L’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN) a lancé un appel à candidature pour le financement de 28 bourses de doctorat et post-Doctorat au titre de l’année 2019, dans le cadre des appels à projets « Green InnoPROJECT » et « Green Inno-BOOST ».

Les bourses doctorales sont destinées aux étudiants titulaires d’un Master, d’un diplôme d’ingénieur ou d’un diplôme reconnu équivalent dans l’une des thématiques citées dans les formulaires de soumission et ayant obtenu leurs diplômes en 2018 ou 2019.

Quant aux bourses postdoctorales, elles sont destinées aux porteurs d’un doctorat dans l’une des thématiques citées dans les formulaires de soumission.
La sélection des candidats sera effectuée sur deux phases, à savoir l’examen des dossiers de candidatures par le comité d’évaluation et les entretiens individuels des candidats présélectionnés.

Les candidats retenus non-inscrits au cycle de doctorat auront un délai d’un (1) mois après la notification, pour présenter leurs attestations d’inscription.
Les dossiers soumis seront évalués par une commission d’évaluation qui regroupe l’ensemble des coordinateurs des projets et les professeurs-chercheurs encadrants, faisant partie des projets retenus dans le cadre des appels à projets : « Green Inno-PROJECT » et « Green Inno-BOOST ».
Les candidats concernés sont ainsi appelés à entreprendre les démarches nécessaires via la plateforme dédiée (www.iresen-aap.org/bourses) au plus tard le 15 novembre 2019.

L’Office national de l’Électricité et de l’Eau Potable (ONEE) et l’Agence nigérienne de Promotion de l’Électrification en milieu rural ont signé, le 7 octobre à Rabat, un nouveau contrat visant à augmenter l’accès à l’électricité en milieu rural au Niger.

Signé par le directeur général de l’ONEE, Abderrahim El Hafidi, et le directeur général de l’agence nigérienne, ce contrat s’inscrit d’une part, dans le cadre de la coopération entre le Maroc et le Niger et, d’autre part, dans le cadre de l’accord signé entre l’ONEE et la BID pour la mise en œuvre de l’initiative commune d’appui à l’électrification rurale en Afrique Sub-Saharienne.

L’ONEE et la BID se sont engagés à apporter l’appui nécessaire aux projets d’électrification rurale éligibles à l’initiative par le biais de leur structuration, la réalisation des études qui s’y rapportent, la formation et le développement de capacités ainsi que l’assistance technique pour leurs réalisations.

Le projet Niger vise à augmenter l’accès à l’électricité en milieu rural à travers la réalisation de mini réseaux alimentés par des centrales solaires avec stockage et le raccordement d’environ 17.500 foyers et 1.500 activités (services publics et activités économiques) dans une trentaine de villages.

M. El Hafidi a mis en exergue, à cette occasion, l’expertise reconnue de l’ONEE dans le montage et le déploiement des projets d’électrification rurale. Ce savoir-faire permet à l’office aujourd’hui de devenir le premier opérateur dans ce domaine au Sénégal, à travers deux contrats de concession sur 25 ans sur un territoire de plus de 49.000 km2.

D’autres pays de la région bénéficient également du soutien de l’ONEE. Les projets les plus récents étant ceux actuellement conduits par l’ONEE au Mali, au Tchad ou encore en Gambie.
A travers ce projet, l’ONEE renforce sa coopération dans les métiers d’électricité avec les pays de l’Afrique Sub-Saharienne.

Une action de sensibilisation à l’efficacité énergétique a été organisée récemment au profit des élèves de l’École Écologique Abdellah Ghayat, province d’Al Haouz, à l’initiative de l’Agence marocaine pour l’Efficacité énergétique (AMEE) en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

Cette action s’inscrit dans le cadre d’une large compagne de sensibilisation à l’efficacité énergétique entamée en partenariat avec le ministère, dans le but de faire bénéficier le maximum d’enfants de ce programme. Les supports de cette action de sensibilisation sont des livrets portant sur les bonnes pratiques à adopter à la maison et à l’école pour rationaliser l’utilisation de l’énergie.

S’exprimant à cette occasion, le ministre de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique Saïd Amzazi a mis l’accent sur l’importance de l’efficacité énergétique pour le développement durable, saluant cette initiative de l’AMEE, qui vise à encourager les élèves à optimiser la consommation énergétique. M. Amzazi a également a recommandé l’instauration du principe de l’efficacité énergétique dans les manuels scolaires.

Pour sa part, le Directeur général de l’AMEE Saïd Mouline a rappelé le rôle de l’Agence en matière de sensibilisation aux mesures de l’efficacité énergétique, et fait observer que le développement des campagnes d’information auprès des publics scolaires permet de sensibiliser la population aux éco-gestes qui permettent des économies d’énergie significatives dès le plus jeune âge.
Cette opération consiste en la distribution de plus de 2000 cartables et kits de sensibilisation en faveur des écoles écologiques de tout le Royaume.

Le Maroc a été élu, à Vienne, à la présidence du Forum des organismes de réglementation nucléaire en Afrique (FNRBA), en marge de la 63e conférence générale de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).

Le Royaume, représenté par le directeur général de l’Agence marocaine de sûreté et de sécurité nucléaires et radiologiques (AMSSNuR), El Khammar Mrabit, a recueilli 16 des 17 voix des instances des États membres présentes lors du vote.
Pour rappel, créé par l’AIEA en 2009, le FNRBA compte 35 membres et constitue une plate-forme régionale pour l’échange d’expériences et le partage des connaissances pour le développement des organismes de régulation africains conformément aux normes internationales.

Allocution, mercredi (02/10/19) à Rabat, du ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, M. Aziz Rabbah, lors de l’ouverture de la 8ème Conférence islamique des ministres de l’Environnement, organisée sous le thème: “Rôle des facteurs culturels et religieux dans la protection de l’environnement et le développement durable”.

Dans un message adressé aux participants à la 8e conférence islamique des ministres de l’Environnement, SM le Roi Mohammed VI a affirmé que le Maroc a d’ores et déjà entrepris le processus de création de l’Académie islamique pour l’environnement et le développement durable qui a pour ambition d’approfondir la réflexion académique autour de cette thématique.

Ce projet commun, à vocation académique, a pour ambition d’approfondir la réflexion académique autour de cette thématique, a indiqué le Souverain, notant que cette instance entend se hisser au rang de leader en développement durable, en adoptant des méthodes de travail, inspirées de notre culture islamique authentique, qui permettent de tirer judicieusement parti des ressources de notre planète.

 

L’Afrique doit être une priorité de l’action collective internationale en faveur de l’environnement, dont la dégradation constitue une menace que tous les pays du monde se doivent d’affronter conjointement, a souligné Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

Dans un message adressé au Sommet Action climat, qui a ouvert ses travaux le 23 septembre au siège de l’ONU à New York, le Souverain a mis l’accent sur les efforts déployés par le Maroc en matière de lutte contre les changements climatiques et de sauvegarde de l’environnement, notamment en direction de l’Afrique, Continent qui « endure injustement l’impact du changement climatique ».

Sa Majesté le Roi a cité, à cet égard, le 1er Sommet Africain de l’Action, organisé à Marrakech, qui a enclenché une dynamique sans précèdent par l’opérationnalisation de deux Commissions « Climat » africaines du Bassin du Congo et de la Région du Sahel.

Outre la « Coalition pour un Accès à l’Énergie Durable », formé conjointement avec l’Éthiopie au profit des pays les moins avancés, notamment en Afrique, le Maroc a lancé, avec ses pays frères du Continent, l’initiative pour l’Adaptation de l’Agriculture Africaine (triple A), a ajouté le Souverain dans ce Message dont lecture a été donnée par SAR la Princesse Lalla Hasnaa, présidente de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement.

Après avoir souligné l’engagement du Maroc à réduire ses émissions de Gaz à effet de serre et à revoir à la hausse ses ambitions en matière d’énergies renouvelables, Sa Majesté le Roi a mis l’accent sur l’initiative « African Youth Climate Hub », qui a été créée par la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement avec ses partenaires pour mettre en valeur le leadership et l’innovation et souligner le rôle positif de la jeunesse africaine dans ce domaine.

Dans ce cadre, le Souverain a lancé un appel pour « un soutien appuyé et effectif » au premier “Sommet pour la jeunesse Climat”, qui incite à l’optimisme.

« Établir une solidarité internationale effective ; trouver des financements pérennes ; opérer un transfert qualitatif de technologie et de savoir-faire, tels sont les impératifs qui doivent nous guider pour que nous soyons à la hauteur de cette noble ambition climatique », a dit Sa Majesté le Roi.

Six projets ont été présélectionnés lors du premier Hackathon de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), tenu du 20 au 22 septembre à Casablanca.

Organisé en association avec l’Agence de coopération internationale allemande (GIZ) dans le cadre des programmes d’appui à la politique énergétique (PAPEM II) et aussi d’appui aux très petites, petites et moyennes entreprises (TAM III) et la société de services LaFactory, cet événement fédérateur qui s’inscrit dans le cadre de l’introduction progressive du digital au sein de l’Office a attiré, au départ, pas moins de 216 candidats.

A l’issue d’une première sélection, 85 porteurs d’idées ont été retenus pour participer au Hackathon, dont 40 collaborateurs internes représentant toutes les régions du Royaume, notamment Casablanca, Chefchaouen, Dakhla, Errachidia, Essaouira, Ifrane, Meknès, Ouarzazate, Oujda, Rabat, Sefrou, Tan-Tan et Zagora et 45 participants externes, étudiants, développeurs, designers, entrepreneurs, startups, souligne-t-on.

Tous les participants ont concouru, 72 heures durant, pour proposer des services énergétiques innovants, avant-gardistes et disruptifs avec, pour objectif, l’amélioration de la qualité de services ou l’amélioration des processus internes de l’Office, précise la même source, notant que des experts et mentors ont également pris part à cet évènement pour accompagner les participants dans leurs réflexions et les coacher.
Après d’intenses séances de brainstorming, et un travail de développement acharné et sans relâche, 16 projets ont été présentés au jury composé d’experts du domaine parmi lesquels des représentants de l’ONEE et de la GIZ et des experts.

Parmi ces projets, 6 ont été retenus pour la prochaine étape dans différents domaines, notamment, la gestion du réseau de distribution, avec une inclusion des technologies émergentes (IOT, AI et maintenance prédictive), ainsi que la mise à la disposition des clients d’une application mobile multiservices leur permettant de s’identifier, demander à distance le raccordement au réseau électrique, s’abonner, partager le relevé d’index, consulter et payer leurs factures.

Il s’agit également du renforcement de la sécurité des agents à travers l’utilisation d’un jeton de sécurité électronique sonore permettant d’alerter ces derniers lorsqu’ils s’approchent de la distance minimale d’approche (DMA),

Les gagnants de cette première phase ont bénéficié d’un accompagnement de quatre jours d’entraînement intense « Bootcamp » par LaFactory pour améliorer et mieux structurer leurs projets, en prévision du Demo Day pendant lequel il est prévu de retenir trois projets.

 

 

« Le pompage solaire : levier d’efficacité énergétique et de développement durable dans le secteur de l’agriculture » est le thème central d’un atelier de sensibilisation organisé le 24 septembre à Errachidia par l’Agence Marocaine pour l’Efficacité Énergétique (AMEE).

Cette rencontre a pour objectif d’informer sur les atouts et les avantages du pompage solaire, ainsi que d’échanger sur les contraintes opérationnelles d’ordre technique, financier ou organisationnel et leur impact sur le développement durable de ce marché.

Cet atelier, qui ambitionne aussi d’identifier les attentes et les priorités des acteurs régionaux et locaux pour le développement des projets de pompage solaire, s’inscrit dans le cadre de la stratégie de l’AMEE et ses partenaires ayant pour finalité la création d’un cadre propice au développement des systèmes de pompage solaire dans le domaine de l’agriculture, notamment l’irrigation agricole.

Intervenant à l’ouverture de cet atelier régional, le wali de la région de Drâa-Tafilalet, gouverneur de la province d’Errachidia, Bouchâab Yahdih, a relevé que cette rencontre de sensibilisation constitue une valeur ajoutée au secteur agricole de cette région leader sur le plan national en matière d’énergies renouvelables.

Il a souligné, dans le même sens, que la position du Maroc et la diversité de son climat et de sa géographie le prédisposent à jouer un rôle de premier plan au niveau régional dans le domaine des énergies renouvelables solaires, éoliennes et hydrauliques.

M. Yahdih a relevé que le Maroc a réussi, grâce à la clairvoyance de SM le Roi Mohammed VI, à obtenir des résultats très positifs dans le domaine des énergies propres, rappelant l’objectif que s’est fixé le Royaume de porter à 52 % la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique à l’horizon 2030.

De son côté, le secrétaire général de l’AMEE, Lahcen Farhat, a relevé que l’Agence accorde, depuis plus de deux décennies, une importance particulière à la région de Drâa-Tafilalet, rappelant les activités organisées, dans ce cadre, portant sur les domaines de l’électrification rurale solaire, le pompage solaire et les technologies d’économie de bois de combustion.

Il a ajouté que le programme d’accompagnement du secteur du pompage solaire dans l’agriculture vise à contribuer à la mise en place du cadre et des mécanismes propices au développement durable des systèmes de pompage solaire dans ce secteur d’activité, tout en prenant en considération l’utilisation rationnelle des ressources naturelles et la préservation de l’environnement.

M. Farhat a fait savoir que ce programme vise, en outre, la sensibilisation des agriculteurs et le renforcement de leurs capacités, ainsi que celles des professionnels actifs dans ce domaine sur les plans national et régional.

Pour sa part, Mohamed Lisser, du ministère de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, a rappelé les efforts déployés par ce département sur les plans notamment juridique et de suivi des projets liés aux énergies renouvelables.

Il a plaidé pour l’implication de l’ensemble des acteurs concernés, dont les autorités locales, les professionnels, les agriculteurs et la société civile, en faveur de la réussite du chantier d’utilisation des énergies renouvelables dans le secteur agricole.

Cet atelier est le cinquième du genre organisé par l’AMEE après ceux tenus dans les régions de Souss-Massa, Béni Mellal-Khénifra, l’Oriental et Fès-Meknès.

L’équipe française « Eco Solar Breizh » a remporté à Benguerir, la 5e édition du Moroccan Solar Race Challenge, la première course de voitures solaires en Afrique.

La deuxième place a été décrochée par l’équipe turque « Solaris », en devançant les pilotes français de « Belenos », tandis que l’équipe marocaine de l’École Mohammadia d’ingénieurs (EMI) s’est classée quatrième lors de cette compétition.

La 5e édition du Moroccan Solar Race Challenge s’est déroulée sur le même trajet que les précédentes éditions, soit 75 Km à parcourir entre la ville de Marrakech et la ville verte de Benguerir, mais cette fois en aller-retour ce qui fait un total de 150 km, afin de pousser les équipes à fournir davantage d’effort et faire preuve de plus d’innovation pour réussir le challenge.

Ces véhicules solaires ont dû parcourir ce trajet sans une seule goutte de carburant, seulement de l’énergie solaire. Cette course, qui a réuni des écoles, universités et institutions de recherche venant du monde entier, a connu la participation de 10 équipes, à savoir six équipes marocaines, trois françaises et une turque.

Initiée par l’IRESEN sous l’égide du Ministère de l’Énergie, des Mines et du Développement Durable, cette première course de voitures solaires en Afrique réunit chaque année des étudiants des quatre coins du monde dans le but de construire des véhicules solaires.

Organisé pour la première fois en 2013, le Moroccan Solar Race Challenge consolide les acquis de l’écosystème du savoir dans la région de Benguérir avec l’Université Mohammed VI Polytechnique et la plateforme Green Energy Park : Plateforme de recherche et développement dans le domaine des énergies renouvelables.

Grâce à cet événement, le Maroc se positionne sur le podium international des courses de voitures solaires et est ainsi le premier pays africain à organiser une telle manifestation au service des jeunes étudiants et de l’innovation.

Mme Yasmine Arsalane, experte à l’Agence internationale de l’énergie (AIE), a animé le 20 septembre, à Benguérir, une conférence sous le thème « transitions énergétiques et transformation numérique, perspectives et enjeux à l’échelle mondiale pour le secteur de l’électricité » dans le cadre de la 2è édition du Workshop sur les Smart-Grids.

Dans son intervention, cette analyste sénior à la direction du développement durable, des technologies et des perspectives énergétiques au sein de l’AIE a analysé la situation actuelle du secteur de l’énergie au monde et les projections énergétiques pour les années à venir.
Mme Arslane a commencé son exposé par dresser plusieurs constats sur le secteur de l’énergie au niveau mondial, relevant dans ce cadre, que pour la troisième année consécutive, les investissements dans le secteur de l’énergie sont supérieurs à ceux du secteur du pétrole et du gaz.

Et de faire remarquer que pour la première fois, la population mondiale sans accès à l’électricité est tombée en 2018 sous le seuil d’un milliard, indiquant cependant que seulement 30 % de la population des pays de l’Afrique subsaharienne a accès à l’électricité.
Mme Arslane a en outre, souligné que l’électricité est un secteur en plein changement et continuera à jouer un rôle important dans notre avenir énergétique et environnemental.

Partant des rapports et des études de l’AIE, cette experte internationale a donné une analyse prospective du secteur de l’énergie à l’horizon 2040, précisant que les grandes priorités de l’AIE sont l’accès pour tous à une énergie propre, à bas coût et fiable.
L’électricité est de plus en plus le combustible de choix et va représenter 25% de la demande en énergie à l’horizon 2040, a-t-elle renchéri, rappelant que cette demande a augmenté depuis l’année 2000 à un rythme de 3% chaque année.

Tout en notant que les politiques des pays développés ont permis de modérer la consommation, elle a indiqué que la Chine est devenue le plus grand marché de l’électricité avec une croissance multipliée par cinq depuis l’an 2000, alors que les projections de l’AIE prévoient que d’ici 2040, la demande en électricité en Chine sera deux fois celle des États-Unis.

Par ailleurs, cette experte internationale a fait remarquer les énergies éoliennes et solaires vont connaitre une croissance très importante et vont devenir un des piliers du système électrique à l’avenir.

Mme Arsalane a fait savoir que l’AIE publiera le 11 novembre prochain, à Johannesburg, son rapport annuel, le World Energy Outlook (WEO) qui établit des projections énergétiques pour les années à venir en se basant sur divers scénarios et en se concentrant cette année sur l’Afrique.

Concernant les Smart-Grids, elle a noté que c’est secteur en pleine croissance, indiquant dans ce cadre, que les investissements dans les Smart-Grids ont augmenté de 10% en 2018 par rapport aux années précédentes.