentante du Programme de l’ONU pour le développement (PNUD) a salué, de son côté, les efforts consentis par le Maroc pour développer l’économie verte et garantir l’efficacité énergétique mettant en exergue l’apport du Royaume dans la recherche de solutions pertinentes aux défis du développement durable.

En marge de cet atelier organisé dans le cadre de la 4ème édition du Salon international de pompage solaire, il a été procédé à la signature de deux conventions entre l’AMEE d’une part et la société « ZEECA » et l’association « Reso vert », portant sur la mise en œuvre d’un programme de formation et de promotion des énergies renouvelables et de sensibilisation à l’importance de l’efficacité énergétique.

Le Maroc s’érige désormais en “exemple” en Afrique et dans le monde entier en matière d’énergies renouvelables et de lutte contre le changement climatique, à la faveur du leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a affirmé, le 30 juillet à Tanger, le Directeur général de l’Agence internationale de l’énergie renouvelable (IRENA), M. Adnan Amin.

“Le Maroc est devenu un exemple et un leader en Afrique et dans le monde entier, en matière d’énergie renouvelable et de lutte contre le terrorisme”, a souligné M. Amin dans une déclaration à l’issue de la réception présidée par SM le Roi au Palais « Marchane » à l’occasion du 19è anniversaire de l’accession du Souverain au Trône de Ses glorieux ancêtres.

Pour M. Amin, le Royaume a réalisé un “grand succès” dans ces secteurs grâce au leadership de Sa Majesté le Roi. “J’ai eu l’heureuse opportunité de féliciter SM le Roi pour ce travail incroyable qui se produit au Maroc au niveau de la mise en oeuvre des projets de l’énergie renouvelable”, a-t-il indiqué.

Le choix du Maroc de faire des énergies renouvelables un levier de développement économique s’inscrit dans une vision stratégique intégrée, mue par une forte conviction que ce secteur recèle un important potentiel et ouvre de larges perspectives pour une croissance durable qui respecte l’environnement et qui profite à tous.

En effet, le Maroc s’est engagé dans la réalisation de mégas projets avec pour objectif de développer son mix énergétique, une décision reflétant la politique ambitieuse du Royaume dans le secteur énergétique et un choix pertinent qui aura indubitablement un effet d’entrainement sur l’économie nationale.

Dans cette logique de développement respectueux de l’environnement, il est fort important de souligner l’aspect stratégique du choix de produire une énergie propre dans la perspective d’accompagner une croissance économique soutenue et de renforcer à terme l’indépendance énergétique du pays.

Le Maroc qui continue d’importer une grande partie de ses besoins en énergie, affiche en même temps une forte détermination à renforcer ses infrastructures particulièrement dans les secteurs prioritaires.
L’ambition de changer la donne explique donc pourquoi le Royaume n’a pas lésiné sur les moyens en vue de s’approprier les objectifs de développement durable, baisser la facture énergétique et réduire la dépendance vis à vis de l’étranger.

Ces cibles clairement définies dans le cadre d’une stratégie nationale volontariste justifient l’utilité de créer des projets de grande envergure surtout dans le solaire et l’éolien, une démarche bien réfléchie qui aura un impact positif sur l’économie nationale.

A n’en point douter, le Maroc, fort de sa vision stratégique nourrie, ambitionne de produire 52% de l’électricité à partir des ressources renouvelables à l’horizon 2030, le but étant de répondre aux besoins croissants des entreprises en matière d’électricité, créer une dynamique au niveau local, acquérir un savoir-faire dans ce domaine à forte valeur ajoutée et contribuer à réduire continuellement le taux des émissions de gaz à effet de serre conformément aux engagements du Royaume.

Ce mix énergétique comprend, outre les grandes centrales solaires, la construction de plusieurs parcs éoliens et le renforcement de la production de l’hydroélectrique. 

C’est dans le cadre d’une stratégie nationale réfléchie que plusieurs programmes d’énergies renouvelables ont vu le jour dans diverses régions du Royaume notamment à Drâa-Tafilalet qui en accueille une grande partie. Il s’agit en plus du projet phare de Noor de Ouarzazate, de la centrale solaire et du parc éolien de Midelt, des programmes Noor Tafilalet et Noor Atlas et de la centrale hydroélectrique d’Agdez à Zagora.

Comme le soulignent à juste titre les experts, la nouvelle expérience du Maroc de transformer les rayons solaires en source de production d’énergie propre offre à la région Drâa-Tafilalet une chance historique pour s’ériger en pôle énergétique d’excellence grâce à la centrale solaire de Ouarzazate.
Le transfert de technologies permettra aussi de participer au développement de ce territoire pour en faire un hub et un cluster dans le secteur des énergies renouvelables au Maroc.

A Ouarzazate par exemple, l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN) développe, avec ses partenaires, 4 sites solaires à savoir Noor 1 (opérationnel depuis 2016), Noor 2 et 3 (en cours de construction) et Noor 4, dont les travaux ont été lancés par SM le Roi Mohammed VI en avril 2017.

Ce projet, qui développera près de 72 mégawatts (MW) de puissance installée, permettra de couvrir les besoins en énergie d’une ville marocaine moyenne. Il devrait compléter dès sa mise en service les 582 MW environ prévus sur l’ensemble du complexe multi-technologie de Ouarzazate.

Dans leur argumentaire, les experts s’attardent aussi sur ces facteurs qui constituent la force de Drâa-Tafilalet pour héberger le plus grand nombre de sites énergétiques, mettant l’accent sur les potentiels naturels dont regorge ce territoire où le soleil brille toute l’année. 

Les projets des énergies renouvelables auront assurément un impact extraordinaire tant sur les régions où ils sont installés que sur l’ensemble de l’économie nationale. Outre leur contribution à consolider la stature du Maroc en tant que géant régional et producteur mondial d’énergies propres, leurs retombées attendues expliquent pourquoi le secteur des énergies renouvelables constitue un choix d’avenir et un précieux tremplin pour réussir. 

Vivo Energy Maroc a lancé en partenariat avec le Comité National de Prévention des Accidents de la Circulation (CNPAC), la campagne de sensibilisation à la sécurité routière, « Vigilance Roulez Prudence », du 27 au 29 juillet.

La campagne de sensibilisation des automobilistes aux dangers de la route se déroule sur trois jours, au niveau des sept stations-service Shell situées sur des axes autoroutiers stratégiques qui connaissent un trafic important durant cette période estivale. Cette opération vise à sensibiliser les automobilistes aux dangers de la route et les amener à prendre toutes les précautions nécessaires lors de l’usage de l’espace routier.

« Nous disposons chez Vivo Energy Maroc d’une réelle culture de la sécurité que nous avons mis en place en interne, et auprès de nos partenaires. Nous nous employons activement à la partager de manière plus générale avec nos clients et nos concitoyens. Cette initiative de sensibilisation durant la période estivale concrétise pour la septième année consécutive notre engagement en la matière et confirme la qualité de notre partenariat avec le CNPAC » a déclaré M. Asaf Sasaoglu, Président Directeur Général de Vivo Energy Maroc.

Cette initiative qui a visé plus de 10 000 automobilistes a mobilisé une équipe d’animateurs pour aller à leur rencontre. Leur rôle est d’apporter prévention et conseil aux conducteurs sur les différents comportements habituels et à risque, tels que l’usage du téléphone portable ou le non-respect des distances de sécurité. Pour sensibiliser et atteindre un maximum de personnes, un quiz est proposé aux clients des stations-service Shell. Une fois réussi, les participants sont récompensés par un kit de sécurité complet avec un pack de coloriage relatif à la sécurité routière pour les enfants.

L’engagement de Vivo Energy Maroc pour la sensibilisation à la sécurité routière dénote d’une réelle politique de gestion de la sécurité. L’entreprise a mis en place depuis plusieurs années un programme intégral de sécurité routière qui porte ses fruits permettant à Vivo Energy Maroc de poursuivre son engagement en tant qu’entreprise pionnière et leader en matière de sécurité. Il vise à faciliter un changement culturel dans les comportements liés à la sécurité routière auprès de ses collaborateurs, du grand public en général et chez les enfants en particulier. Vivo Energy Maroc travaille à cet effet en étroite collaboration depuis plus de dix ans avec le CNPAC pour l’amélioration de la sécurité sur les routes marocaines.

 

Dans le cadre du Comité Maghrébin de l’Electricité -COMELEC et suite à une invitation de la Direction Générale de la STEG, le Directeur Général de l’ONEE, M. Abderrahim Hafidi a pris part, le 13 juillet 2018 à Tunis, à une réunion tenue entre les trois sociétés maghrébines ONEE, la Société Tunisienne de l’Electricité et du Gaz STEG et Société Nationale de l’Electricité et du Gaz Algérienne –SONELGAZ.

La réunion a été consacrée principalement à la problématique du secours mutuel entre les trois pays et notamment pendant la période d’été marquée par une forte demande en énergie électrique ainsi qu’aux perspectives de développement des échanges d’électricité à moyen et long termes.

Après passage en revue des résultats des travaux de la commission constituée des trois opérateurs systèmes électrique de l’ONEE, SONELGAZ et STEG et chargée de l’examen des possibilités techniques de l’augmentation des échanges sur les interconnexions électriques, les Directeurs Généraux ont validé les recommandations issus des travaux de cette commission et ont convenu de mettre en place un groupe de travail chargé de présenter, dans un délai de six mois, un programme d’actions pour l’amélioration des échanges entre les trois pays à travers le renforcement des interconnexions, l’intégration massive des technologies nouvelles et favoriser la mise en place d’un marché maghrébin d’électricité.

Les Directeurs Généraux des trois opérateurs maghrébins ont également insisté sur la réactivation du programme des échanges et des visites techniques des installations des interconnexions entre les trois opérateurs systèmes.