La production nationale de l’énergie électrique continue sur son élan à fin mai 2019, affichant une hausse de 27,4%, après avoir progressé de 5,8% il y a une année, selon la Direction des études et des prévisions financières (DEPF), relevant du ministère de l’Économie et des finances.

Citant des données de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), la DEPF explique, dans sa note de conjoncture de juillet 2019, que cette dynamique s’est nourrie, essentiellement de la bonne tenue de la production privée (+52,5%). L’énergie produite par l’ONEE a reculé de 23,2% à fin mai 2019, après une hausse de 11,2% l’année précédente. 

Compte tenu de ces évolutions et d’une augmentation du volume de l’énergie nette appelée de 5,2%, le volume des importations de l’énergie électrique a reculé de 93% au terme des cinq premiers mois de 2019, après un repli de 20,7%, il y a une année.

La consommation de l’énergie électrique a affiché une légère reprise de 0,2% à fin mai 2019, après une baisse de 0,2% un an plus tôt, recouvrant une hausse des ventes de l’énergie de basse tension de 5,9% (après +3% à fin mai 2018), atténuée par le recul des ventes de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension de 1,5%. 

Une délégation africaine de haut niveau a visité les « impressionnantes » installations du complexe Noor Ouarzazate, qui est totalement opérationnel, a-t-on appris auprès de l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN).

Les hommes d’affaires et officiels de la délégation, qui ont été aussi reçus par le président directeur général de MASEN à Ouarzazate, se sont particulièrement penchés sur l’impact du projet solaire de Ouarzazate, tant sur le plan social qu’économique. Cette visite, organisée à l’initiative du ministère des Affaires étrangères et de la coopération internationale, doit « insuffler une nouvelle dynamique aux relations maroco-africaines ». 

Conduite par le ministre délégué chargé de la Coopération africaine, Mohcine Jazouli, cette délégation regroupe de nombreuses personnalités africaines influentes, telles que l’ancien président nigérian et ancien président de l’Union africaine, le ministre des Finances du Lesotho, l’Envoyé spécial pour l’investissement du président de la République d’Afrique du Sud et d’autres personnalités africaines influentes. 

Le PDG de l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN), Mustapha Bakkoury, a pris part, le 17 juillet au siège de l’ONU à New York, à une réunion sur l’accélération des investissements dans les énergies propres en Afrique pour soutenir l’action pour le climat, à l’occasion du Forum politique de haut niveau des Nations-Unies pour le développement durable (FPHN).

Cette rencontre, organisée par la Commission économique des Nations-Unies pour l’Afrique (CEA), a réuni des ministres et responsables africains du secteur de l’énergie et des finances ainsi que des parties prenantes clés, avec comme objectif d’explorer des solutions innovantes pour accélérer les investissements à long terme dans les énergies propres en Afrique et identifier des projets spécifiques d’investissement d’impact dans le continent. 

La réunion a ainsi permis d’engager une discussion pour identifier un ensemble de projets d’énergies renouvelables en Afrique qui pourraient être soutenus par l’initiative “Obligation ODD7” de la CEA, ce qui contribuera à l’action climatique du Sommet sur l’action pour le climat convoqué par le Secrétaire général de l’ONU en septembre prochain, et du Forum sur le financement du développement qui se tiendra durant la même période.

L’initiative « Obligation ODD7 » envisage la collaboration entre les institutions financières panafricaines et les institutions financières mondiales pour l’émission des obligations sur les marchés internationaux financiers et l’utilisation des revenus de ces obligations pour octroyer des prêts aux sociétés investissant dans le secteur de l’électricité en Afrique, en particulier celles engagées dans les projets de partenariats public-privé pour la production d’électricité à partir des ressources renouvelables.
Intervenant à cette occasion, M. Bakkoury a souligné le besoin d’une transition énergétique au niveau du continent africain, transition qui résulterait d’une nouvelle stratégie énergétique compétitive. 

Pour le PDG de MASEN, la compétitivité énergétique devrait être basée sur un nouveau mix durable, dans le sens où il n’existe pas de contradiction entre développement et préservation de l’environnement. Au niveau financier, a noté M. Bakkoury, il est important de chercher les montages les plus adaptés pour fournir les capitaux nécessaires, mais aussi de tenir compte de la particularité et de la durée des projets d’énergie renouvelable qui nécessitent des capitaux conséquents et qui s’inscrivent sur le long terme. De son côté, la Secrétaire exécutive de la Commission économique des Nations-Unies pour l’Afrique, Vera Songwe, a insisté sur l’importance d’accélérer les investissements dans les énergies propres dans le continent africain, soulignant l’engagement de la CEA à œuvrer avec les pays africains pour amorcer la transition vers les énergies vertes et renouvelables.

Elle a, par ailleurs, déploré le fait que près de 600 millions de personnes n’ont toujours pas accès à l’électricité en Afrique, en soulignant l’urgence de remédier à cette problématique qui impacte négativement d’autres secteurs clés liés à la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD).

Vivo Energy Maroc a lancé en partenariat avec le Comité National de Prévention des Accidents de la Circulation (CNPAC), une vaste opération de sensibilisation à la sécurité routière dans les stations-service Shell du 12 au 14 juillet 2019.

Placée sous le thème de #CODEWAHED, elle vise à sensibiliser en cette période estivale les automobilistes au respect d’un seul et unique code de la route pour la sécurité de tous. 

Sept stations-service Shell situées sur des axes autoroutiers stratégiques qui connaissent un trafic important pendant la période des vacances participent à cette opération.

Durant les trois journées de sensibilisation, les animateurs partagent avec plus de 10 000 automobilistes des conseils sur les comportements à risque à éviter sur la route, tels que l’excès de vitesse ou encore l’usage du téléphone portable au volant. Les animateurs incitent également les usagers de la route à rejoindre le mouvement #CODEWAHED. Ils s’engagent ainsi à respecter un seul et unique code de la route pour la sécurité de tous. 

« #CODEWAHED est un mouvement né sur le web, qui a ensuite été largement relayé sur la télévision marocaine. Pour nous, la continuité était de le faire vivre dans nos stations. Surtout à cette période de l’année, où il y a un trafic routier intense lié aux départs en vacances et aux arrivées des MRE. 

La secrétaire d’État chargée du Développement durable, Nezha El Ouafi, vient d’être nommée présidente du Réseau des femmes ministres et hauts fonctionnaires de l’Environnement pour l’Afrique (AFWMLE), lancé en 2015 et hébergé par le bureau régional du PNUE à Nairobi.
Cette nomination qui récompense les efforts de la secrétaire d’État et du Maroc, sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, va redynamiser le réseau en capitalisant sur les acquis et créant plus de synergie et de convergences avec les différentes initiatives entreprises au niveau africain et mondial.

Le Maroc assure actuellement, en la personne de Mme El Ouafi, le poste de président du Forum régional africain pour le Développement durable (FRADD), suite à son élection en avril 2019, lors de la 5e session du FRADD, organisée les 17 et 18 avril 2019 à Marrakech, sous le Haut patronage de SM le Roi, sous le thème « donner des moyens d’action aux populations et assurer l’inclusion et l’égalité ».

La secrétaire d’État est également vice-présidente du bureau de la conférence ministérielle africaine sur l’environnement (CMAE), suite à son élection à ce poste lors de 16ème session ordinaire de la CMAE, tenue du 12 au 16 juin 2017, à Libreville au Gabon.

Ce réseau des femmes ministres et hauts fonctionnaires de l’environnement pour l’Afrique, qui est hébergé par le Bureau Régional du programme des Nations unies pour l’Environnement (PNUE) en Afrique à Nairobi, a été lancé officiellement en 2015, à l’occasion de la 15e session de la CMAE en Égypte. L’AFWMLE fait partie d’un Réseau mondial des Femmes ministres et hauts fonctionnaires de l’environnement (NWMLE).

Le réseau a mis en œuvre un plan d’action 2015-2017 qui a eu des résultats fructueux ayant trait notamment à l’appui à l’adoption de la politique de la CMAE sur le genre et la création du Réseau africain des femmes entrepreneures dans le secteur de l’énergie (WEE). Il a été renforcé en mars 2019 par le lancement du Réseau des Femmes Africaines Environnementalistes (NAWE).

L’AFWMLE sera en effet un outil pour garantir une prise de décision équilibrée en matière d’intégration de l’aspect genre dans le processus de mise en œuvre des politiques de l’environnement et du développement durable au niveau local, régional et global pour faire face aux défis environnementaux émergents notamment ceux liés aux effets pervers du Changement climatique. 

L’ONEE représenté par son Directeur Général, M. Abderrahim El Hafidi, a participé aux travaux du sommet du Global Sustainable Electricity Partnership (GSEP) qui se tient au Japon le 3 juin 2019.

Lors de ce sommet, le Conseil d’Administration de GSEP approuve, à l’unanimité, l’adhésion de l’ONEE comme membre avec droit de vote à cette alliance et devient ainsi le seul membre d’Afrique et du monde arabe à y siéger parmi les plus grandes entreprises d’électricité au monde. 

A cette occasion, M. El Hafidi a remercié les CEO membres du GSEP d’avoir admis l’ONEE et a présenté les avancées réalisées par le Maroc dans le secteur électrique. Le DG de l’ONEE a, par ailleurs, affiché la disponibilité du Maroc à partager son expérience notamment au sein du continent Africain qui doit faire face à d’énormes challenges pour son électrification. Le GSEP pourrait apporter des solutions pour transformer ces challenges en opportunités d’investissements et contribuer au développement de certains pays Africains.

En raison de son caractère unique, le GSEP constitue, pour les dirigeants des entreprises du secteur mondial de l’électricité, un forum exceptionnel d’échanges de réflexions et d’informations stratégiques sur les facteurs qui auront un impact sur la transformation profonde de ce secteur. Parmi les facteurs discutés lors de ce sommet, la décarbonation, la digitalisation, la décentralisation et la déréglementation.

Le sommet a été également l’occasion pour le DG de l’ONEE d’explorer des partenariats avec les CEO des sociétés membres. Il a ainsi eu des discussions avec les Présidents d’EDF, d’ENEL, d’AEP ou encore Hydro-Québec.

Le Global Sustainable Electricity Partnership (GSEP) est une alliance de compagnies d’électricité leaders dans le monde, ayant une vision commune et qui se sont données pour principale mission de promouvoir le développement énergétique durable par l’électrification.

Créée en 1992, le GSEP est une organisation internationale, dirigée par les PDG des plus importantes entreprises d’électricité dans le monde et qui sont au nombre de huit, dont EDF -France-, Hydro-Québec –Canada-, SGCC -Chine-, Kansai Electric Power -Japon-, AEP –USA…

L’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN) vient de lancer un appel à pré-qualification (RfQ) relatif à la deuxième centrale du complexe solaire Noor Midelt (Noor Midelt II).

Cet appel de pré-qualification, qui s’inscrit dans le cadre du développement du complexe solaire Noor Midelt, et après l’adjudication de la centrale Noor Midelt I, constitue la première étape du processus de sélection du partenaire privé en charge de la conception, du financement, de la construction, de l’exploitation et de la maintenance d’une centrale solaire avec stockage, indique un communiqué de MASEN.

Et d’ajouter que Noor Midelt II mettra en compétition l’ensemble des technologies solaires avec stockage mature, notamment le Photovoltaïque (PV) et le Solaire Thermodynamique (CSP) associés aux différentes technologies de stockage thermique ou batterie, dans le but d’assurer une puissance stable injectée dans le réseau de 190 MW pendant les heures de pointe et 230 MW en journée, environ.

« L’innovation est un des vecteurs fondamentaux qui animent l’action de MASEN », a souligné le PDG de MASEN, Mustapha Bakkoury, ajoutant que « l’hybridation entre le CSP et le PV dans le cadre de la centrale NOOR Midelt I, qui a permis de réduire considérablement le prix du kilowattheure, en est une illustration ».

« Aujourd’hui, dans le cadre de Noor Midelt II, nous poursuivons notre quête d’optimisation et souhaitons tirer pleinement profit des dernières évolutions technologiques qu’offre le marché, notamment dans le stockage d’énergie, afin d’améliorer davantage les rendements et les coûts de nos projets », a-t-il ajouté.

La centrale Noor Midelt II permettra d’élargir le champ technologique en donnant la possibilité aux développeurs privés de proposer des configurations optimales combinant le PV, le CSP, le stockage thermique, ou les batteries électriques, poursuit le communiqué. La même source relève que les entreprises intéressées par ce projet sont invitées à télécharger le document de pré-qualification sur le lien https://masen.local-trust.com et ce, à compter du 9 juillet courant.

La date limite de remise des offres relatives à la pré-qualification du Projet Noor Midelt II est fixée au lundi 16 septembre 2019 à 10h00, heure marocaine.
MASEN est le groupe chargé de piloter les énergies renouvelables au Maroc, relève le communiqué, ajoutant que les programmes de développement de projets intégrés portés par MASEN contribuent à l’objectif national, à l’horizon 2030, d’un mix électrique dont +52% est d’origine renouvelable. A fin 2018, 1.215 MW sont en exploitation dans l’éolien, 1 770 MW dans l’hydraulique et plus de 700 MW dans le solaire. A travers la valorisation des énergies renouvelables, MASEN crée une force inépuisable de développement économique, social et environnemental pour le Maroc et au-delà.

Le tissu associatif à Ouarzazate s’est renforcé avec la création d’un Centre des Jeunes Marocains pour l’Energie Durable (CJMED).
La création de ce centre s’inscrit dans le cadre de la dynamique actuelle que connaît le Maroc en tant que pays modèle en matière de transition énergétique, selon les fondateurs du CJMED.

Le centre a pour vocation de renforcer le rôle des jeunes comme acteurs dans la transition énergétique du Royaume et d’assurer, ainsi, leur contribution au développement socio-économique de la région Drâa-Tafilalet.
Après l’adoption du statut de cette association, l’assemblée générale a procédé à l’élection de M. Abdelkrim Amkassou, président du CJMED, ainsi que des membres du bureau administratif.

M. Amkassou a expliqué que la création de cette association a pour objectif de renforcer l’intérêt accordé aux énergies renouvelables et de contribuer à la valorisation des potentialités dont regorge la province de Ouarzazate et la région de Drâa-Tafilalet.

Le centre ambitionne aussi de contribuer à l’appui et à la mise à niveau de ce secteur, ainsi qu’à la formation des jeunes intéressés par ce domaine en vue de renforcer l’efficacité énergétique du Royaume.

De son côté, le secrétaire général du centre, Rachid Naciri, a fait savoir que cette initiative est le fruit d’une série de rencontres entamées en 2017 entre un groupe de jeunes motivés, ambitieux et intéressés par le domaine des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique au niveau de la ville de Ouarzazate.

Il a relevé que l’assemblée générale a fixé quatre piliers pour la gestion des affaires du centre: renforcer les capacités des jeunes de la région de Drâa-Tafilalet en matière des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, lancer des projets dans les zones rurales, faire du centre une destination pour les jeunes en quête d’informations inhérentes à ce secteur et enfin veiller à échanger les expériences et les expertises sur le plan international.

Le centre œuvrera également à organiser diverses activités conformément à un plan d’action triennal dédié à tous les acteurs dans ce domaine vital, a-t-il conclu. 

Présentée lors d’une réunion qui s’est déroulée le 10 juillet 2019 au siège de la CGEM, l’étude sur la mobilité durable menée par Nevolys et le Groupe Sunergia en partenariat avec la Fédération de l’énergie fait ressortir une analyse exhaustive du potentiel du marché marocain dans le domaine et émet des recommandations pour implémenter cet écosystème au Maroc. 

En effet, le basculement vers l’électrique est en marche un peu partout dans le monde, ce qui pousse les acteurs nationaux de l’énergie à s’interroger sur l’état des lieux de ce marché en termes d’offre, de parc, des ventes, de chaîne de valeur, d’infrastructures et de cadre législatif et réglementaire. 

L’écosystème marocain est au stade préliminaire de montage et de structuration, à en croire les résultats de cette étude qui pointe du doigt le prix de vente des voitures électriques qui reste plus cher par rapport aux véhicules thermiques, les incitations limitées ne permettant pas de réduire significativement des prix de vente des VE, l’Insuffisance des bornes de recharge rapide sur le réseau routier national et l’inexistence des prises domestiques sécurisées/pilotées. Sans parler du manque de main-d’œuvre qualifiée pour l’entretien et la maintenance des VE et l’absence d’un cadre réglementaire sur la mobilité durable et vente d’énergie par les opérateurs de bornes de recharge. Elle met en garde contre le traitement de la mobilité durable en dehors de la transition énergétique et appréhende l’impact éventuel sur le marché des pièces de rechange et service après- vente.

Selon cette étude, il faudrait, 10 années de transition afin d’effectuer des incitations pour l’utilisation des voitures électriques. L’étude préconise de mettre en place une prime à l’achat pour les voitures électriques (estimée à 50.000 DH) et un remboursement de la TVA à l’achat de voitures électriques pour les entreprises. Elle recommande également de mettre en œuvre des taux préférentiels pour le financement des véhicules électriques par les organismes de financement ainsi que l’application d’offres préférentielles pour l’assurance auto des VE. 

L’étude suggère également de procéder à une prime à la casse pour le transport en commun et d’offrir des avantages à l’utilisation de véhicules électriques (gratuité péage, stationnement, exonération vignette, réduction des frais d’immatriculation, tarif d’homologation des cyclomoteurs). 

Au niveau du développement de l’infrastructure de recharge pour véhicules électriques, elle recommande le déploiement progressif d’un réseau de bornes de recharge rapide des véhicules électriques couvrant le réseau routier national, principalement au niveau des stations-service.

De même, le renforcement de l’écosystème de la mobilité électrique exige la mise en œuvre d’un cadre sur l’exemplarité de l’État et les collectivités territoriales (30% des nouvelles acquisitions à l’horizon 2030).

Dans le cadre de la promotion du partenariat international dans le domaine de l’énergie, le Maroc a accueilli, le 28 juin, le comité exécutif du forum international de l’Energie (IEF). Cet organisme multilatéral est la principale plateforme neutre dont les membres représentent 90% de la demande et de l’offre sur le marché mondial de l’énergie.

Lors de son discours d’ouverture, Aziz Rabbah, ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, a souligné l’importance capitale de cette réunion et a remercié Sun Xiaoshan, Secrétaire Général du Forum International de l’Energie, d’avoir organisé cette réunion pour la première fois au Maroc et en Afrique.

Le Ministre a également souligné que cette réunion constitue une opportunité majeure pour les pays producteurs et consommateurs afin de débattre des questions énergétiques clés et d’intérêt commun.

En effet, l’énergie jouant un rôle de plus en plus important dans le monde d’aujourd’hui tant au niveau économique qu’au niveau géopolitique, il est important d’inventer de nouveaux modèles économiques et de nouvelles politiques énergétiques à même de relever les principaux défis : mettre à disposition une énergie sûre avec un coût raisonnable et, en même temps,  préserver un développement durable.

Le comité de cette année connaîtra la participation d’environ 40 représentants des Pays membres du comité exécutif. Il est à rappeler que l’IEF compte plus de 72 membres actifs dont les acteurs du secteur de l’énergie : USA, Europe, Chine, Arabie Saoudite. Son siège est à Riyad en Arabie saoudite.

Il est à noter qu’en marge de cet événement international, plusieurs rencontres bilatérales seront organisées entre les responsables marocains et les représentants des pays membres. Ce comité examinera également la proposition du Secrétaire Général de l’IEF d’abriter la prochaine réunion ministérielle des pays membres, prévue en 2022, au Maroc.