L’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE) a tenu, le 23 décembre à Rabat, la 4ème réunion de son Conseil d’administration, présidée par le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah. Intervenant en ouverture de cette réunion, M. Rabbah a souligné que « le Maroc s’est engagé dans une dynamique de promotion de l’efficacité énergétique, qui constitue un pilier essentiel de la stratégie énergétique nationale”, notant que “les actions y afférentes ciblent les principaux secteurs consommateurs d’énergie que sont le transport, l’industrie, le bâtiment et l’agriculture, ainsi que les différentes niches animant l’économie marocaine ».

Le ministre a également rappelé l’importance de la dynamique d’accélération et de concertation engagée par le ministère et l’importance des partenariats au niveau national et international réalisés dans ce domaine vital pour l’économie marocaine. 

De son côté, le directeur général de l’AMEE, Saïd Mouline, a présenté le rapport de gestion de l’Agence au titre du deuxième semestre 2019, ainsi que le plan d’action pour l’approbation du budget de 2020, démontrant, les avancées du Royaume en matière d’efficacité énergétique dans les différents secteurs, notamment le transport, le bâtiment, l’industrie, l’agriculture et l’éclairage public, ajoute le communiqué.

Au cours de cette présentation, M. Mouline a rappelé que la question de l’efficacité énergétique fait partie des grandes orientations de la stratégie énergétique nationale et constitue la pierre angulaire du modèle de la transition énergétique que le Maroc souhaite mettre en place.
Cette réunion a aussi été l’occasion de présenter les projets phares entamés par l’AMEE, à savoir la mise en œuvre du Décret relatif à l’audit énergétique obligatoire, la mise en œuvre du Code de l’efficacité énergétique dans le bâtiment, la promotion de la mobilité durable, l’audit énergétique des flottes de transport, la sensibilisation et le renforcement des capacités des acteurs marocains et africains, la mobilisation des financements, ainsi que la promotion des systèmes de pompage photovoltaïques pour l’irrigation agricole et le programme d’Efficacité énergétique dans les mosquées.

Au terme de cette réunion, il a été procédé à l’adoption du procès-verbal de la réunion du 3è Conseil d’administration de l’Agence ainsi que du budget de l’année 2020.

La production nationale de l’énergie électrique préserve sa bonne dynamique, enregistrant une performance de +19,5% à fin octobre 2019, après +7,5% un an plus tôt, selon la Direction des études et des prévisions financières (DEPF), relevant du ministère de l’Économie, des finances et de la réforme de l’administration.

Ce résultat provient, notamment, de la bonne tenue de la production privée de +37% après +8,2% et de celle des projets développés dans le cadre de la loi 13-09 de +48,1% après +73,3%, atténuée par la baisse de celle de l’ONEE de 18,4% (après +2,2%), explique la DEPF dans sa note de conjoncture de décembre.

Parallèlement à cette évolution, le solde des échanges de l’énergie électrique avec l’Algérie et l’Espagne (importations-exportations), s’est réduit de 123,1% à fin octobre 2019, résultant du recul du volume de l’énergie importée de 86,8%, contre une progression de celle exportée de 557,7%, dans un contexte d’augmentation de l’énergie nette appelée de 4,1%, après +0,5% à fin octobre 2018.

Au terme des 10 premiers mois de l’année, la consommation de l’énergie électrique au niveau national s’est appréciée de 0,8%, après un retrait de 1,8% il y a une année, portée par le renforcement de celle de l’énergie de moyenne tension de 9,9%, de basse tension de 7,2% et de celle adressée aux distributeurs de 1,8%, ajoute le DEPF.

Le Conseil de gouvernement, réuni le 12 décembre à Rabat sous la présidence du chef de gouvernement Saad Dine El Otmani, a approuvé des propositions de nomination à des fonctions supérieures. 

Il s’agit de deux nominations au ministère de l’Énergie, des mines et de l’environnement-Département de l’Énergie et des mines.

Ainsi, il a été procédé à la nomination de Fouad Ziyadi en tant qu’inspecteur général, alors que Jamal Ramdane a été désigné directeur du suivi, de la coopération et de la communication au sein de ce département.

L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), Moroccan agency for sustainable energy (MASEN) et la société de projet “PARC EOLIEN TAZA SA” viennent de signer des contrats de projet relatifs à la réalisation de la première phase (87 MW) de ce parc, dont la mise en service est prévue pour fin 2021, permettant ainsi de boucler le financement de cette phase du projet.

Les parties avaient, le 18 décembre courant à Rabat, signé des contrats de projets relatifs à la réalisation de cette phase, indique un communiqué conjoint de l’ONEE et de MASEN. Ces contrats ont été signés par le directeur général de l’ONEE, Abderrahim El Hafidi, le président directeur général de MASEN, Mustapha Bakkoury, et le vice-président du groupement EDF Renouvelables pour le Moyen-Orient et Afrique, Nguyen Huy Cuong Dao, représentant la société du projet, qui comprend également Mitsui & Co. Ltd (Japon).

Cette signature s’est déroulée en présence du ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah, du directeur international d’EDF Renouvelables, Frédéric Belloy, du PDG EDF EN Renouvelables Maroc, Marc Chiron et du directeur général adjoint de Mitsui & Co. Ltd Casablanca, Shuji Akiyoshi, précise le communiqué. Il ajoute que le financement de la première phase de ce projet a été bouclé suite à la signature, le 20 décembre, de contrats de financement entre les parties et le groupement de banques japonaises (JBIC, NEXI, MUFG et SMBC) ainsi que la banque Marocaine BMCE.

Situé à environ 12 km au Nord-Ouest de la ville de Taza, la première phase du parc éolien de Taza est composée de 27 turbines éoliennes de puissance unitaire de 3,23 MW fabriquées par General Electric. L’électricité produite correspondra à la consommation électrique d’une ville d’environ 350 000 habitants. Sur le volet environnemental, ce projet permettra d’économiser environ 200 000 tonnes de CO2 par an dans sa première phase et prévoit, dans le cadre de la promotion du tissu industriel national, une compensation industrielle, en vertu de laquelle le développeur privé s’engage à investir et à acquérir des biens et des services auprès d’entreprises marocaines.

Le parc éolien de Taza, d’une puissance totale de 150 MW, s’inscrit dans le cadre de la stratégie énergétique nationale dont l’objectif est d’atteindre 52% de la puissance électrique installée à base d’énergie renouvelable à l’horizon 2030.

Le ministre de l’Énergie, des Mines et de l’Environnement, Aziz Rabbah, et le ministre de l’Énergie chargé des Ressources naturelles de la République de Djibouti, Yonis Ali Guedi, ont signé, un accord cadre visant à renforcer la coopération bilatérale dans les domaines de l’énergie, des mines et de la géologie.

Le Maroc et le Djibouti ont signé, le 16 décembre à Rabat, un accord cadre visant à renforcer la coopération bilatérale dans les domaines de l’énergie, des mines et de la géologie.

Signé par le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah et le ministre de l’Énergie chargé des Ressources naturelles de la République de Djibouti, Yonis Ali Guedi, cet accord permet d’échanger et de discuter des moyens susceptibles de développer la coopération bilatérale, notamment entre les acteurs et les investisseurs des deux pays dans les secteurs de l’énergie et des mines, ainsi que les opportunités offertes au Maroc et à Djibouti dans ces domaines.

L’accord cadre s’inscrit également dans le cadre de l’intérêt particulier que le Maroc porte à la coopération avec les pays du continent africain conformément à la vision clairvoyante de Sa Majesté le Roi Mohammed VI visant à accompagner le développement durable des pays africains, notamment à travers le partage d’expertises et le renforcement des partenariats gagnants-gagnants, selon le ministère l’Énergie, des mines et de l’environnement.

Dans une déclaration à la presse à cette occasion, M. Ali Guedi, en visite dans le Royaume du 15 au 18 décembre, a souligné que son pays ambitionne de renforcer cette coopération tout en tirant profit de l’expertise marocaine en matière énergie et des mines pouvant contribuer au développement des énergies renouvelables à Djibouti.

M. Ali Guedi a exprimé sa volonté d’emprunter la même direction que “son grand frère le Maroc, qui est avancé en matière d’énergie et des mines” et de développer les mêmes projets.

De son côté, M. Rabbah a annoncé que les deux pays partagent de larges perspectives de coopération dans les domaines des énergies renouvelables, de l’électricité, de la géologie, des mines, de la coopération technique et de la formation des ressources humaines, saluant les « solides » relations historiques entre le Maroc et Djibouti au niveau politique, qui inclut aujourd’hui le côté économique.

Par ailleurs, il a affirmé que les institutions concernées par l’énergie et les mines des deux pays travaillent étroitement pour bénéficier des expériences et des positions stratégiques respectives, soulignant les aspects de coopération entre les ministères et les institutions publiques qui aspirent à renforcer les relations au niveau du secteur privé dans les domaines de l’énergie et des minéraux et à profiter des opportunités disponibles pour que les entreprises des deux pays puissent en bénéficier.

L’institution allemande Kreditanstalt für Wiederaufbau (KfW) a octroyé à l’Office national de l’Électricité et de l’Eau Potable (ONEE) un don de trois millions d’Euros, destiné au financement de l’assistance relative aux « Mesures d’accompagnement ».
La convention relative à ce don a été signée, le 10 décembre 2019 au siège de l’ONEE à Rabat, notamment par M. Abderrahim El Hafidi, Directeur général de l’ONEE, et M. Markus Faschina, Directeur du Bureau KfW au Maroc, indique le 11 décembre un communiqué de l’Office. 

Cette convention s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations de coopération entre la « German Financial Development Coopération » et l’Office National de l’Électricité et de l’Eau potable, précise la même source.
En vertu de ce financement, l’ONEE fera appel à des services d’experts pour soutenir la mise en œuvre de son nouveau modèle de développement et améliorer la gestion des aspects environnementaux et sociaux liés aux grands projets d’infrastructure lancés par l’Office, conclut le communiqué.

 

Lydec a reçu le trophée « Top Performer RSE » décerné aux entreprises, cotées et/ou émettrices de titres obligataires, les plus performantes en matière de responsabilité sociale et de gestion des risques de durabilité.

Lydec qui remporte pour la sixième fois depuis 2012 ce trophée attribué par l’agence de notation extra-financière, Vigeo Eiris, a été consacrée pour sa performance globale et plus particulièrement pour 8 critères, indique dans un communiqué le délégataire de services d’eau et d’électricité dans le Grand Casablanca.

Ces critères portent sur la prise en compte des risques de pollution, la maîtrise des impacts liés à l’utilisation et à l’élimination du produit ou du service, la gestion responsable des restructurations et la contribution au développement socio-économique du territoire.

Il s’agit également de l’orientation responsable des contrats et respect des droits des clients, l’intégration de critères de conformité sociale dans l’homologation et la sélection des fournisseurs, la prévention de la corruption et du blanchiment, et l’équilibre des pouvoirs, respect des compétences et efficacité du Conseil d’Administration.

La 25è Conférence des parties de la Convention-Cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques(COP25) constitue une occasion pour présenter l’expérience marocaine dans différents domaines liés au changement climatique, à l’environnement, aux énergies renouvelables et à l’économie verte, a souligné, le 2 décembre à Madrid, le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement Durable, Aziz Rabbah.
« La COP25 constitue également pour le Maroc une opportunité pour faire un benchmark et évaluer les avancées qu’il a réalisées par rapport à la dynamique internationale et aux centaines d’expériences réussies dans les différents domaines », a déclaré le ministre, en marge des travaux de cette Conférence, réitérant l’engagement du Maroc en faveur du climat.
Ce Sommet permettra aussi au Royaume de nouer et de renouer des partenariats avec des institutions internationales actives dans ce domaine, estimant que le Maroc est devenu aujourd’hui un champ de coopération mis à la disposition des pays amis et frères, notamment les pays africains.
« Depuis la Déclaration de Paris, en passant par la COP22 à Marrakech jusqu’à cette COP25, on constate que les changements climatiques sont plus rapides que la réalisation des engagements pris. Aujourd’hui, tout le monde appelle à une action plus forte et à une vitesse supérieure en termes d’engagement et plus particulièrement au sein des pays avancés », a relevé M. Rabbah. 

« Le Maroc s’est engagé depuis longtemps dans la lutte contre le changement climatique, à travers le lancement d’une politique hydraulique depuis des décennies que nous sommes en train de revoir », a fait savoir le ministre, notant que le Royaume ambitionne de dépasser les objectifs 2020-2030 de la stratégie nationale en matière des énergies renouvelables, lancée depuis 2009.
Il a, par ailleurs, rappelé les différentes initiatives lancées par SM le Roi Mohammed VI dans les domaines liés à l’environnement qui ont commencé à avoir des retombées positives, soulignant l’engagement du Royaume à s’intégrer dans cette dynamique internationale en faveur du climat, et plus particulièrement à l’échelle continentale.

Sur un autre registre, le ministre a fait état des rencontres tenues avec plusieurs délégations, dont celles polonaise, portugaise et d’autres pays africains, qui ont, selon lui, manifesté leur intérêt à développer la coopération avec le Maroc et à promouvoir des joint-venture avec des établissements publics et des entreprises marocains.
La Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP25) s’est tenue du 2 au 13 décembre avec la participation de représentants de 196 pays, dont le Maroc, afin de prendre des mesures qui seront cruciales pour la suite du processus de l’ONU Changements climatiques.

L’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE) participe à la 7e édition de la Conférence internationale sur les énergies renouvelables et durables (IRSEC’19), qui s’est tenue du 27 au 30 novembre à Agadir.

A cette occasion, l’AMEE a mis en place un stand professionnel animé par ses équipes (techniciens et ingénieurs), en vue d’informer les visiteurs, les chercheurs et les universitaires des activités de l’établissement en matière d’efficacité énergétique et sur ses projets en vigueur.
Dans la région Souss-Massa, l’AMEE mène, en partenariat avec le ministère de la tutelle et Crédit Agricole, un projet pilote visant à promouvoir l’adoption de systèmes de pompage photovoltaïque pour l’irrigation localisée dans les exploitations agricoles.

Intervenant à l’ouverture de cette conférence, le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah a souligné l’importance des nouvelles solutions technologiques et de la recherche scientifique dans la bonne gestion des ressources en énergie, tout en rappelant que la transition énergétique est tributaire de la disponibilité de structures de recherche scientifique fiables.

Selon des données récentes de l’AMEE, quelque 30.000 exploitations agricoles au Maroc sont actuellement équipées en panneaux photovoltaïques (PPV), soit 8,8% des exploitations irriguées.

Les mêmes statistiques ont montré que des grandes et moyennes exploitations ont adopté la technologie PPV, dont 76% des installations ont été financées par des fonds propres et seules 4% sont financées par le crédit bancaire.

Placée sous l’égide du ministère de l’Énergie, des mines et de l’environnement et du ministère de l’Industrie, de l’investissement, du commerce, de l’économie verte et numérique, cette conférence comprend un programme scientifique riche et varié, ainsi que plusieurs ateliers animés par des experts de renommée mondiale.

Organisée également par l’Espace méditerranéen de technologie et d’innovation (MSTI) en partenariat avec l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN), l’Université Mohammed V de Rabat (UM5), l’IRSEC’19 se veut un espace incontournable d’échange et de transfert de technologies pour les experts, les chercheurs, les industriels et les décideurs dans les domaines des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique et du développement durable.

L’IRSEC’19, initiée en partenariat avec la GIZ, le Centre national pour la recherche scientifique et technique (CNRST) et Hydro Québec, est techniquement soutenue par deux organismes internationaux de renom à savoir IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers) et ISES (International Solar Energy Society) et permettra aux universitaires et industriels marocains de présenter leurs travaux de recherche devant des experts et de dénicher les opportunités de collaboration pour monter et financer des projets.

L’IRSEC’19 s’ouvre sur des thématiques à très forte valeur ajoutée pour le Maroc en général et la région de Souss-Massa en particulier. Dans ce sens, un atelier sur le dessalement de l’eau de mer et une session spéciale sur la valorisation énergétique des déchets sont programmés.
Les publications issues de l’IRSEC sont les seules de l’Afrique et de la région MENA classées par « Google Scholar » dans le top 20 des publications dans le domaine de « Solar Energy ».

Engie revoit sa stratégie pour le Maroc. La multinationale française regroupe l’ensemble de ses filiales dans une nouvelle entité : Engie Service Maroc. 

Engie entend ainsi répondre aux enjeux cruciaux du modèle énergétique marocain et construire une nouvelle offre de transition énergétique «As a service»

«Le monde de demain sera pour une énergie décentralisée. Nous devons donc nous adapter en proposant des offres intégrées en faveur de nos clients», a déclaré Philippe Miquel. Le CEO et directeur des Solutions client d’Engie Services Maroc s’exprimait lors de la présentation de la nouvelle stratégie du groupe pour le Royaume, le 6 décembre à Casablanca.

Face aux changements des habitudes de consommation et à la migration vers des énergies propres, la nouvelle entité, qui regroupe Cofely Maroc, Ex-Spie et Engie Fintech Services, aura pour mission de développer l’offre de transition énergétique «As a service». 

Celle-ci porte sur l’installation, la maintenance et l’opérationnalisation. «Nous allons de plus en plus vers des énergies circulaires. Notre enjeu aujourd’hui est d’intégrer notre savoir-faire en faveur de la transition énergétique de nos clients. Et nous ciblons particulièrement les entreprises et les collectivités locales», détaille le PDG.

Ainsi, la nouvelle entité créée ambitionne d’accompagner le Royaume dans la transition énergétique zéro carbone. Outre l’offre de transition énergétique à même de satisfaire les attentes des collectivités et des entreprises, Engie Services Maroc propose à ses clients des solutions de maintenance multi-technique et de Facility management, l’intégration de l’ensemble de la chaîne de valeur et une priorité de l’usage raisonné de l’énergie. 

Le groupe misant sur son expertise et sa performance opérationnelle pour satisfaire les attentes de ses partenaires. «Nous sommes actuellement en cours de finalisation d’un 1er contrat de vente de production décentralisée solaire photovoltaïque avec une grande entreprise, dont le nom sera dévoilé ultérieurement», confie Miquel. 

Le Maroc est le point d’ancrage du groupe français pour son développement en Afrique. «Le pays est bien avancé dans sa transition énergétique par rapport au reste du continent. Depuis 5 ans, il y a une véritable transformation. Aujourd’hui, les premiers challengers ne sont plus les États, mais nos clients».