L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) et Taqa Morocco ont signé, le 24 janvier à Rabat, les contrats relatifs à la rénovation des unités 1 à 4 de la Centrale thermique de Jorf Lasfar et à l’extension de leurs période d’exploitation.

Le Directeur général de l’ONEE, M. Abderrahim El Hafidi et le président du Directoire de Taqa Morocco, M. Abdedmajid Iraqui Houssaini, ont signé des amendements au projet des unités 1 à 4 de la Centrale thermique de Jorf Lasfar, lors d’une cérémonie de signature qui a été co-présidée par le ministre de l’Économie, des finances et de la réforme de l’administration, M. Mohamed Benchaaboun et le ministre de l’Energie, des mines et de l’environnement, M. Aziz Rabbah.

Ces amendements qui portent sur le renouvellement et la prorogation du contrat d’achat et de fourniture à l’ONEE de l’électricité produite par les unités 1 à 4 jusqu’à fin avril 2044, interviennent à l’issue de négociations entre l’Office et son partenaire Taqa Morocco, sous l’appui du ministère de l’Économie, des finances et de la réforme de l’administration et du ministère de l’Energie, des mines et de l’environnement.

L’opération de prorogation, qui s’inscrit dans le cadre du nouveau contrat programme entre l’État et l’ONEE, en cours de finalisation, permettra de rénover la Centrale via un investissement global dépassant 500 millions de dollars, dont un ticket d’entrée de 1,5 milliard de dirhams à verser dans l’immédiat, de valoriser l’infrastructure de base de la Central et de faire coïncider le terme de ce contrat avec celui des unités 5-6, précise le communiqué, ajoutant qu’elle permettra également de renforcer les capacités de production de l’ONEE, d’améliorer sa situation financière et de sécuriser son approvisionnement en énergie électrique.

Le Contrat d’achat des Unités 1 à 4 de la Centrale thermique de Jorf Lasfar, conclu en 1997, avait permis au Maroc de renforcer sa production et son approvisionnement en électricité.

Vivo Energy Maroc a annoncé, à l’occasion de la journée internationale de l’éducation, la digitalisation de son programme « Mama Tabiaa » avec la mise en ligne d’une mallette pédagogique complète. 

Ce programme, réalisé en partenariat avec la Fondation Zakoura et soutenu par le Ministère de l’Éducation nationale, a pour objectif de susciter l’intérêt et d’encourager la réflexion des élèves et de leurs proches sur les problématiques environnementales. 

Cette digitalisation est une étape de plus franchie dans le déploiement de ce programme de sensibilisation à l’environnement. Depuis son lancement en 2015 au sein d’écoles publiques de Hay Hassani à Casablanca et d’écoles d’éducation non formelle de la Fondation Zakoura, sa diffusion n’a cessé de s’accroître pour l’étendre progressivement à d’autres villes du Maroc.

En 2018, il a été généralisé à l’ensemble des écoles primaires, suite à une convention de partenariat avec le Ministère de l’Éducation Nationale. Des milliers d’enfants et leurs proches sont ainsi sensibilisés chaque année à la problématique environnementale.

Mamatabiaa.ma est une plateforme de formation en ligne, destinée aux enseignants et aux élèves, qui offre un programme complet, à travers des vidéos tutorielles et des outils pédagogiques. Accessible gratuitement, la formation est également mise à disposition de toutes les associations animées par l’envie de sensibiliser les jeunes aux enjeux environnementaux. 

L’Agence marocaine de l’efficacité énergétique (AMEE) et l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN) lancent un concours d’idées en vue de la conception d’une ombrière solaire photovoltaïque destinée à la recharge des véhicules électriques à deux roues. Le design devra être inspiré de l’héritage architectural du Maroc.

Les ombrières seront abritées par des parkings ou des stations-service. Elles permettront de recharger les véhicules tout en les protégeant des radiations solaires. Les candidats peuvent déposer leurs propositions jusqu’au 24 février. Les résultats seront dévoilés le 16 mars.

Trois candidatures seront primées par le jury. Les 1er prix se verra décerner un certificat et une prime de 30.000 DH, le 2e 20.000 DH et le 3e 10.000 DH.

 

La production nationale de l’énergie électrique maintient sa bonne dynamique, marquant une hausse de 18,4% à fin novembre 2019, après +7,7% un an plus tôt, selon la Direction des études et des prévisions financières, relevant du ministère de l’Économie, des finances et de la réforme de l’administration.

Cette évolution recouvre, notamment, une hausse de la production privée de 34,2% et de celle des projets développés dans le cadre de la loi 13-09 de 48,8%, atténuée par le retrait de celle de l’ONEE de 17,1%, explique la DEPF dans sa note de conjoncture de janvier.
Concernant la consommation de l’énergie électrique, elle s’est améliorée de 1% à fin novembre 2019, après un recul de 2,1% un an plus tôt, bénéficiant d’une hausse courant les deux premiers mois du quatrième trimestre 2019 de 3%.

Par segment, cette évolution découle du renforcement des ventes de l’énergie de moyenne tension de 10,3% entre janvier et novembre 2019, de celle de basse tension de 8,2% et de celle adressée aux distributeurs de 1,9%.

Quant au solde des échanges de l’énergie électrique avec l’Algérie et l’Espagne (importations-exportations), il s’est replié de 125,8% à fin novembre 2019, après un recul 39,4% il y a une année, consécutivement au maintien du recul du volume de l’énergie importée (-86,3% après -38,8%) et du renforcement soutenu de celle exportée (+433,1% après +75,3%), dans un contexte d’accroissement de l’énergie nette appelée de 4%.

Le Maroc, de par sa position géographique et ses infrastructures portuaires, peut jouer un rôle important dans le secteur énergétique mondial, a indiqué, le 23 janvier à Casablanca, M. Aziz Rabbah, ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement. 

Certes le Maroc est un pays consommateur d’énergie, mais sa position géographique ainsi que ses infrastructures portuaires feront de lui un acteur majeur dans l’amélioration de la sécurité énergétique mondiale et un hub de la logistique énergétique, a souligné le ministre à l’ouverture de la première édition de la Conférence et du Salon international du pétrole et du Gaz « Petrolia-Expo Morocco 2020 ». 

Il a, dans ce sens, rappelé que le Maroc s’est hissé de la 83e en 2004 à la 17ème place dans le classement de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) en matière de la connectivité maritime, relevant que le Royaume pourra figurer parmi le top 10 de la scène maritime internationale grâce à son infrastructure portuaire, notamment le nouveau port de Dakhla Atlantique, le port du Nador West Med ainsi que celui de Tanger Med.

En outre, le ministre a mis en exergue la stratégie énergétique nationale, lancée par SM le Roi Mohammed VI en 2009 et qui s’appuie sur un modèle énergétique basé sur la diversification des sources d’approvisionnement en énergie et l’augmentation de la part des énergies renouvelables dans la consommation électrique nationale, tout en en assurant un usage rationnel et en préservant l’environnement, notant que l’objectif est de porter la part d’énergies renouvelables de la production électrique de 42% en 2020 à plus de 50% à l’horizon 2030.

Le ministre a également exposé les différentes efforts déployés par le Maroc en matière de réformes et d’investissements dans le secteur des énergies, notamment ceux relatives à la distribution et le stockage d’énergie, relevant que les investissements dans le stockage ont atteint, à ce jour, plus de 300 millions de dollars.

De son côté, le ministre du Pétrole, de l’Électricité et de l’Eau du Koweït et président de Kuwait Petroleum Corporation (KPC), Khalid Ali Mohammad Al-Fadel, s’est félicité des relations ancestrales liant le Maroc et le Koweït, soulignant que le Royaume a franchi d’importants pas dans le domaine pétrolier notamment en termes d’exploration et d’extraction du pétrole et du gaz ce qui lui permettra, eu égard à sa position géostratégique entre l’Europe et l’Amérique, de jouer un rôle prometteur dans l’avenir notamment en matière d’exploration du gaz, nerf de l’industrie future.

Pour sa part, le président du Conseil d’affaires maroco-saoudien, Ali Hussein Borman, a relevé que l’organisation de cette Conférence témoigne des opportunités d’affaires qu’offre le Royaume grâce à son positionnement stratégique, mettant en avant le rôle du Conseil dans le développements des relations économiques entre le Maroc et l’Arabie Saoudite.

Le barrage « Moulay Abderrahmane », inauguré par SM le Roi Mohammed VI, est une grande infrastructure qui permettra d’alimenter la province d’Essaouira en eau potable, a affirmé le Directeur général de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), Abderrahim Hafidi. 

Dans une déclaration à la presse, M. Hafidi a indiqué qu’en parallèle à ce barrage, l’ONEE a lancé deux grands projets, dont le premier consiste en le renforcement de la production de l’eau potable à travers une station de traitement de l’eau superficielle du barrage avec une capacité de production de 250 litres/seconde, qui s’ajoute à une capacité de 240 litres/seconde qui est déjà opérationnelle à partir des nappes qui existent au niveau de la province. D’un coût de 135 millions DH, ce projet prend en considération les atouts géographiques de la région et bénéficie du positionnement du barrage qui se trouve à une cote de 245 m, alors que le dernier réservoir de distribution se trouve à une cote de 40 m, a-t-il expliqué. 

Ces atouts ont permis de bénéficier de la force gravitaire pour pouvoir transporter l’eau pour alimenter la ville d’Essaouira et les régions urbaines, a poursuivi M. Hafidi, ajoutant que ce projet prend en considération l’économie de l’énergie pour la production du m3. Le deuxième projet, qui porte sur l’accès à l’eau potable en milieu rural, consiste à raccorder 16 communes, a-t-il fait savoir, précisant que 4 communes avec une population de 33.000 habitants ont été déjà été raccordées dans le cadre de ce projet. Il a en outre indiqué que les travaux seront achevés avant l’été pour les douze autres communes, ce qui bénéficiera à 65.000 autres habitants.

SM le Roi inaugure un projet d’aménagement hydro-agricole du périmètre “Ksoub”

La Vision Royale d’un développement durable et intégré du monde rural s’est, une nouvelle fois, concrétisée à travers les projets hydrauliques, hydro-agricoles et d’eau potable initiés, le 16 janvier par Sa Majesté le Roi Mohammed VI dans la province d’Essaouira.
Le Souverain a, ainsi, procédé à l’inauguration du barrage « Moulay Abderrahmane », réalisé sur l’oued Ksoub pour une enveloppe budgétaire globale de 920 millions DH, du projet d’aménagement hydro-agricole du périmètre « Ksoub » à l’aval du nouveau barrage, qui mobilise des investissements de l’ordre de 238 MDH, et de projets d’eau potable concernant la réalisation d’une station de traitement des eaux du barrage « Moulay Abderrahmane » et la pose de conduites d’adduction de ses eaux (135 MDH), et un projet de renforcement de l’accès à l’eau potable en milieu rural d’un montant de 192 MDH.

Ces projets s’inscrivent en droite ligne des objectifs du Programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation 2020-2027, qui vise la consolidation et la diversification des sources d’approvisionnement en eau potable, l’accompagnement de la demande pour cette ressource inestimable, la garantie de la sécurité hydrique et la lutte contre les effets des changements climatiques.

Ils témoignent de la volonté du Souverain de poursuivre la politique des barrages initiée par Son Vénéré Père, Feu SM Hassan II, que Dieu L’entoure de Son infinie miséricorde, et Sa détermination à faire du secteur agricole un catalyseur de croissance économique équilibrée et durable de l’ensemble des régions du Royaume et un facteur déterminant de promotion des zones rurales à travers le développement des systèmes de production agricole et la maîtrise de la gestion des espaces ruraux.

Ces projets contribueront au renforcement de l’alimentation en eau potable de la ville d’Essaouira et des régions avoisinantes, à la préservation de la nappe phréatique de la province, la protection des zones et infrastructures situées à l’aval du barrage « Moulay Abderrahmane » contre les inondations, à l’augmentation de la superficie agricole irriguée et de la capacité de production agricole, ainsi qu’au désenclavement des populations locales.Avec une capacité de stockage de 65 millions m3, le barrage « Moulay Abderrahmane » est un barrage en remblai à masque en béton d’une hauteur de 72 m sur fondation et d’une longueur de 418 m à la crête.

Cette importante infrastructure hydraulique, qui bénéficiera à une région dont l’économie est principalement basée sur l’agriculture, l’élevage et l’artisanat, porte à six le nombre des grands barrages existant au niveau du bassin hydraulique du Tensift, notamment les barrages Yaâcoub Al Mansour, Lalla Takerkoust, Abou El Abbas Essebti, Sidi Mohamed Ben Soulaymane El Jazouli et Ouagjdit.

Le ministre de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau, M. Abdelkader Amara, a remis, à cette occasion, à Sa Majesté le Roi deux médaillons commémorant l’inauguration du barrage « Moulay Abderrahmane ».

Pour tirer pleinement et durablement profit des avantages apportés par le nouveau barrage, un projet d’aménagement hydro-agricole du périmètre « Ksoub » a été mis en œuvre et bénéficie à 1.207 agriculteurs des communes rurales d’Ida Ougerd, de Sidi El Jazouli et d’Ounagha.

Ce projet, qui porte sur une superficie de 1.300 ha, vise également la valorisation des eaux d’irrigation régularisées par le barrage « Moulay Abderrahmane », l’intensification de la production agricole de près de 125 %, notamment pour les filières des céréales, de l’arboriculture (olivier, grenadier, figuier), du maraîchage et des cultures fourragères, ainsi qu’une amélioration de la valeur ajoutée de la production agricole de 4.400 DH/ha/an à 25.000 DH/ha/an.

Le projet d’aménagement hydro-agricole du périmètre « Ksoub » consiste en la mise en place d’un canal principal d’adduction (12 km), l’aménagement du réseau d’irrigation secondaire et tertiaire (48 km), la réalisation de points collectifs et individuels de prise d’eau et de stations d’épuration, outre le soutien et l’accompagnement technique des agriculteurs.

SM le Roi Mohammed VI a, par la même occasion, procédé au lancement de l’opération de mise en eau du périmètre irrigué « Ksoub » à partir d’une prise d’irrigation sur une parcelle de 6 ha, avant du visiter une unité de filtration des eaux du barrage « Moulay Abderahmane », une borne bloc et une parcelle de terre équipée du système d’irrigation goutte-à-goutte.

Parallèlement à ces projets, un programme de renforcement et de sécurisation de l’alimentation en eau potable de la population urbaine et rurale de la province d’Essaouira est en cours d’achèvement et devra bénéficier à plus de 258.000 personnes à l’horizon 2030.

Ce programme a permis, jusqu’à présent, l’alimentation de quatre communes rurales avoisinantes au barrage « Moulay Abderrahmane », grâce à la réalisation d’une station de traitement des eaux du barrage d’une capacité de 250 l/s et la pose de conduites d’adduction de ses eaux, l’ensemble pour une enveloppe budgétaire globale de 135 MDH.

Des projets sont également en cours, au titre de ce même programme, pour l’approvisionnement de 12 communes à partir de la nappe de Meskala (192 MDH), alors que des projets d’approvisionnement de 8 communes sont en phase d’étude.

À forte valeur ajoutée, ces différents projets hydrauliques, hydro-agricoles et d’eau potable participeront sans nul doute à l’amélioration des revenus de milliers d’agriculteurs, à la promotion de leurs conditions de vie, au développement d’une agriculture performante et solidaire, et à la préservation des ressources hydriques de la région.

Voici l’Essentiel de la convention cadre du Programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation 2020-2027, signée le 13 janvier au Palais Royal à Rabat, lors d’une cérémonie présidée par SM le Roi Mohammed VI: 

– Le programme, qui s’étend sur la période 2020-2027, mobilise des investissements de l’ordre de 115,4 milliards DH ;

– Il sera financé à hauteur de 60 pc par le Budget général de l’État et 39% par les acteurs concernés, particulièrement l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), le reste dans le cadre du partenariat public-privé ;

– Cette convention définit les conditions et modalités d’exécution et de financement de ce programme qui vise la consolidation et la diversification des sources d’approvisionnement en eau potable, l’accompagnement de la demande pour cette ressource vitale, la garantie de la sécurité hydrique et la lutte contre les effets des changements climatiques ;

– Il s’agit de l’amélioration de l’offre hydrique notamment par la construction de barrages (61 MMDH), de la gestion de la demande et la valorisation de l’eau notamment dans le secteur agricole (25,1 MMDH), du renforcement de l’approvisionnement en eau potable en milieu rural (26,9 MMDH), de la réutilisation des eaux usées traitées dans l’irrigation des espaces verts (2,3 MMDH) et de la communication et la sensibilisation en vue de renforcer la conscience liée à l’importance de la préservation des ressources en eau et la rationalisation de son utilisation (50 millions DH) ;

– Le suivi de l’exécution du programme sera assuré par un comité de pilotage présidé par le Chef du gouvernement et composé des ministres de l’Intérieur, de l’Économie, des Finances et de la Réforme de l’administration, de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau, de l’Énergie, des mines et de l’environnement, ainsi que du directeur général de l’Office national de l’Électricité et de l’Eau Potable ;

– Cette opération sera également assurée par une commission technique présidée par le ministre de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau, ainsi que par des commissions régionales présidées par les walis.

Du nouveau dans le projet de pipeline de Sound Energy à Tendrara. La compagnie pétrolière et gazière affirme avoir reçu l’approbation du ministère de l’Énergie, des Mines et de l’Environnement pour l’étude d’impact environnemental (EIE) menée dans le cadre de la construction et de l’exploitation d’un pipeline dans l’Oriental. Si le projet est définitivement approuvé, le pipeline sera connecté au Gazoduc Maghreb Europe et passera par les communes de Matarka (Figuig) et Merija (Jerada).

Après une première réunion tenue le 10 octobre dernier, le Comité national chargé d’examiner l’EIE se réunira à nouveau le 28 janvier prochain.

« Les discussions en cours avec les représentants du ministère de l’Intérieur pour obtenir des droits par le biais d’un contrat de location à long terme pour un corridor de 50 m de large sur toute la longueur de 120 km du pipeline progressent comme prévu », indique ainsi la société.

Sound Energy affirme par ailleurs être en négociations avec l’ONEE pour la signature de la modification du protocole d’accord contraignant signé avec l’Office, afin de prolonger la période de négociations de l’accord de vente de gaz final jusqu’au 31 mars.

La «Shell V-Power Virtual Cup», première compétition nationale de e-racing, a été lancée récemment à l’initiative de Vivo Energy Maroc. Cette compétition se déroule jusqu’au 31 mars 2020 dans une cinquantaine de stations-service Shell réparties sur 8 villes (Casablanca, Rabat, Tanger, Tétouan, Meknès, Fès, Marrakech et Agadir), précise Vivo Energy dans un communiqué, faisant savoir que des tableaux de classement régionaux sont établis pour sélectionner les pilotes ayant réalisé les meilleurs temps. 

Les 96 meilleurs chronos se réuniront, ainsi, à Casablanca en avril prochain pour s’affronter en finale, indique la même source, notant que le vainqueur de la compétition gagnera un voyage pour vivre l’expérience d’un Grand Prix du Championnat du monde de Formule 1 en 2020.
Lors de sa visite en station-service Shell, chaque automobiliste peut participer à la compétition, en prenant place à bord d’un simulateur de F1. Il profite également d’une immersion au cœur du moteur de la voiture, ce qui lui permet de découvrir la performance d’une goutte de Shell V-Power dans le véhicule grâce à un casque de réalité virtuelle.

La «Shell V-Power Virtual Cup» s’inscrit dans une lignée d’innovation, en adéquation avec la stratégie de qualité carburants de Vivo Energy Maroc. La dernière en date porte sur l’introduction de la nouvelle gamme de carburants révolutionnaires Shell en avril dernier.