Quatre conventions de partenariat en matière de protection des données à caractère personnel ont été signées, lundi (28/01/19) à Fès, à l’occasion de la célébration de la journée internationale du Data Privacy Day (DP-Day) sous le thème “protection de la vie privée numérique : enjeux et perspectives”.
Les conventions ont été signées par le président de la Commission nationale de contrôle de la protection des données à caractère personnel (CNDP), Omar Seghrouchni, d’une part, et les présidents de l’université Sidi Mohamed Ben Abdellah de FES (USMBA), Radouane Mrabet, de l’Université Euro-méditerranéenne de Fès, Mostapha Bousmina, de l’université Moulay Ismail de Meknès, Hassan Sahbi, et de l’université Al Akhawayn d’Ifrane, Driss Ouaouicha, d’autre part.

Une rencontre sur « l’efficacité énergétique entre les universités de l’espace Euro-Maghreb » s’est tenue, le 20 mars à Fès, avec la participation d’une pléiade de chercheurs de pays maghrébins et européens.

Initiée par l’Université Euromed de Fès (UEMF), cette rencontre vise l’évaluation des résultats du projet « PROEMED » obtenus jusqu’à aujourd’hui, ainsi que la synthèse de ces résultats en un modèle académique des formations de master en efficacité énergétique du bâtiment montées dans les universités du Maghreb membres du consortium du projet. Elle s’inscrit dans le cadre du projet « PROEMED Erasmus+ », financé par l’Union européenne.

S’exprimant à cette occasion, le président de l’UEMF, Mostapha Bousmina, a souligné que le Maroc a pris, ces dernières décennies, des initiatives « importantes » pour produire dans les différentes régions des énergies renouvelables, dont la plus grande centrale solaire au monde, en l’occurrence celle de Ouarzazate, rappelant que la facture énergétique du Maroc s’accapare une part importante du budget national
Ces actions ont été accompagnées depuis 2014 par un arsenal juridique approprié, la création de l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN) et l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN) destinée à financer les projets de recherche en la matière, en collaboration avec les universités.

M. Bousmina a aussi fait savoir que l’UEMF a pu bénéficier de ‘’plusieurs millions de dollars’’ de projets de recherches financés par l’IRESEN, tout en mettant en avant l’importance de la création de l’Agence marocaine de l’efficacité énergétique, destinée notamment à réduire la dépendance énergétique et la préservation de l’environnement.

De son côté, le vice-président chargé de la recherche et de l’innovation à l’UEMF, Tijani Bounahmidi, a mis l’accent sur le choix de la thématique débattue, précisant qu’il s’agit de former des ingénieurs capables de concevoir des systèmes énergétiques efficaces pour réduire la consommation des bâtiments en la matière. 
Ce projet s’inscrit dans le cadre des initiatives dédiées à améliorer l’efficacité énergique dans les bâtiments pour réduire le gaz à effet de serre et lutter contre le réchauffement climatique, a-t-il poursuivi, rappelant que le Maroc vise à réduire sa consommation d’énergie de 12% à l’horizon 2020.

M. Bounahmidi a également indiqué que ce projet de formation pour les futurs ingénieurs est « très judicieux » pour renforcer la protection de l’environnement et le développement durable des pays concernés.

Les objectifs spécifiques de PROEMED, dont les activités ont démarré en décembre 2016 pour une durée de trois ans, concernent la création de programmes de master en protection de l’environnement et en efficacité énergétique dans les bâtiments, l’amélioration des perspectives d’emploi des diplômés, le renforcement de la capacité du personnel enseignant à répondre aux demandes du marché du travail et l’orientation des nouveaux programmes vers la résolution de problèmes environnementaux et énergétiques.

Il s’agit également d’assurer l’intégration des éléments éducatifs améliorés et leur exploitation au-delà du cycle de vie du projet par des actions de diffusion et de création d’un réseau entre les institutions œuvrant dans le domaine.
Les formations de Master en efficacité énergétique du bâtiment, montées dans le cadre du projet PROEMED, ont été basées sur une analyse des besoins ciblés développée lors de visites d’experts, ainsi que dans le cadre d’ateliers avec les parties prenantes.

L’analyse s’est aussi basée sur une enquête par questionnaire réalisée auprès d’organisations impliquées à différents niveaux dans le domaine des bâtiments économes en énergie, afin d’identifier les besoins en formation en adéquation avec le marché du travail.

L’objectif principal de la filière de Master « ingénierie et conception de bâtiments verts », développée par l’Université Euromed de Fès dans le cadre du projet PROEMED, est de préparer des diplômés ayant une solide expérience en efficacité énergétique et capables de concevoir, calculer, mettre en œuvre et exploiter des procédés et des dispositifs assurant l’efficacité énergétique. La formation de l’UEMF dans ce domaine cible les ingénieurs en génie civil ainsi que les architectes.

La centrale solaire Noor de Ouarzazate a été citée, jeudi 14 mars lors du 3è One Planet Summit dans la capitale kényane, comme modèle de succès de l’énergie solaire en Afrique.

« La centrale solaire Noor de Ouarzazate au Maroc est un exemple de succès de l’énergie solaire en Afrique », a déclaré le président de la Banque Africaine du Développement, Akinwumi Adesina qui a pris la parole lors de la séance d’ouverture des travaux de ce 1er sommet régional, tenus sous l’égide des présidents français Emmanuel Macron et Kényan, Uhuru Kenyatta.
Cette session de haut niveau rassemble des chefs d’État, des ministres ainsi que des représentants des secteurs de la finance et des affaires, des administrations locales, de la société civile et de la jeunesse de plusieurs pays, dont le Maroc.
Le Maroc est représenté à ce premier sommet régional par la Secrétaire d’Etat chargée du développement durable, Nezha El Ouafi et l’Ambassadeur du Royaume au Kenya, El Mokhtar Ghambou.
Le sommet a abordé deux questions principales, à savoir la promotion des énergies renouvelables et le renforcement de la résilience, de l’adaptation et de la biodiversité.
Ce Sommet a permis aux participants de présenter des réalisations concrètes et des initiatives novatrices, suscitant de nouvelles coalitions et de nouveaux engagements.

Le Ministère de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Economie Numérique vient de lancer une étude pour le développement de l’écosystème industriel des énergies renouvelables au Maroc, confiée au Cabinet Energy Handle.

Cette étude, menée en collaboration avec le cluster Solaire, a pour objectifs de fournir une synthèse de l’état des lieux du marché des énergies renouvelables national et à l’export et d’élaborer un plan de développement de l’écosystème industriel des énergies renouvelables, prenant en considération le potentiel du marché ainsi que les capacités et besoins des industriels nationaux. Cette étude permettra particulièrement d’élaborer le contrat de performance de l’écosystème EnR, fixant ainsi un cadre global d’accompagnement des projets industriels.

Dans le cadre de la mise en œuvre de cette étude, des ateliers sectoriels ont été organisés les 20 et 21 Février 2019 ; suite auxquels le MIICEN sollicite aujourd’hui, dans le cadre d’une démarche de co-construction afin d’identifier les projets industriels qui pourraient faire l’objet de l’accompagnement du MIICEN dans le cadre de cet écosystème.

Le MIICEN recherche, en particulier, les projets permettant de renforcer la création de valeur ajoutée, d’emplois et promouvant les exportations marocaines. L’identification de ces projets permettra de définir les mesures d’accompagnement appropriées et les moyens à mettre au service du développement de l’écosystème.

Tirer profit de l’immense potentiel dont dispose le continent africain en matière d’énergies renouvelables est tributaire d’une bonne gouvernance et de la mise en place d’institutions professionnelles et spécialisées, a indiqué, le 16 mars à Dakhla, le Directeur général de l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE), Said Mouline.

Une gouvernance optimale, la création d’entités dédiées spécialement au développement et à l’exploitation des énergies renouvelables et la mobilisation des forces vives des pays africains sont des éléments fondamentaux pour réussir le défi de la révolution énergétique, a expliqué M. Mouline qui intervenait lors d’une session plénière sur « les opportunités de développement pour l’Afrique dans les énergies renouvelables » organisée dans le cadre du Forum Crans Montana.

Dans cette ligne, le Maroc s’érige en modèle en Afrique et même sur le plan mondial dans la mesure où le Royaume, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, a mis en place des stratégies et des plans dans le domaine énergétique et a érigé les énergies renouvelables en une priorité de premier rang, a relevé M. Mouline.
Grâce à cette volonté, il a été procédé également à la mise en place de plusieurs institutions chargées spécialement de développer ce secteur vital pour l’avenir du pays mais aussi du continent africain, a dit le DG de l’AMEE, mettant l’accent sur l’importance des investissements et de la formation des jeunes pour réduire la dépendance de l’Afrique en énergie.

S’exprimant également à cette occasion, M. Mohamed Ghazali, secrétaire général du ministère de l’Énergie, des mines et du développement durable, a souligné que l’Afrique, un continent qui souffre de problèmes mais qui suscite de l’espoir, doit exploiter son potentiel énorme en matière d’énergies renouvelables et nouvelles pour relever les défis de la croissance.
« Les africains, nous avons encore la possibilité de créer et de construire notre avenir. Notre destin est entre nos mains », a fait observer M. Ghazali, appelant à encourager les investissements dans l’économie verte et à la mise en place de pôles industriels régionaux intégrés pour réaliser l’intégration régionale.

Dans le même sillage, le directeur des Partenariats et de la coopération internationale à MASEN, M. Ali Zerouali, a passé en revue les étapes de la « révolution énergétique » au Maroc depuis 2008 et les conditions internationales ayant imposé le changement du modèle énergétique dans le Royaume.
La politique énergétique au Maroc, lancée grâce à la volonté de SM le Roi, a donné une « nouvelle dynamique » au secteur qui se positionne actuellement en tant que priorité, a poursuivi M. Zerouali, rappelant qu’une stratégie a été élaborée en la matière en collaboration avec toutes les parties prenantes.

Cette stratégie vise à porter à 42% en 2020 et 52% en 2030 la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique national, assurant que l’objectif étant de réduire de 12% la consommation de l’énergie en 2020 et 15% en 2030.
Les autres intervenants lors de cette session plénière ont souligné qu’un marché régional compétitif et le développement de grands projets d’infrastructures transfrontaliers doivent constituer une priorité dans les plans des pays africains, précisant que la révolution énergétique nécessite de nouveaux modèles de financement.
Les actions d’efficacité énergétique devant être mises dans les domaines des transports, de l’industrie et du bâtiment ont été également au débat lors de cette rencontre de haut niveau.

Le Maroc a réalisé des avancées remarquables dans le domaine de l’environnement devenant un modèle de développement durable, a affirmé, le 21 mars à Accra, le Directeur du changement climatique et de la croissance verte à la Banque africaine de développement (BAD), Anthony Nyong.
« Le Maroc a avancé, à pas de géant, dans le domaine de l’environnement et du développement durable, à travers le lancement de plusieurs initiatives et politiques à même de faire du Royaume un exemple à suivre par les pays africains », a indiqué M. Nyong à l’occasion de la Semaine africaine du climat.
« Conscient de l’importance de l’agriculture dans le développement durable, le Royaume a pu développer son Plan Maroc Vert, une initiative politique de relance de l’agriculture qui prend en considération l’aspect environnemental », a souligné le responsable de l’institution financières africaine.
Par ailleurs, M. Nyong a salué l’initiative pour l’Adaptation de l’Agriculture Africaine (AAA), lancée par le Maroc en marge de la COP22, et qui vise à réduire la vulnérabilité de l’Afrique et de son agriculture face aux changements climatiques.
« L’initiative « Triple A » constitue non seulement une réponse clé aux changements climatiques, mais également à l’insécurité alimentaire, surtout que l’agriculture des pays africains dépend des précipitations », a-t-il souligné.
M. Nyong a saisi cette occasion pour jeter la lumière sur le projet Noor Ouarzazate, la plus grande centrale solaire au monde, avec une capacité totale de 580 MW.
Organisée à Accra, la Semaine africaine du climat (du 18 au 22 mars) a pour objectif d’encourager la mise en œuvre des Contributions déterminées au niveau national (CDN) dans le cadre de l’Accord de Paris et des mesures climatiques pour atteindre les objectifs de développement durable de 2030.

Conformément à ses statuts, la Fédération de l’Energie tient son Assemblée Générale Ordinaire Élective de la Fédération de l’Énergie, et ce, le Jeudi 18 Avril 2019 à 15 heures au siège de la CGEM à Casablanca.

Le Ministère de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Economie Numérique vient de lancer une étude pour le développement de l’écosystème industriel des énergies renouvelables au Maroc, confiée au Cabinet Energy Handle.

Cette étude, menée en collaboration avec le cluster Solaire, a pour objectifs de fournir une synthèse de l’état des lieux du marché des énergies renouvelables national et à l’export et d’élaborer un plan de développement de l’écosystème industriel des énergies renouvelables, prenant en considération le potentiel du marché ainsi que les capacités et besoins des industriels nationaux. Cette étude permettra particulièrement d’élaborer le contrat de performance de l’écosystème EnR, fixant ainsi un cadre global d’accompagnement des projets industriels.

Dans le cadre de la mise en œuvre de cette étude, des ateliers sectoriels ont été organisés les 20 et 21 Février 2019 ; suite auxquels le MIICEN sollicite aujourd’hui, dans le cadre d’une démarche de co-construction afin d’identifier les projets industriels qui pourraient faire l’objet de l’accompagnement du MIICEN dans le cadre de cet écosystème.

Le MIICEN recherche, en particulier, les projets permettant de renforcer la création de valeur ajoutée, d’emplois et promouvant les exportations marocaines. L’identification de ces projets permettra de définir les mesures d’accompagnement appropriées et les moyens à mettre au service du développement de l’écosystème.

Masen a annoncé jeudi 14 mars le lancement d’un appel d’offres dédié à un projet éolien : le repowering du parc éolien de Koudia Al Baida.

Le parc de Koudia Al Baida, mis en service par l’ONEE en 2000 avec une capacité de 50MW, est le premier parc éolien réalisé au Maroc et au niveau du continent Africain.

A travers un nouveau projet, développé par Masen en partenariat avec Futuren (filiale du Groupe EDF Renouvelables), sa capacité sera portée à 120MW et ce, en faisant appel au repowering, une première continentale et dans la région MENA.

Le repowering impliquera le démantèlement des turbines existantes pour les remplacer par des éoliennes d’une nouvelle génération au rendement plus élevé.
Ce projet est un nouveau témoignage de l’étroite collaboration entre Masen et l’ONEE dans le développement du portefeuille national d’énergies renouvelables, conformément aux nouvelles prérogatives de Masen.

« Nous sommes l’acteur central des énergies durables au Maroc et avons pour ambition de devenir le leader africain de ces énergies. Aussi est-il stratégique pour Masen de proposer une offre de service couvrant, selon les technologies, toutes les étapes du cycle d’un projet : pré-développement, développement, construction, exploitation et maintenance. Notre positionnement en tant que co-développeur, avec Futuren – filiale d’EDF Renouvelables – sur ce projet, en est l’illustration », a déclaré M. Mustapha Bakkoury, PDG de Masen.
L’appel d’offres sur la plateforme e-tendering de Masen (à travers le lien suivant https://masen.local-trust.com/ ). L’ensemble des entreprises intéressées et répondant aux critères relatifs à la sélection d’un contractant EPC (Engineering, Procurement, Construction) ainsi que la maintenance lourde et le monitoring de l’exploitation dudit parc sont invitées à participer à cet appel d’offres.
Pour rappel, le Maroc compte environ 2300 MW de projets éoliens, dont 11 parcs éoliens déjà en exploitation totalisant une puissance installée de 1200 MW, et plus de 1100 MW en cours de construction ou de bouclage financier.

Saham Assurances acquiert 24% du capital du Parc éolien Khalladi, indique, le 11 mars, un communiqué d’ACWA Power qui développe ce projet en partenariat avec le Fonds d’investissement ARIF.
Avec cette prise de participation qui permet à Saham Assurances de siéger au Conseil d’Administration du Parc Khalladi, ACWA Power renforce la présence d’institutionnels de premier plan dans le tour de table de sa filiale, confirmant ainsi son ancrage national et sa vision à long terme.

ACWA Power demeure l’actionnaire de référence avec 51% du capital et continue à assurer la gestion des opérations et de la maintenance par le biais de NOMAC sa filiale dédiée, ajoute le communiqué. 
Inauguré en juin 2018, le Parc éolien Khalladi est situé à Jbel Sendouq à 30 km de Tanger et a représenté un investissement de 1,7 milliard de dirhams.

Investissement totalement privé, le projet a été financé en fonds propres par ACWA Power et Arif et par une dette à long terme souscrite auprès de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) en collaboration avec le Fonds pour les technologies propres (CTF) et auprès de la BMCE Bank of Africa.

Avec une capacité de 120 MW, le projet fournit de l’énergie propre à plusieurs clients industriels, majoritairement cimentiers, à des tarifs compétitifs. Le parc éolien Khalladi, dont la capacité de production d’électricité est équivalente à la consommation annuelle moyenne d’une ville de 400.000 habitants contribue par ailleurs à la réduction de plus de 144.000 tonnes d’émissions de CO2 par an.

Le projet du parc éolien Khalladi participe à l’atteinte des objectifs énergétiques du Maroc à l’horizon 2020. Le Royaume vise notamment le développement de 2.000 MW de capacité en énergie éolienne et une part de 42% des énergies renouvelables dans son mix énergétique.

 

Annoncée le 18 septembre2018, Vivo Energy vient de conclure une transaction avec Engen Holdings (Pty) Limited (« Engen » ou « EHL »). Cette opération renforce le réseau de Vivo Energy de huit nouveaux pays et 230 stations-service de l’enseigne Engen, portant le nombre total de stations-service du réseau à plus de 2 000, sur 23 marchés africains.

Pour Vivo Energy, les nouveaux marchés sont les suivants : Gabon, Malawi, Mozambique, Réunion, Rwanda, Tanzanie, Zambie et Zimbabwe. Les opérations d’Engen au Kenya (où Vivo Energy exerce déjà ses activités) font aussi partie de la transaction, représentant le neuvième pays.

La contrepartie pour la transaction comprend l’émission par Vivo Energy de 63,2 millions de nouvelles actions et 62,1 millions de dollars au comptant. L’élément au comptant de la contrepartie a été financé en puisant dans les facilités de crédit multidevises de Vivo Energy. Une fois les actions émises, Engen détiendra environ 5% des parts de Vivo Energy.