Suite au contexte sanitaire actuel lié à la pandémie Covid-19, Lydec met en place des dispositions pour limiter ses activités à domicile et assurer la relation avec sa clientèle à distance via les différents canaux de communication, notamment la téléphonie et l’internet.

Ainsi, Lydec recommande à ses clients de limiter au maximum les déplacements en agence, sauf pour les cas où une demande urgente ne pourrait pas être traitée à travers les canaux digitaux mis à leur disposition (dépôt d’un dossier pour une demande de branchement par exemple).

  • Pour les opérations urgentes comme la demande d’un branchement d’eau ou d’électricité : les clients peuvent s’adresser aux agences de leur zone d’habitation, tout en veillant au strict respect des consignes sanitaires. 
  • Pour toutes les autres opérations ou demandes : les clients peuvent aussi continuer à s’adresser aux services de Lydec via les canaux suivants :
  • Le Centre de Relation Clientèle disponible 24h/24 et 7j/7, par téléphone au 0522 31 20 20 ou par e-mail : contact@lydec.co.ma.
  • L’application mobile Lydec 7/24 à partir d’un Smartphone.
  • Par internet sur l’agence Lydec en ligne : https://client.lydec.ma.
  • Par e-banking et m-banking sur les portails et les applications mobiles ou dans les guichets automatiques bancaires des banques partenaires de Lydec.
  • Auprès des espaces service situés à proximité de leurs domiciles (Tasshilat, M-Post et Fawatir), tout en veillant au respect des consignes sanitaires.

Tout en assurant ses clients et les citoyens de leur solidarité, les équipes de Lydec poursuivent leur mobilisation pour délivrer au quotidien les services de distribution d’eau et d’électricité, d’assainissement liquide et d’éclairage public dans les meilleures conditions. 

L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) a annoncé, le 24 mars, la mise en place d’un dispositif visant à « faciliter la vie de ses clients et limiter au strict minimum leurs déplacements » aux agences de l’Office.

Ce dispositif a été mis en place « suite aux récentes évolutions du Coronavirus (Covid-19) et dans le cadre des mesures de prévention et de protection adoptées sur le plan national dans le but de lutter contre la propagation de cette épidémie », a indiqué l’Office dans un communiqué. Ainsi, et durant toute la période de l’état d’urgence sanitaire, l’ONEE ne procédera à aucune interruption des services d’électricité et d’eau potable, précise le communiqué, faisant savoir que les interruptions planifiées pour entretien du réseau, durant cette période, seront limitées aux travaux de maintenance absolument essentiels. « Des équipes d’intervention permanentes veilleront à la continuité de l’alimentation en électricité et eau potable dans les meilleures conditions de qualité de service », a rassuré l’ONEE.

De plus, l’ONEE a pris les mesures nécessaires pour limiter au maximum, durant ladite période, le déplacement de ses équipes au niveau des points de consommation.
Les agences commerciales de l’Office, les points d’encaissement ainsi que les points de recharge des compteurs d’électricité à prépaiement continueront à assurer les activités essentielles.

« Soucieux de la protection de ses clients et ses collaborateurs dans ces circonstances exceptionnelles actuelles, l’Office adopte les mesures barrières requises en matière d’hygiène de sécurité au niveau de ses agences, notamment, l’interdiction de l’accès simultané à un maximum de 5 visiteurs », selon le communiqué.

Néanmoins, l’ONEE privilégie les interactions à distance et invite ses clients à opter pour les services accessibles via son site web.
Rappelant que tout son personnel « reste mobilisé afin d’assurer le maintien du service pour les citoyens », l’ONEE a affirmé qu’il « suivra les directives des autorités et continuera d’agir comme entreprise responsable » pour contribuer à limiter la propagation du virus.
Pour toute demande d’information, l’Office invite ses clients à continuer à contacter le Centre de Relation Clientèle, disponible tous les jours de 7h du matin à 11h du soir, par téléphone au 080 200 77 77 ou par e-mail : crc@onee.ma ou en appelant l’Agence située dans leur zone d’habitation.

« Toute autre communication ou information relayées par d’autres canaux est nulle et non avenue et n’engage en aucun cas l’Office », avertit l’ONEE.

L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), à côté de ses partenaires stratégiques, a pris les mesures appropriées pour un approvisionnement continu du réseau électrique national, dans le contexte de l’état d’urgence sanitaire décrété au Maroc pour freiner la propagation de la pandémie du nouveau coronavirus (Covid-19).
L’Office a, également, procédé au renforcement des dispositions de sécurité sanitaire des employés sur l’ensemble de ses sites, a-t-on assuré au cours d’une visite effectuée au centre de « Dispatching National » de l’ONEE à Casablanca par le ministre de l’Énergie, des Mines et de l’Environnement, Aziz Rabbah.
Mettant en exergue la mission vitale dévolue au centre pour garantir le bon fonctionnement du réseau national, le ministre a souligné que les investissements substantiels consentis par le Royaume depuis des décennies, plus particulièrement au cours des vingt dernières années, en ont fait un modèle distingué non seulement pour le système d’approvisionnement, mais aussi en matière d’électrification rurale.
L’ONEE a aussi développé une expérience de choix dans le domaine de maintenance des installations et de diversification des partenaires pour l’approvisionnement du pays, sans oublier l’expertise accumulée par les délégataires de distribution pour les activités économiques et les citoyens.
De son côté, le directeur général de l’ONEE, Abderrahim El Hafidi, a relevé que son établissement veille à la continuité de ce secteur vital et à la sécurité sanitaire de ses employés, mobilisés tout au long de la journée pour une alimentation optimale du réseau national.
Dès l’annonce de la pandémie du nouveau coronavirus, l’Office a mis au point un plan d’action coordonné et concerté avec ses partenaires stratégiques, en plus de l’installation d’un comité de veille, a-t-il raconté.
L’Office s’est, en outre, mis d’accord avec ses partenaires pour la création d’une task-force pour le suivi de tout ce qui est de nature à affecter la régularité de l’alimentation électrique dans le pays.

Le Maroc dispose d’un stock suffisant de gaz butane ainsi que des moyens logistiques nécessaires pour assurer un approvisionnement régulier du marché national, ont indiqué, dimanche, les ministères de l’Intérieur et de l’Énergie, des mines et de l’environnement.
Dans un communiqué conjoint, les deux départements ont souligné que compte tenu de la situation actuelle particulière et pour éviter des perturbations dans l’approvisionnement du marché national en bonbonnes de gaz et préserver la sécurité des citoyens, tous les intervenants locaux, sociétés de production, de distribution, ainsi que les vendeurs au détail ont été invités à s’en tenir à la règle de ne vendre les bonbonnes de gaz pleines qu’en nombre équivalent à celles vides présentées par le client, et de faire retourner ces dernières à la chaîne de remplissage.
Les deux ministères ont ainsi appelé à se conformer à la règle de ne vendre qu’une seule bouteille par client à chaque étape d’approvisionnement, à garantir les moyens de transport adéquats pour assurer l’approvisionnement continu en ce produit de première nécessité, à prolonger les heures de travail dans les centres de remplissage afin de répondre aux besoins nationaux, ainsi qu’à intensifier les visites des commissions de contrôle pour relever les dépassements et prendre les mesures légales contre les contrevenants, ajoute le communiqué.
A la lumière de la situation exceptionnelle liée à la pandémie du Covid-19, les préoccupations de certains familles et agriculteurs en termes de disponibilité des produits de base sur le marché national, en particulier les bonbonnes de gaz butane, ont engendré un engouement injustifié pour ce produit, ce qui pourrait causer un dysfonctionnement du marché de vente au détail dans certaines régions du Royaume.
Les ministères notent que certains vendeurs fournissent des bonbonnes pleines sans recevoir de bonbonnes vides, des clients recourant à constituer un stock personnel ce qui perturbe la chaîne de production et d’acquisition de ce produit de base, sans oublier les risques de sécurité liés au stockage de bouteilles de gaz par les familles.

Le ministre de l’Energie, des Mines et de l’Environnement, Aziz Rabbah rassure sur la situation de l’approvisionnement du marché national en gaz butane, en cette conjoncture marquée par la pandémie du nouveau coronavirus (Covid-19).
Les stocks existants, les nageurs en rade en attente d’accostage et les commandes d’approvisionnement passées « devront garantir un stock moyen de réserve de 22 jours pour les mois de mars, avril et mai, soit des niveaux au-dessus des besoins de consommation », a souligné le ministre, au cours d’une visite à la Société marocaine de stockage (SOMAS) pour s’enquérir de l’état de l’approvisionnement.
« En plus, la SOMAS, qui gère le stock pour les grands acteurs du secteur, a décidé d’augmenter le stock de réserve pour atteindre 40 jours », a-t-il encore précisé.
Le ministre a souligné que, malgré les fortes demandes exceptionnelles de ces derniers jours, « le marché demeure approvisionné régulièrement grâce aux nouveaux achats confirmés par les opérateurs, ce qui permet non seulement de maintenir les stocks actuels, mais également d’en améliorer les niveaux pour les 3 prochains mois ».
En tant qu’acteur stratégique dans la chaîne logistique d’approvisionnement du pays en gaz butane, SOMAS représente 60% des capacités nationales dans le secteur.
Les activités de réception, de stockage et de livraison se poursuivent dans des conditions normales pour la Société ainsi que l’ensemble des opérateurs gaziers, a-t-on assuré au cours de cette visite.

Les responsables des organes et institutions du secteur de l’énergie, des mines et de l’environnement ont décidé de contribuer au profit du Fonds spécial dédié à la gestion de la pandémie du Covid-19, dans le cadre de la mobilisation nationale pour lutter contre les effets de cette pandémie.
Ainsi, les Présidents, Directeurs généraux de :

  • l’Office Chérifien des Phosphates (OCP), 
  • l’Agence Marocaine du Développement Durable (MASEN), 
  • l’Office National de l’Eau et de l’Electricité (ONEE), 
  • l’Office National des Hydrocarbures et des Mines (ONHYM), 
  • l’Autorité Nationale de Régulation de l’Electricité (ANRE), 
  • la Fédération de l’Énergie, 
  • l’Agence Marocaine de l’Efficacité Énergétique (AMEE), 
  • le Centre National de l’Énergie, des Sciences et des Techniques Nucléaires (CNESTEN), 
  • l’École Nationale Supérieure des Mines de Rabat (ENSMR), 
  • l’Agence Marocaine de Sûreté et de Sécurité Nucléaires et Radiologiques (AMSSNUR), 
  • la Société d’Investissements Énergétiques (SIE), 
  • le Centre de Compétences Changement Climatique du Maroc (4C Maroc), 
  • la Centrale d’Achat et de Développement de la région minière de Tafilalet et de Figuig (CADETAF),
  • l’Institut de Recherche en Énergie Solaire et Énergies Nouvelles (IRESEN),

« s’inscrivent dans la dynamique et la solidarité nationale pour la lutte contre les effets de cette pandémie en contribuant avec un mois de salaire » au profit du « Fonds spécial pour la gestion de la pandémie du Coronavirus », précisent ces organes et institutions dans un communiqué conjoint.
Tout en lançant un appel à solidarité volontaire auprès de leurs collaborateurs, les responsables de ces institutions soulignent l’importance de cette initiative solidaire et citoyenne visant à limiter les effets de la pandémie du coronavirus.

L’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE) vient de renouveler toutes les motocyclettes de son parc en motocyclettes électriques, pour montrer l’exemple en tant qu’institution publique stratégique engagée envers la transition énergétique.

L’AMEE, dont la mission est de contribuer à la mise en œuvre de la politique énergétique nationale, a indiqué avoir choisi de commencer par la transformation du parc moto de son siège à Marrakech, la ville ocre qui « compte le plus grand nombre de déplacements à deux roues dans le Royaume ».

La géographie de cette ville, son climat et son activité touristique favorisent ce mode de déplacement à deux roues, allant de la bicyclette non polluante aux quads et motocyclettes qui impactant fortement la qualité de l’air, a expliqué l’agence.

« Dans le programme voulu au niveau de la ville, accompagné par la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, tous les acteurs publics et privés se doivent aujourd’hui de commencer à switcher les motocyclettes classiques en motocyclettes électriques, qui sont fiables, économiques et respectueuses de l’environnement », a affirmé le directeur général de l’AMEE, M. Saïd Mouline.

En effet, Marrakech bénéficie d’un programme étalé sur plusieurs années en faveur de la mobilité électrique afin d’améliorer la qualité de l’air et d’apporter plus de bénéfices économiques pour les citoyens et le pays.

S’exprimant lors d’une table ronde sur la transition énergétique vers la mobilité durable, organisée par la Coalition des sports électriques, M. Mouline a rappelé que les énergies renouvelables et la transition énergétique sont toujours une priorité nationale et qu’en parallèle de ces grands projets, il est important de ne pas négliger toutes les petites applications.

« Au Maroc, nous avons la chance d’avoir une transition énergétique voulue au plus haut niveau de l’État avec de grands projets renouvelables. Aujourd’hui, 55% de la population mondiale vit en zone urbaine. Ce ratio devrait passer à 68% d’ici 2050. Au Maroc, la population urbaine est passée à 63% en 2019, contre 29% en 1960. Cette transformation démographique génère plusieurs défis dont les transports et leurs impacts sur l’environnement », a-t-il dit lors de cette table ronde, tenue en marge de la cinquième manche de la saison 2020 de la Formule E, qui a eu lieu le weekend dernier à Marrakech.

Pour le DG de l’AMEE, une révolution se prépare pour la mobilité durable et le Royaume est en phase avec ces évolutions, à travers des actions d’accompagnement et de sensibilisation, mais aussi de recherche et de développement.

Créée en vertu de la loi n°39-16, l’AMEE est chargée notamment de concevoir et réaliser des programmes d’efficacité énergétique et de veiller sur les actions de promotion dans ce domaine.

Faisant suite au Plan Maroc Vert, ENGIE accompagne la nouvelle stratégie agricole nationale « Génération Green 2020-2030 » en concluant un contrat, d’une durée de 10 ans, portant sur l’ingénierie, le financement, la réalisation, l’exploitation et la maintenance d’une centrale solaire destinée à alimenter une pompe d’irrigation d’une exploitation agricole d’agrumes à Taroudant.

Les équipes d’ENGIE au Maroc vont installer la première centrale solaire photovoltaïque d’une puissance installée de 71 KW destinée au pompage d’irrigation pour le secteur agricole d’une exploitation d’agrumes d’une trentaine d’hectares située dans la région de Taroudant, réputée pour son stress hydrique.

« Cette solution de pompage solaire que nous finançons pour le compte de nos clients est un nouvel exemple de notre ambition de devenir leur interlocuteur de référence dans les énergies renouvelables, en développant des solutions innovantes et en nous engageant sur une performance énergétique dans la durée », déclare M. Philippe Miquel, Président Directeur Général ENGIE Services Maroc.

Ce projet s’inscrit dans la nouvelle stratégie dédiée à une transition zéro carbone mise en place par ENGIE au Maroc, et vient concrétiser sa volonté d’accompagner ses clients dans leur performance énergétique. Le groupe a récemment fusionné ses trois filiales dédiées aux services à l’énergie en une entité pleinement intégrée pour proposer à ses clients au Maroc, une offre de transition énergétique « As a Service », et pour les accompagner dans une transition énergétique zéro carbone.

Avec son offre solaire dédiée à l’autoproduction, ENGIE permet à ses clients de produire tout ou partie de leurs propres besoins énergétiques en utilisant les surfaces « solarisables » dont ils disposent, d’éviter de porter eux-mêmes l’investissement et de bénéficier d’un prix compétitif de l’électricité sur toute la durée du contrat.

Pour rappel, ENGIE est le plus grand producteur indépendant d’électricité au monde et l’un des principaux acteurs du gaz naturel et des services énergétiques. Le groupe a plus de 50 ans d’expérience sur le continent africain et a la capacité unique d’implémenter des solutions intégrées tout au long de la chaîne de valeur énergétique, de la production d’électricité centralisée aux solutions hors réseau (systèmes solaires domestiques, mini-réseaux) et aux services énergétiques. 

ENGIE Afrique compte presque 4 000 employés, possède une capacité de production d’électricité de 3,15 GW, en exploitation ou en construction, et occupe une position de leader sur le marché décentralisé de l’énergie fournissant de l’énergie propre à plus de 4 millions de personnes par le biais d’installations solaires domestiques et de micro-réseaux locaux.

Une conférence nationale sous le thème « les questions environnementales et sociétales: les défis et les moyens d’une gestion durable »  aura lieu, les 25 et 26 mars à Taza.

Initiée par le laboratoire « Espace, histoire, la dynamique et le développement durable » relevant de la faculté polydisciplinaire de Taza en partenariat avec l’association des étudiants chercheurs en géographie, cette rencontre tend à dresser l’état des lieux de l’environnement au Maroc et à débattre des moyens à même de préserver les ressources naturelles et relever les défis environnementaux pour amorcer un véritable développement durable.

Cette rencontre, qui connait la participation des chercheurs universitaires, des géographes, des experts et des militants associatifs, débattra de plusieurs axes, dont « les défis environnementaux et sociétaux au Maroc », « la gestion des ressources naturelles et la question de la protection des écosystèmes » et « l’environnement urbain et les mutations sociales ».

Les conférenciers plancheront, également, sur d’autres thème dont « les espaces vulnérables et les problématiques de la gestion des risques environnementaux », « l’évaluation de l’impact environnemental et les moyens de traitement des problématiques » et «  les études proactives pour lutter contre les dangers environnementaux ».

Le directeur général de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), M. Abderrahim El Hafidi, a réaffirmé l’engagement du Maroc à partager son expertise avec les pays africains dans le domaine des métiers de l’électricité, et ce dans le cadre de la coopération Sud-Sud.

M. El Hafidi s’exprimait lors d’une réunion avec une importante délégation conduite par le ministre de l’Énergie du Botswana. Cette rencontre s’inscrit dans le programme de la Banque mondiale visant l’accompagnement des gouvernements de l’Afrique du Sud en vue de la généralisation des programmes des énergies renouvelables.

Le directeur général de l’ONEE a, en outre, souligné l’engagement de l’Office à continuer de renforcer les relations de coopération avec le Botswana, conformément à la vision de SM le Roi Mohammed VI visant à faire de l’Afrique une priorité stratégique.

Il a aussi passé en revue les grandes lignes de la stratégie énergétique du Royaume, les projets réalisés dans le secteur de l’électricité et le modèle adopté par le Maroc dans le cadre de la “solidarité exemplaire” entre l’ONEE et l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN) pour le développement et l’intégration des énergies renouvelables dans le système électrique.

M. El Hafidi a évoqué également le programme de généralisation de l’accès à l’électricité en milieu rural “qui a été réalisé en un temps record”, indique la même source, relevant qu’il s’agit d’un modèle que le Botswana peut adopter.

De son côté, le ministre botswanais de l’Énergie a présenté le modèle de son pays en matière d’électricité qui se base principalement sur l’énergie fossile, notant que le Botswana aspire à développer des projets d’énergies renouvelables, notamment l’énergie solaire et son intégration dans le réseau électrique.