SAR la Princesse Lalla Hasnaa, préside la cérémonie d’inauguration du Centre international Hassan II de formation à l’environnement

Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, Présidente de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement, a présidé, le 18 juin à Bouknadel, la cérémonie d’inauguration du Centre international Hassan II de formation à l’environnement.
Après avoir dévoilé la plaque commémorative relative à l’inauguration du centre international Hassan II de formation à l’environnement, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a suivi des explications sur les activités du Centre. Par la suite, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a visité l’Accueil et le Hall, la salle de formation et learning, ainsi que la salle plénière, avant de se rendre à une des classes vertes au rez-de-chaussée.
Accompagnée de Mme Laila Skali Lami, architecte du projet, Son Altesse Royale a également visité les installations environnementales de la partie extérieure du Centre.
Par la même occasion, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a suivi une présentation de la conception du jardin étagé par M. Pascal Lopez, directeur général de I.D paysage, ainsi que deux autres présentations de la ferme solaire, de la station d’épuration, du bassin de rétention des eaux récupérées et du Compostage, et du jardin de permaculture.
Au terme de cette cérémonie, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a posé pour une photo-souvenir au jardin, avec les écoliers et les membres du Conseil d’administration de la Fondation.
La création du Centre international Hassan II de formation à l’environnement, nommé par SM le Roi Mohammed VI, a été portée par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa. Il est entièrement dédié à la sensibilisation et l’éducation à l’environnement de toutes les cibles qu’elle vise: enfants, société civile, entreprises, administration, collectivités territoriales. 

Il est l’aboutissement de 18 années d’engagement de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, de ses partenaires et de sa Fondation depuis sa création en 2001. Le Centre international Hassan II de formation à l’environnement constitue aujourd’hui le vaisseau amiral de la Fondation, avec de hautes exigences: être avant-gardiste et en perpétuel renouveau, à la pointe de la pédagogie, à la fois en termes de contenu que d’outils de diffusion. 

SAR la Princesse Lalla Hasnaa, préside la cérémonie d’inauguration du Centre international Hassan II de formation à l’environnement

Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, Présidente de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement, a présidé, le 18 juin à Bouknadel, la cérémonie d’inauguration du Centre international Hassan II de formation à l’environnement.

Après avoir dévoilé la plaque commémorative relative à l’inauguration du centre international Hassan II de formation à l’environnement, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a suivi des explications sur les activités du Centre. Par la suite, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a visité l’Accueil et le Hall, la salle de formation et learning, ainsi que la salle plénière, avant de se rendre à une des classes vertes au rez-de-chaussée.

Accompagnée de Mme Laila Skali Lami, architecte du projet, Son Altesse Royale a également visité les installations environnementales de la partie extérieure du Centre.

Par la même occasion, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a suivi une présentation de la conception du jardin étagé par M. Pascal Lopez, directeur général de I.D paysage, ainsi que deux autres présentations de la ferme solaire, de la station d’épuration, du bassin de rétention des eaux récupérées et du Compostage, et du jardin de permaculture.

Au terme de cette cérémonie, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a posé pour une photo-souvenir au jardin, avec les écoliers et les membres du Conseil d’administration de la Fondation.
La création du Centre international Hassan II de formation à l’environnement, nommé par SM le Roi Mohammed VI, a été portée par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa. Il est entièrement dédié à la sensibilisation et l’éducation à l’environnement de toutes les cibles qu’elle vise: enfants, société civile, entreprises, administration, collectivités territoriales.

Il est l’aboutissement de 18 années d’engagement de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, de ses partenaires et de sa Fondation depuis sa création en 2001.

Le Centre international Hassan II de formation à l’environnement constitue aujourd’hui le vaisseau amiral de la Fondation, avec de hautes exigences: être avant-gardiste et en perpétuel renouveau, à la pointe de la pédagogie, à la fois en termes de contenu que d’outils de diffusion.

La Banque Mondiale et l’Alliance Mission Innovation ont lancé une initiative internationale pour le développement de nouvelles solutions technologiques de stockage de l’énergie dans les pays en développement, baptisée « Partenariat pour le stockage énergétique » (PES).
L’initiative dévoilée, le 29 mai, en marge de la 4e réunion ministérielle de l’Alliance « Mission Innovation », a pour objectif de concevoir des moyens de stockage adaptés aux besoins des pays en développement.

Regroupant 29 organisations ainsi que la Banque mondiale (BM), ce partenariat ambitionne d’introduire de nouvelles technologies dans les systèmes énergétiques de ces pays.
S’exprimant à cette occasion, le directeur général de l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN), Badr Ikken, a salué l’initiative qui sera abritée par le Programme d’assistance à la gestion du secteur de l’énergie (ESMAP) de la BM.
« L’IRESEN a rejoint les membres fondateurs et s’engage à soutenir activement cette excellente initiative », a affirmé M. Ikken, qui a d’autre part présenté les opportunités offertes en matière de stockage énergétique dans le continent africain à même de répondre aux besoins de plus de 600 millions d’Africains qui n’ont toujours pas accès à l’électricité.
Il a dans ce sens insisté sur la pertinence d’adapter les batteries aux conditions climatiques sur le continent africain, mais aussi de favoriser le développement du stockage thermique et de la production d’hydrogène vert.
Cette procédure permettra de créer beaucoup de richesse dans les pays émergents qui jouissent de ressources renouvelables indéniables.
De son côté, le directeur général de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), Francesco La Camera, a expliqué que le stockage énergétique se positionne comme l’une des clés du développement des énergies renouvelables dans divers secteurs, faisant savoir qu’une telle démarche se traduira par l’émergence de nouveaux marchés dans les pays en développement.
Pour le directeur d’Energy Sector Management Assistance Program (ESMAP), Rohit Khanna, le PES va accompagner les efforts liés au développement technologique et à la démonstration des applications, aux instruments d’intégration et de planification, au développement d’infrastructures telles que les technologies de communication et de systèmes de management de l’énergie, en plus de l’approvisionnement, les politiques publiques et le cadre réglementaire du stockage énergétique.
Selon lui, ce groupement d’experts du secteur public et privé contribuera fortement à développer de nouvelles solutions technologiques pour les pays en développement.

Taqa Maroc a affiché un chiffre d’affaires de 2,37 milliards à hauteur de mars 2019 (T1 2019), contre 2,07 milliards de dirhams pour la même période de l’année précédente, soit une progression de 14 %.

La progression du chiffre d’affaires de l’opérateur privé de la production électrique est due aux performances opérationnelles de l’ensemble des unités, ainsi que l’augmentation des frais d’énergies résultant de la hausse du prix d’achat du charbon sur le marché international.

Le résultat net a totalisé un montant de 339 millions de dirhams, contre 360 millions de dirhams une année auparavant, soit une baisse de 6 % sur une année. Le résultat d’exploitation de la compagnie a baissé de 4 %, passant de 684 millions de dirhams au T1 2018 à 654 millions de dirhams au T1 2019.

Cette régression s’explique selon le management par une «légère» hausse des charges d’exploitation et de maintenance, ainsi que de la hausse du prix d’achat du charbon sur le marché international.

Au vu de ces données, le Résultat Net Part du Groupe (RNPG) a lui aussi régressé, passant de 282 millions de dirhams au T1 2018 à 265 millions de dirhams au T1 2019, soit une baisse de 6 %. Ce résultat est dû à la baisse du résultat d’exploitation, ainsi que la hausse du résultat financier de la compagnie, suite à la baisse des charges d’intérêts sur emprunts, consécutive à l’effort de remboursement consenti.

 

Lors de ce sommet, l’ONEE a été admis comme membre avec droit de vote à cette alliance et devient ainsi le seul membre d’Afrique et du monde arabe à y siéger parmi les plus grandes entreprises d’électricité au monde. A cette occasion, M. El Hafidi a remercié les CEO membres du GSEP d’avoir admis l’ONEE et a présenté les avancées réalisées par le Maroc dans le secteur électrique. Le DG de l’ONEE a, par ailleurs, affiché la disponibilité du Maroc à partager son expérience notamment au sein du continent Africain qui doit faire face à d’énormes challenges pour son électrification. Le GSEP pourrait apporter des solutions pour transformer ces challenges en opportunités d’investissements et contribuer au développement de certains pays Africains.

En raison de son caractère unique, le GSEP constitue, pour les dirigeants des entreprises du secteur mondial de l’électricité, un forum exceptionnel d’échanges de réflexions et d’informations stratégiques sur les facteurs qui auront un impact sur la transformation profonde de ce secteur. Parmi les facteurs discutés lors de ce sommet, la décarbonation, la digitalisation, la décentralisation et la déréglementation.

Le sommet a été également l’occasion pour le DG de l’ONEE d’explorer des partenariats avec les CEO des sociétés membres. Il a ainsi eu des discussions avec les Présidents d’EDF, d’ENEL, d’AEP ou encore Hydro-Québec.

Le Global Sustainable Electricity Partnership (GSEP) est une alliance de compagnies d’électricité leaders dans le monde, ayant une vision commune et qui se sont données pour principale mission de promouvoir le développement énergétique durable par l’électrification.

Créée en 1992, le GSEP est une organisation internationale, dirigée par les PDG des plus importantes entreprises d’électricité dans le monde et qui sont au nombre de huit, dont EDF -France-, Hydro-Québec –Canada-, SGCC -Chine-, Kansai Electric Power -Japon-, AEP -USA- etc.

Le premier Forum marocain sur la performance énergétique dans l’hôtellerie se tiendra, le 19 juin courant à Marrakech.
Ce Forum a pour ambition de sensibiliser l’écosystème des hôteliers et du tourisme en général à l’importance de la gestion efficiente et sobre de l’énergie. 

L’évènement, qui sera marqué par la participation de plus de 200 hôteliers et professionnels de l’écosystème énergétique, a un objectif de sensibilisation des professionnels de l’hôtellerie au rôle majeur que peut avoir l’efficacité énergétique sur l’amélioration de leur compétitivité. Une feuille de route sera établi, à cette occasion, pour améliorer les économies d’énergie à l’horizon 2020 grâce à la participation d’institutions gouvernementales et d’experts Marocains et internationaux.

Ce forum, qui s’inscrit dans le cadre de l’organisation depuis 4 ans des rencontres africaines de l’efficacité énergétique dont la cinquième édition s’est tenue à Casablanca en mars dernier, tend à proposer une offre intégrée qui rassemble financement, technologie, maintenance et support technique pour les professionnels de l’hôtellerie.

La rencontre se veut ainsi une occasion pour les hôteliers marocains de prendre connaissance des solutions concrètes afin d’optimiser la consommation énergétique de leurs établissements et d’améliorer ainsi leur compétitivité.

En marge de sa participation au sommet du GSEP, qui a réuni au Japon les plus importantes compagnies de l’électricité, M. Abderrahim El Hafidi, Directeur Général de l’ONEE, a eu des rencontres avec des investisseurs japonais responsables d’entreprises intervenant dans les secteurs de l’électricité et de l’eau à travers le monde ainsi qu’avec les CEOs des sociétés membres du GSEP.

Lors de ces rencontres, le Directeur Général de l’ONEE a présenté les stratégies de développement de ces deux secteurs, lancées par le Maroc, ainsi que les principaux projets en cours de développement par l’ONEE et pouvant constituer des opportunités d’investissements.

Ces projets importants aussi bien dans le domaine de l’électricité que de l’eau ont suscité l’intérêt des investisseurs japonais représentant de grandes sociétés mondiales et les sociétés du GSEP, qui ont exprimé leur volonté à y participer.

Les rencontres se sont déroulées à Osaka et à Tokyo en présence de M. Rachad Bouhlal, Ambassadeur au Japon.

Le Maroc avance à pas sûrs vers la transition énergétique et la diversification de son mix électrique, à travers le recours aux énergies renouvelables, a souligné, le 12 juin à Lisbonne, le Secrétaire général du ministère de l’Énergie, des mines et du développement Durable, Mohammed Ghazali.
M. Ghazali, qui intervenait lors d’un panel dédié au Maroc, sous le thème « Modèle énergétique marocain », dans le cadre du 21e Forum Africain de l’Energie, auquel a pris part le Secrétaire général de la Fédération de l’Energie, M. Mohamed El Amrani, regroupant des responsables gouvernementaux de haut niveau et des entreprises privées africaines et européennes de renommée, a fait savoir que le Maroc ne veut pas se limiter uniquement au rôle du consommateur des technologies dans ce domaine.

En effet, lors de cette rencontre qui a eu lieu en présence de l’Ambassadeur du Maroc au Portugal, Othman Bahnini, du Directeur de la stratégie et planification de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), M. Brahim Oumounah, du Président-directeur général de la société Nareva, M. Said Elhadi, et du Directeur général adjoint de la société « Taqa Morrocco », M. Omar Alaoui M’hamdi, l’intégration industrielle locale constitue une composante importante dans la stratégie énergétique, le but étant de mettre en place un écosystème national dans le domaine des Énergies renouvelables. 

Cette politique d’intégration a commencé déjà à donner ses fruits, s’est félicité le responsable marocain, citant, dans ce contexte, l’exemple de l’usine de fabrication de pales éoliennes qui a vu le jour, destinée aussi bien au marché local qu’à l’exportation, moyennant un investissement de 100 millions d’Euros, avec une capacité annuelle de production équivalente à 1000 MW.

C’est dans ce sens que le Royaume du Maroc s’active à renforcer ses interconnexions électriques avec ses voisins, à travers le développement de nouvelles interconnexions électriques avec le Portugal (1000 MW), l’Espagne (700 MW), et la Mauritanie qui est en cours de réflexion.
Par ailleurs, le ministère a déposé cette année la mouture finale du texte 13-09 qui va ouvrir la voie davantage au privé, intégrer le périmètre de la moyenne tension, faciliter le traitement des données d’autorisation, introduire la notion de déclaration pour les projets de faible capacité et dépasser les dysfonctionnements de l’actuelle version. 

Dans le même ordre d’idées, a rappelé le secrétaire général, le Maroc a signé le 19 décembre 2018 à Bruxelles la déclaration conjointe pour l’ouverture du Marché des Énergies renouvelables entre les pays partenaires de ce projet, à savoir le Portugal, la France, l’Espagne et l’Allemagne, avec pour objectif d’accroître les échanges d’énergies renouvelables résultant de l’intégration du marché de l’électricité dans les cinq pays signataires.

Ainsi, le soutien à la recherche et l’innovation dans le domaine des énergies renouvelables représente, selon lui, un élément essentiel afin d’aboutir à de nouvelles solutions pour une meilleure intégration des Énergies renouvelables et accompagner la stratégie énergétique nationale.

Sur le même registre, le Maroc a décidé d’accélérer la cadence des actions d’efficacité énergétique à travers une vision stratégique, dans le but d’atteindre une économie d’énergie de l’ordre de 20% à l’horizon 2030, a-t-il relevé, notant que cette stratégie, en cours de finalisation, vise essentiellement les secteurs économiques grands consommateurs d’énergie, à savoir le transport, le résidentiel, l’industrie, l’agriculture et l’éclairage public.

La première phase de cette stratégie sera mise en œuvre dans le cadre d’un contrat programme entre l’État, les régions et l’Agence marocaine pour l’Efficacité énergétique pour les cinq premières années.
Le Gouvernement se penche actuellement sur un grand chantier qui est celui de l’exemplarité de l’État en matière de l’efficacité énergétique, lequel chantier jouera un rôle de catalyseur et de démonstrateur permettant ainsi d’accélérer la mise en œuvre de la stratégie nationale d’efficacité énergétique ciblant notamment le secteur public, et de conforter le rôle exemplaire de l’État en tant que moteur de développement du marché de l’efficacité énergétique au Maroc.

L’attractivité du modèle énergétique marocain revient, entre autres, aux modèles de financement mis en place par les pouvoirs publics pour assurer les financements des projets énergétiques, vu que « le Maroc a su répartir les contraintes financières liées au développement des projets d’énergies renouvelables, grâce à son modèle de PPA (Power Purchase Agreement) qui a connu une évolution remarquable depuis le premier PPA de la centrale de Jorf Lasfar aux années 90 jusqu’au dernier PPA de Noor Ouarzazate », a-t-il expliqué. Ce modèle, qui assure un cadre juridico-institutionnel clair garantissant une sécurité juridique pour les investisseurs et bailleurs de fonds, permet également d’optimiser la conception des projets électriques et ce, par un meilleur dimensionnement de l’investissement et une mise en œuvre des technologies les plus performantes, a souligné M. Ghazali.

Le succès de la transition énergétique marocaine est le résultat d’une grande volonté politique, d’une stratégie énergétique claire, réaliste et chiffrée, des projets attractifs, des réformes législatives et réglementaires appropriées, une adhésion à une vision régionale d’intégration des marchés et des réseaux énergétiques et une convergence avec les politiques sectorielles du pays, a-t-il affirmé.
Le marché énergétique marocain est ouvert et hautement compétitif, a assuré le secrétaire général qui a saisi cette occasion pour inviter les entreprises à participer activement aux grands chantiers et aux programmes d’investissements lancés au Maroc et également en Afrique, continent dans lesquels le Maroc dispose d’une vision de coopération, notamment dans le domaine de l’énergie.

Le Conseil de gouvernement du 16 mai 2019 a adopté le projet de loi n°69.18 relatif à la pollution causée par les navires. Ce projet de loi vise à inclure les différentes règles et normes convenues dans le cadre des mécanismes de l’Organisation maritime internationale, auxquels a adhéré le Maroc, dans une législation nationale et à combler le vide juridique en ce qui concerne les sanctions en cas de violation de ces mécanismes ou de rejet illicite.

Les substances polluantes citées dans ce texte sont celles contenues dans la Convention internationale pour la prévention de la pollution marine par les navires « Marpol 73-78 » que le Maroc a ratifiée en 1994 et dont les dispositions définissent les règles du rejet illicite et appellent les pays parties à cette convention à prendre les mesures nécessaires pour sanctionner ceux qui enfreignent ces règles incluses dans les six annexes de la Convention Marpol.

Ces annexes concernent respectivement les règles pour la prévention de la pollution par hydrocarbures, les règles de prévention de la pollution par les substances liquides nocives transportées en vrac, les règles de prévention de la pollution par des substances nuisibles transportées par mer sous forme de colis, les règles de prévention de la pollution par les eaux usées des navires, les règles relatives à la prévention de la pollution par les ordures des navires et de celle de l’atmosphère par les navires.


Principales dispositions

Les principales dispositions que contient le projet de loi concernent notamment le traitement de plusieurs substances polluantes, dont les eaux de ballast qui sont des eaux stagnantes dans des réservoirs à bord des navires ainsi que les sédiments des navires mentionnés dans la Convention internationale pour le contrôle et la gestion des eaux de ballast et sédiments des navires (Convention BWM), signée le 13 février 2014 à Londres et promulguée en 2017.

Ces dispositions portent aussi sur l’interdiction de l’utilisation des traitements nocifs pour éradiquer ou réduire l’encrassement biologique des navires et sur la mise en place des principes généraux de la prévention contre chaque type de polluants provenant des navires, ainsi que la transmission des règles et des normes techniques qu’il faut prendre en considération aux textes organiques.

Les sanctions stipulées par ce texte diffèrent, selon le ministre, en fonction de la taille des navires et de la dangerosité des polluants rejetés, afin de lutter efficacement contre le rejet illicite des polluants par les navires, de préserver les ressources halieutiques et de protéger le milieu marin.

Lancé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Plan NOOR poursuit son déploiement. Après la mise en exploitation totale du complexe solaire NOOR Ouarzazate, d’une puissance de 580 MW, Masen annonce l’adjudication du projet Noor Midelt I, d’une puissance de 800 MW, première phase de son nouveau complexe solaire multitechnologies à Midelt. 

Masen annonce mardi 21 mai 2019, l’attribution de l’appel d’offres international, relatif à la conception, au financement, à la construction, à l’exploitation et maintenance, du projet Noor Midelt I, au consortium mené par EDF Renouvelables (France) et composé de Masdar (Émirats Arabes Unis) et Green of Africa (Maroc). 

« Chez Masen, nous sommes tout à fait satisfaits des résultats de cet appel d’offres et confiants dans les capacités du groupement retenu à mener à bien ce projet. Noor Midelt I est un projet technologiquement disruptif. Il y aura, dans le Monde, un avant/après Midelt, comme il y a eu un avant/après Ouarzazate », a déclaré M. Mustapha Bakkoury, PDG de Masen.

Noor Midelt I aura une puissance installée de 800 MW avec une capacité de stockage de 5 heures. Les deux technologies photovoltaïque et CSP s’y combineront pour produire de l’électricité durable. 
Cette hybridation innovante permettra non seulement d’améliorer le rendement de la centrale mais aussi d’optimiser le prix du kilowattheure. Ainsi, un tarif encore plus compétitif, de 0,68 dirhams le kWh en heure de pointe, a été obtenu. 

Le lancement des travaux de la centrale est prévu courant l’automne 2019. A signaler que les travaux relatifs aux infrastructures communes du complexe Noor Midelt sont quasiment finalisés. En effet, une route de 40 km est déjà réalisée, et permettra non seulement d’accéder au complexe et au barrage Hassan II, mais aussi de désenclaver les villages avoisinant le complexe. De même, 50 kms de ligne électrique de moyenne tension ont été achevés et un ouvrage d’art pouvant supporter plus de 500 tonnes. D’autres infrastructures d’évacuation électrique, hydriques et télécom sont en cours de développement. L’ensemble de ces travaux sont réalisés par des entreprises marocaines. Plus de 300 emplois ont été créés durant ces travaux. 

L’investissement afférent à Noor Midelt I est de près de 7,57 Milliards de MAD. Il devrait bénéficier du financement d’un pool d’institutions financières parmi lesquelles : la KfW, la Banque Européenne d’Investissement, l’Agence Française de Développement, la Commission Européenne, la Banque Mondiale, la Banque Africaine de Développement et le Fonds des Technologies Propres.

A rappeler que cinq soumissionnaires étaient dans la course : il s’agit de Acwa Power, EDF Énergies Nouvelles, Engie, Innogy SE et JGC.