Dans le cadre de la mobilisation nationale de lutte contre la pandémie Coronavirus et en réponse au devoir national en ce moment exceptionnel, l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE) annonce sa mobilisation totale pour garantir l’alimentation de tous les citoyens en électricité et en eau potable et le service d’assainissement liquide ainsi que sa contribution au Fonds Spécial dédié à la gestion de la pandémie Coronavirus, créé sur Hautes Instructions Royales.

D’un montant total de 30 millions de dirhams, la contribution de l’ONEE comprend un mois de salaire pour le Directeur Général, 50% pour les directeurs et 10% pour le reste du personnel ainsi que la contribution du Conseil des Œuvres Sociales de l’Office pour un montant de 13 millions de dirhams.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la mobilisation citoyenne et de l’élan de solidarité nationale pour contribuer à la lutte contre les effets de la pandémie sur notre pays.

L’ONEE, à travers toutes ses composantes, réitère son engagement permanent et continue à se mobiliser pour soutenir les mesures nationales mises en œuvre dans le contexte actuel.

L’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN) a annoncé une contribution de 20 MDH au Fonds spécial de solidarité créé sur Hautes Instructions de SM le Roi Mohammed VI.

A cet effort national s’ajoute la contribution des collaborateurs de MASEN qui ont également témoigné de leur engagement et solidarité en répondant à l’appel lancé par l’Agence marocaine pour une contribution individuelle équivalente à un mois de salaire au Fonds spécial anti-Covid-19.

En vue de faire face à l’afflux des projets à haute valeur énergétique au Maroc, ENGIE a procédé au regroupement de ses trois filiales Cofely Maroc, ENGIE Contracting Al-Maghrib et ENGIE Finatech Services au sein des mêmes bâtiments sis au niveau de la zone industrielle à Lissasfa – Route d’El Jadida. 

Désormais, une seule entreprise, dénommée « ENGIE Services Maroc », représentera les activités du groupe sur le territoire national. Cette restructuration permet d’améliorer grandement la synergie entre les trois activités et de donner naissance à un nouveau pôle intégré. ENGIE Services Maroc offrira ainsi des solutions clients liées au Facility Management et à la maintenance multi-technique (Cofely Maroc et ENGIE Contracting Al-Maghrib) et au travaux d’installation tous corps de métiers techniques confondus (ENGIE Finatech Services et ENGIE Contracting Al-Maghrib). 

La nouvelle organisation du groupe permettra ainsi de développer la transition énergétique « As a service », une offre distincte sur le marché de l’énergie articulée autour de solutions intégrées, allant du financement jusqu’à l’installation, la maintenance et l’opération. 

Ces services ciblent en particulier les entreprises et les collectivités locales afin de mieux répondre aux attentes renouvelées du marché. 

Des taux de réduction « importants » des polluants atmosphériques et une amélioration « perceptible » de la qualité de l’air sont enregistrés au Maroc pendant l’état d’urgence sanitaire marqué essentiellement par la réduction ou la limitation du trafic routier et aérien et la revue à la baisse de plusieurs activités industrielles, indique le ministère de l’Énergie, des mines et de l’environnement.

En effet, les premiers résultats d’une évaluation préliminaire de la qualité de l’air qui a été élaborée au niveau de ville de Marrakech et couvrant la période de novembre 2019 jusqu’au 08 avril 2020, ont fait état d’une diminution de 55% pour le dioxyde d’azote (NO2), de 70% pour le monoxyde de carbone (CO) et de 67% pour les particules en suspension, indique le département de l’Environnement dans un communiqué.

A cet égard, et partant du modèle de Marrakech, ajoute la même source, une évaluation détaillée de la qualité de l’air est lancée au niveau de plusieurs villes du Royaume.

Cette évaluation basée sur l’analyse des données des stations de surveillance de la qualité de l’air avant, durant et après l’état d’urgence sanitaire, permettra d’établir une analyse plus fine de la situation de la pollution de l’air, y compris l’état de référence, de tirer des enseignements et de formuler des recommandations pour limiter la pollution atmosphérique post-crise Covid-19.

Le Ministère de l’Energie, des Mines et de l’Environnement a organisé, le 27 avril, un webinaire portant sur le renforcement des capacités nationales en matière de contrôle de qualité et de sécurité des systèmes photovoltaïques, qui a connu la participation de plus de trente responsables et cadres concernés du Ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Economie Verte et Numérique, de l’Institut de Recherche en Energie Solaire et Energies Nouvelles (IRESEN), de l’Agence Marocaine pour l’Efficacité Energétique (AMEE), de l’Agence Marocaine pour l’Energie Durable (MASEN), de l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE), de l’Institut Marocain de Normalisation (IMANOR) et du Laboratoire Public des Essais et des Etudes (LPEE).

Ce projet, initié par le Ministère de l’Energie depuis 2019 dans le cadre de la coopération énergétique maroco-allemande, a pour objectif de renforcer l’infrastructure qualité pour le secteur photovoltaïque, notamment par le développement des compétences en matière d’assurance de qualité et de fiabilité des systèmes photovoltaïques et contribuer ainsi à l’accompagnement des projets solaires programmés et au développement d’un marché nationale du photovoltaïque basé sur des exigences en termes de qualité et performances énergétiques.

Ce projet, prévu d’être financé par un don de 1,3 millions d’euro du Ministère Fédéral de la Coopération Economique et du Développement allemand (BMZ), qui mandaté l’Institut National de Métrologie en Allemagne (PTB) pour sa mise en œuvre, permettra de rehausser davantage les capacités des institutions nationales concernées par la normalisation, la métrologie, les laboratoires d’essai, l’inspection, la certification et l’accréditation dans le secteur photovoltaïque au Maroc.

Ce webinaire, auquel a pris part également la GIZ et le PTB, a permis de présenter aux institutions marocaines présentes les objectifs du projet et de débattre des axes d’interventions et des résultats escomptées, ainsi que les principaux indicateurs à même d’assurer un bon suivi de son déroulement.

A cette occasion, le Ministère de l’Energie, des Mines et de l’Environnement a souligné que ce projet vient à point nommé et permettra de consolider les efforts déjà entrepris pour développer un marché national des systèmes photovoltaïques de qualité. Il a rappelé en particulier la mise en place d’une commission technique nationale chargée de proposer une feuille de route pour la normalisation et la certification des équipements des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, ainsi que la publication, ce mois courant, de l’arrêté conjoint rendant obligatoire dix-neuf normes supplémentaires ciblant, en particulier, les systèmes de pompage solaire photovoltaiques et les chauffe-eau solaires, qui sont appelés à se développer davantage à l’avenir, eu égard à leur maturité technologique et à la baisse de leurs coûts.

Ce projet de coopération, portant également sur des actions de sensibilisation, s’étalera sur trois ans et s’appuie sur une démarche participative pour garantir la convergence et la complémentarité entre les acteurs concernés, pour assurer un développement harmonieux et durable de la filière photovoltaïque au niveau national.

L’offre des produits pétroliers sur le marché national reste stable et suffisante pour couvrir tous les besoins des ménages et des secteurs productifs durant le mois de Ramadan qui connaît une hausse de la consommation du gaz butane, selon le ministère de l’Energie, des mines et de l’environnement.

« Dans le cadre du suivi permanent de la situation de l’approvisionnement du marché national en produits pétroliers, particulièrement avec l’état d’urgence sanitaire décrété par le Maroc en vue d’enrayer la propagation de la pandémie du nouveau coronavirus (covid-19), le ministère de l’Energie, des mines et de l’environnement affirme que l’offre reste stable et suffisante pour couvrir l’ensemble des besoins des ménages et des secteurs productifs durant le mois sacré de Ramadan qui se caractérise par une augmentation de la consommation du Gaz butane ».

Dès le début de cette crise et dans le cadre d’une approche proactive contre toute éventuelle répercussion du covid-19, le ministère a pris une série de mesures en vue d’éviter des perturbations dans l’approvisionnement du marché national en bouteilles de gaz.
A cet effet, il a orienté ses services décentralisés, en coordination avec les autorités publiques, afin d’appeler les différents intervenants locaux, sociétés de production et de distribution et points de vente en détail de ces bouteilles, à respecter ces mesures.
Il s’agit de l’obligation de remettre une bouteille de gaz vide pour en acheter une nouvelle et la vente d’une seule bouteille par client à chaque étape d’approvisionnement.

Il est également question de garantir les moyens de transport adéquats pour assurer l’approvisionnement continu de ce produit, de prolonger les heures de travail dans les centres de remplissage afin de répondre aux besoins nationaux, ainsi que d’intensifier les visites des commissions de contrôle pour relever les dépassements et prendre les mesures légales contre les contrevenants.
L’application immédiate de ces mesures à l’échelle régionale a permis une stabilité de la demande et l’approvisionnement en gaz butane, relève le ministère, rappelant la décision de créer un comité de veille pour suivre l’approvisionnement du marché nationale en produits énergétiques.

Présidé par le ministre de l’Energie, des mines et de l’environnement, avec la participation de l’ensemble des intervenants des secteurs public et privé, ce comité tient des réunions périodiques afin de suivre l’opération de ravitaillement du marché national en produits énergétiques, de l’importation jusqu’à la distribution, ainsi que de prendre les mesures adéquates.

Dans ce sillage, en dépit de la demande exceptionnelle, particulièrement depuis la déclaration de l’état d’urgence sanitaire et l’avènement du mois de Ramadan, l’approvisionnement du marché reste régulier à la faveur des nouvelles opérations de acquisitions confirmées par les acteurs du secteur. Ces opérations permettent de préserver les stocks actuels et de les améliorer pour les trois prochains mois.

De ce fait, les importations programmées et confirmées sont suffisantes pour couvrir les besoins nationaux en gaz butane avec la préservation d’un stock de réserve permanent oscillant entre 34 jours. Ces niveaux dépassent les besoins de consommation de cette matière au niveau national qui atteint environ 7.000 tonnes/jour.

Malgré la conjoncture actuelle, les acteurs du secteur poursuivent les activités de réception, de stockage et de distribution et ce, conformément à la stratégie nationale de lutte contre la pandémie du nouveau coronavirus (covid-19) à travers l’application de l’ensemble des mesures de prévention et de sécurité, outre l’activation du plan de continuité des travaux pour garantir l’approvisionnement du marché national dans de meilleures conditions.

Repli

Concernant les autres produits pétroliers, la demande des carburants a connu une baisse continue depuis la déclaration de l’état d’urgence sanitaire qui a engendré une réduction de la circulation. Ce repli s’est accompagné d’une diminution des prix de vente aux consommateurs, suite essentiellement à la chute inédite des prix de pétrole sur le marché mondial.

Les stocks en produits pétroliers ont ainsi connu une nette hausse en raison de la baisse de la demande pour atteindre une couverture de 34 jours de consommation nationale pour le diesel et 45 jours pour l’essence, précise le communiqué, ajoutant que les sociétés du secteur ont préservé le même rythme d’importation afin de renforcer le stock de réserve et le garder à son niveau habituel.

Dans ce sens, le ministère fait part de la mobilisation globale et permanente de ses services et des acteurs du secteur en vue de veiller à garantir l’approvisionnement régulier du marché national en différents dérivés pétroliers et gaziers et ce, en parfaite coordination avec l’ensemble des intervenants, à faire face aux infractions susceptibles de perturber cette opération, à suivre la situation de l’approvisionnement du marché et à répondre, dans l’immédiat, aux réclamations des citoyens.

Le ministre de l’Energie, des Mines et de l’Environnement, Aziz Rabbah s’est entretenu, début mai, avec le ministre de l’Investissement britannique, Gerry Grimstone, dans le cadre du renforcement du partenariat dans les domaines de l’énergie, des mines et de l’environnement entre le Maroc et le Royaume-Uni.

Lors de ces entretiens, tenus par vidéo-conférence, en présence de l’ambassadeur du Royaume-Uni au Maroc, Thomas Reilly, MM. Rabbah et Grimstone ont salué l’excellence des relations bilatérales entre le Maroc et le Royaume-Uni et évoqué les opportunités d’investissements britanniques au Maroc et les perspectives de la coopération bilatérale, en particulier dans les domaines des énergies renouvelables, l’hydrogène, le gaz naturel et la recherche et innovation.

Les deux responsables ont évoqué d’autres sujets d’intérêt commun, tels que l’ouverture du marché électrique entre le Maroc et le Royaume-Uni par des liens solaires Offshore et Onshore et la coopération bilatérale sous forme pyramidale (la coopération sectorielle, la coopération régionale et la coopération entre les secteurs privés des deux pays).

Les entretiens ont, également, soulevé le rôle important que le Royaume-Uni, en tant qu’hôte de la prochaine Conférence des parties (COP 26) sur les changements climatiques, peut jouer dans la transition vers une énergie propre au Maroc, en suscitant les investissements dans les énergies renouvelables et ses applications.

Les deux responsables ont, aussi, abordé le sommet afro-britannique sur l’investissement, qui vise à conclure des partenariats économiques avec les pays africains, afin d’augmenter les investissements britanniques en Afrique, ainsi que le rôle du Maroc, en tant que pôle régional de stabilité et de progrès économique, dans le raffermissement des liens entre l’Afrique et le Royaume-Uni après le Brexit.

Au terme de cette réunion, MM. Rabbah et Grimstone ont convenu d’échanger des visites après la stabilisation de la situation sanitaire provoquée par la pandémie COVID-19, et d’instituer un comité mixte pour établir un nouveau cadre de partenariat et une feuille de route pour sa mise en œuvre.

Soucieuse de la santé et de la sécurité de ses clients et collaborateurs, Redal, société en charge de la gestion déléguée des services de la distribution d’électricité, d’eau potable et d’assainissement liquide à Rabat et les villes avoisinantes, a décidé de renforcer la digitalisation de son mode de fonctionnement, pour ainsi les accompagner en temps de pandémie de nouveau Coronavirus (Covid-19).

Pour assurer la continuité et la qualité de son service, Redal, filiale du groupe Veolia Maroc, a ventilé son processus de digitalisation en trois phases essentielles, que sont la lecture des compteurs, la distribution des factures et le paiement de ces dernières.

Concernant la lecture des compteurs, la Redal propose actuellement à ses clients d’estimer leur index sur la base de leur consommation moyenne habituelle, avec une régularisation basée sur leur consommation réelle, une fois la fin du confinement annoncée.

Aussi, Redal offre la possibilité à ses clients d’effectuer eux-mêmes la relève des index de leurs compteurs et de les communiquer directement en appelant le centre service client “Allo Redal au 05 37 20 20 80”, ou en passant par leur espace client en ligne “sur www.redal.ma”.

Les clients seront par la suite notifiés de leur situation par SMS ou e-mail et pourront retrouver leur facture en accédant à leur espace client en ligne ou en appelant le centre service client, disponible du lundi au samedi de 08h à 20h.

Les paiements, quant à eux, pourront être réglés à distance et en ligne sur www.redal.ma, mais également à travers les applications mobiles et sites des partenaires, les guichets automatiques des banques partenaires et le réseau Jiwar.

Toutefois, « les agences Redal sont ouvertes », « mais uniquement pour des nécessités », a assuré M. Mohamed Taki, directeur de Communication de Veolia Maroc.

Soulignant la nécessité de maintenir la continuité des services essentiels, notamment l’eau, l’électricité et les travaux d’assainissement, M. Taki a affirmé qu’il y a un effectif “prêt à intervenir”.

Car “il faut travailler malgré les contraintes”, a-t-il ajouté à ce propos, expliquant que jusqu’à présent, les personnes qui ont pour tâche d’analyser les eaux dans les laboratoires demeurent mobilisées, tout comme le personnel qui intervient au niveau des chantiers et sur le terrain pour résoudre les problèmes d’eau, de câbles et d’assainissement.

Par ailleurs, a indiqué M. Taki, les mêmes dispositions prises par Redal sont également appliquées par Amendis, autre filiale du groupe qui couvre, pour sa part, les villes de Tanger, Tétouan et environs.

 

L’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles est impliqué dans le développement d’une solution d’assistance respiratoire sous forme de ventilateur mécanique intelligent.

L’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN) a décidé de s’engager pour une cause nationale érigée en priorité au plus haut sommet de l’Etat. Il s’agit de la lutte contre la pandémie du coronavirus qui a des conséquences néfastes à la fois sur les plans sanitaire, économique et social.

L’institut public dirigé par M. Badr Ikken s’est résolument associé à des chercheurs marocains et leurs homologues issus du Portugal et du Brésil dans la perspective de développer une solution d’assistance respiratoire sous forme de ventilateur mécanique intelligent.

Concrètement, l’équipe multidisciplinaire s’est formée en consortium international (Maroc, Portugal et Brésil) impliquant des centres de recherche et des start-up. L’objectif de cette initiative allant dans le sens du renforcement de la coopération entre les trois pays partenaires étant de développer un respirateur mécanique intelligent dont le premier prototype a été produit et amélioré grâce à l’implication des professionnels de la santé.

«Baptisé iVENT-V1, ce respirateur mécanique non-invasif a la particularité d’avoir une régulation de débit d’air et peut s’adapter au cycle respiratoire de chaque patient et contrôler le temps d’inspiration et d’expiration. Ce système a été conçu de manière à permettre une production locale, abordable et rapide à mettre en place», précise-t-on du côté de l’IRESEN.

Dans le même ordre d’idées, soulignons que le produit de conception internationale et de fabrication et production locale (Maroc) promet de répondre à un besoin accru en solutions d’assistance respiratoire dans ce contexte pandémique mondial.

L’IRESEN fait également savoir que l’esprit de ce partenariat est de développer une solution Open Source dont les plans et les documents d’ingénierie et de production seront accessibles. L’objectif est de faire profiter un maximum de patients à l’échelle mondiale de ce respirateur.

Au final, précisons qu’une première pré-série sera produite au cours des prochains jours et sera testée par des professionnels de la santé au Maroc, au Portugal et au Brésil afin de préparer la certification aux normes internationales. 

Ola Energy Maroc se mobilise également aux côtés des Marocains et participe à cette dynamique fédératrice que connait le pays.

En plus de sa contribution au fonds spécial de solidarité, mis en place sur instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et destiné à la gestion de la pandémie de coronavirus, la société fournira des subventions en carburants au profit des autorités publiques ainsi que l’ensemble des parties prenantes pour les aider dans leurs efforts de lutte contre la pandémie.

Elle s’engage également à assurer l’approvisionnement de ses stations de services et ses clients en matière de carburants et de lubrifiants, tout en veillant à la préservation de la santé de ses équipes et partenaires, à travers la mise en place des règles sanitaires et des mesures d’hygiène strictes pour le personnel travaillant dans les stations des services et à l’usine des lubrifiants. Pour le personnel du siège, la direction de la société a mis en place un dispositif de télétravail.

«En cette période exceptionnelle et difficile, OLA Energy Maroc soutient et accompagne ses prestataires et partenaires, pour assurer la continuité de leurs activités», souligne l’entreprise, qui rappelle que cette contribution traduit son engagement à apporter son soutien aux autorités marocaines et à toutes les composantes qui œuvrent à faire face à cette crise sanitaire que traverse le Maroc.