Le Directeur Général de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), présidera, à partir de 2021, le Conseil d’Administration du Global Sustainable Electricity Partnership (GSEP-Partenariat Mondial pour l’Électricité Durable), où siègent les plus grands électriciens du monde. Après avoir été membre observateur en 2018, puis admis à l’unanimité en juin 2019 en tant que membre avec droit de vote au Conseil d’Administration du GSEP, l’ONEE va assurer la présidence de cette prestigieuse organisation.

Le GSEP est une alliance de compagnies d’électricité leaders dans le monde, ayant une vision commune et qui se sont données pour principale mission de promouvoir le développement énergétique durable par la généralisation de l’accès à l’électricité.
L’ONEE, poursuit le communiqué, est le seul membre d’Afrique et du monde arabe à y siéger aux côtés des plus grandes entreprises d’électricité au monde comme EDF-France, ENEL-Italie, AEP-USA, SGCC-Chine, Kansai Electric Power –Japon, Hydro-Québec-Canada ou encore Rushydro- Russie.

« En assurant la fonction de Président de cette alliance, le Directeur Général de l’ONEE, sera amené à promouvoir les échanges de réflexions et d’informations stratégiques ayant un impact sur les transformations profondes attendues du secteur de l’énergie électrique, notamment, les aspects liés à la décarbonisation, la digitalisation, la décentralisation et la déréglementation ». La Présidence du GSEP par le Royaume du Maroc « serait également l’occasion pour partager avec les grandes entreprises d’électricité au monde les spécificités des problématiques énergétiques en Afrique et les défis à relever pour généraliser l’accès à l’électricité en Afrique », a relevé un communiqué de l’ONEE.

Le GSEP sera, pour la première fois, dirigé par une présidence africaine, permettant ainsi au Maroc de mobiliser un savoir-faire de très haut niveau au profit de l’Afrique.

L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) a annoncé qu’après la reprise de la lecture des compteurs à partir du 1er juin courant, toutes les factures émises sur la base d’une estimation seront révisées immédiatement après une première lecture effective des index des compteurs sans qu’il en résulte une accumulation de la consommation. 

L’ONEE indique qu’en ce qui concerne la demande d’informations ou en cas de réclamation en lien avec les éléments du comptage de la facture, ses clients sont priés de contacter le Centre de Relation Clientèle (CRC), d’appeler directement l’agence de leur quartier résidentiel ou de recourir à l’espace client via le site électronique de l’Office. 

Les services de l’Office effectueront, sans retard, l’étude et le traitement des réclamations reçues avec la possibilité d’accorder des facilités sous forme d’une prolongation des délais de paiement aux clients qui le souhaitent.
Et rappeler que l’Office avait procédé, durant la période de suspension de lecture des compteurs dans le cadre de la lutte contre la propagation de la pandémie du Covid-19, à des estimations des indicateurs de consommation pour ses clients sur la base de la moyenne de consommation réelle enregistrée avant la période du confinement sanitaire. 

L’ONEE a mobilisé toutes ses ressources humaines et techniques et renforcé les moyens d’interaction à distance via le CRC et le réseau internet, et ce afin de garantir un service de qualité à ses clients et de les écouter en permanence, notamment en période d’urgence sanitaire et de confinement sanitaire.

Lydec, opérateur d’eau et d’électricité dans le Grand Casablanca, a exprimé sa disposition à accorder, « au cas par cas et à titre exceptionnel », des facilités de paiement à ses clients, dans le contexte de la crise engendrée par la pandémie du nouveau coronavirus (Covid-19). « Consciente que certains clients sont impactés par ce contexte difficile, Lydec reste solidaire et pourra accorder, au cas par cas et à titre exceptionnel, à ceux qui le souhaiteraient des facilités de paiement », souligne Lydec.

Pour ce faire, la demande doit être adressée via le centre de relation-clients, par téléphone (0522 31 20 20), par mail (contact@lydec.co.ma) et via l’application mobile Lydec et l’agence Lydec en ligne (https://client.lydec.ma) ou en se rendant à l’agence commerciale la plus proche, tout en veillant au strict respect des consignes sanitaires.

A partir du 1er juin 2020, Lydec a repris l’activité de lecture des index des compteurs pour déterminer les consommations réelles d’eau et d’électricité des clients, suspendue suite à la déclaration de l’état d’urgence sanitaire.

« En conséquence, les factures précédentes, qui ont été établies sur la base d’une estimation des consommations en raison du confinement sanitaire, sont régularisées dans les factures des clients de juin sur la base de leurs consommations réelles ». En cas de non-réception de leurs factures, les clients peuvent se rendre à leur agence habituelle, à consulter le site internet ou l’application mobile Lydec 7/24, ou, le cas échéant, se rendre à l’un des « Espaces Services » le plus proche.

Mohammed Raihani a annoncé son départ de la Présidence du conseil d’administration de la British Chamber of Commerce for Morocco (BRITCHAM). Cette décision a été actée lors de la réunion du conseil d’administration tenue lundi 15 juin 2020. Après dix ans à la tête de cette institution, Mohammed Raihani a décidé pour des raisons personnelles de mettre fin à ses fonctions. 

« Je suis très honoré d’avoir servi le Royaume du Maroc et le Royaume-Uni et très heureux d’avoir accompagné l’essor de la chambre en tant que Président du conseil d’administration. Nous avons accompli de nombreuses réalisations et relevé de nombreux défis. Je remercie et félicite l’ensemble des membres et collaborateurs de la chambre pour le chemin parcouru », a déclaré Mohammed Raihani.

« Nous tenons à exprimer notre gratitude à Mohammed Raihani pour tout ce qu’il a su proposer et mettre en œuvre pour la  BRITCHAM et de ce fait, le travail formidable qu’il a accompli pour les relations entre nos deux pays », a déclaré son Excellence Thomas Reilly, Ambassadeur Britannique au Maroc. 

Vivo Energy Maroc est le premier réseau pétrolier acceptant le paiement mobile dans ses stations-service Shell. Une mesure qui répond à la fois à l’enjeu de santé et de sécurité de ses clients en période de coronavirus et de manière générale à la volonté de l’entreprise d’améliorer l’expérience client en offrant plus de rapidité et de convivialité.

La crise sanitaire actuelle accentue le recours à des moyens de paiement « Cashless » (sans espèces) afin de réduire les risques de contamination par le Covid-19. Vivo Energy Maroc, soucieuse d’offrir à ses clients un moyen de paiement sûr et rapide, a mis en place une alternative de paiement dite « Contactless » (sans contact). Cette solution couvre l’ensemble du réseau des stations-service Shell au Maroc. Le déploiement de ce dispositif s’est fait sur une période de deux semaines, depuis le 15 juin au niveau de toutes les stations-service Shell de la région de Casablanca. Le déploiement sur le reste des régions du Royaume suivra au début du mois de juillet.

Le réseau de stations-service Shell sera le premier au Maroc à être équipé de Terminaux de Paiement électronique (TPE) Multi-applicatifs de dernière génération qui accepteront le paiement de tous les clients détenteurs d’un M-Wallet (porte-monnaie mobile), quel que soit son émetteur. Ils pourront effectuer des paiements mobiles dans les stations-service Shell pour tout achat de produit ou de service à la pompe ou en boutique. Ces TPE accepteront tous types de moyens de paiements disponibles sur le marché : Carte bancaire avec & sans contact, Mobile NFC (Near Field Communication) et QR code dynamique. De plus, à travers ces mêmes TPE les M-Wallet étrangers seront également acceptés, à savoir : Ali Pay, Google Pay, Apple Pay & Samsung Pay.

Cette solution innovante a été développée avec le Centre Monétique Interbancaire (CMI), partenaire dans le domaine du Paiement Électronique de Vivo Energy Maroc et principal pourvoyeur de TPE dans le royaume. CMI détient également l’exclusivité de paiement via Mobile NFC, technologie que Vivo Energy Maroc propose dans son réseau Shell permettant à un Smartphone disposant de la fonctionnalité NFC de payer via un TPE sans contact.

Le portail européen « Politico » a souligné le potentiel du Maroc pour approvisionner l’Europe en hydrogène vert, en tant que source d’énergie renouvelable d’avenir pour le Vieux Continent.

Ce potentiel est confirmé par la signature récemment d’un accord entre l’Allemagne et le Royaume pour mettre en place une usine pilote de production d’hydrogène propre dans le but d’atténuer 100.000 tonnes de CO2, a relevé le site d’information européen dans un article faisant partie du rapport spécial « Le Monde en 2050 », mettant en avant l’intérêt croissant de l’Europe pour l’hydrogène vert en tant que pilier de la transition énergétique.

Le site souligne à cet égard que l’accord signé avec le Maroc s’inscrit dans le cadre d’une stratégie plus large de l’hydrogène en Allemagne qui vise à investir 9 milliards d’euros pour stimuler la production de carburant propre, dont 2 milliards d’euros seront utilisés pour augmenter la production étrangère, y compris au Maroc. Cette stratégie tend à améliorer les conditions-cadres de production et d’utilisation de l’hydrogène, à mettre en place les structures d’approvisionnement nécessaires et à faire avancer la recherche scientifique et les innovations.

Le portail européen note que l’initiative allemande n’est pas le seul gros investissement dans les énergies renouvelables reliant le Maroc et l’UE, faisant référence en particulier au méga projet Noor Ouarzazate, « la plus grande centrale solaire concentrée au monde ».
« Politico » fait remarquer, en outre, que le Maroc est « le seul pays d’Afrique du Nord qui dispose d’un câble d’alimentation le reliant au réseau européen ».

Par ailleurs, le potentiel du Maroc pour la production de l’hydrogène est conforté par son positionnement en Afrique. Le site cite dans ce sens la déclaration du ministre allemand du Développement, Gerd Müller, qui a affirmé, à l’occasion de la signature de l’accord la semaine dernière, que « les conditions de production d’hydrogène en Afrique sont idéales ».

Pour le média européen, si l’Europe tire actuellement une grande partie de son énergie de l’autre côté de la Méditerranée, cela pourrait ne pas changer dans un monde climatiquement neutre. « Plus nous pouvons avoir une double utilisation des infrastructures, mieux c’est – aussi pour rendre la transition vers l’hydrogène vert abordable à l’avenir », avait assuré le chef de la Commission en charge du plan vert européen « Green Deal », Frans Timmermans, rapporte le site.

Le Maroc, à travers la Mission permanente du Royaume à Genève, a été distingué par le Programme des Nations unies pour l’Environnement (PNUE) et la Suisse, dans le cadre de initiative « Greening the Permanent Missions in Geneva (verdissement des missions permanentes) ». La Mission du Maroc, qui avait lancé le projet de la “Mission verte et durable” depuis décembre 2019, figure sur une liste restreinte de cinq représentations diplomatiques qui ont été félicitées pour leurs actions visant à réduire leur empreinte écologique dans le cadre de l’initiative « Greening the Permanent Missions in Geneva », lancée par la plateforme Geneva Environment Network (GEN).

Il s’agit des missions, outre le Maroc, des États Unis, de la France, de la Suisse, et du Royaume Uni. Le GEN (Réseau environnement de Genève) est un partenariat coopératif de plus de 100 organisations environnementales et du développement durable basées à la Maison internationale de l’environnement à Genève et dans la région. Son Secrétariat, soutenu par l’Office Fédéral de l’Environnement, est administré par le PNUE.

« Le Maroc a été le premier des pays du Maghreb à accueillir la Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques. La Mission a développé le concept «Mission verte et durable», qui s’inscrit dans la politique environnementale continue du Maroc, et pourrait à terme, déboucher sur un projet et un objectif commun à toutes les ambassades du pays », précise un communiqué publié sur le site de GEN.

Afin d’encourager un comportement responsable au bureau, un guide des bonnes pratiques a été élaboré pour proposer des actions à entreprendre autour de quatre piliers (eau, électricité, déchets, mobilité), ajoute la même source.

Dans le cadre de ce projet, la Mission du Maroc auprès de l’Office des Nations unies et des autres Organisations Internationales à Genève a été soumises à un “Diagnostic environnemental”. Il s’agit d’une évaluation des actions de la Mission en termes de consommation d’électricité, d’énergie et d’eau, de la gestion du tri des déchets dans l’enceinte des locaux, des modes de transport et de sensibilisation sur les enjeux environnementaux. Le Maroc est le seul pays africain, arabe et pays en développement ayant lancé le projet de promouvoir une Mission plus écologique. Créé en 1999, le GEN organise régulièrement des événements et sensibilise aux problématiques environnementales.

Le ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Économie Verte et Numérique a lancé un appel à projets verts Ecostart, en partenariat avec l’Agence de Coopération Internationale allemande (GIZ) et le soutien de l’Union européenne, portant sur l’accompagnement des entrepreneurs spécialisés dans l’économie verte.

S’inscrivant dans le cadre du programme Taahil Al Mokawalat TAM III, cet appel à projets est initié en partenariat avec l’Agence GIZ et le programme Maroc-Union européenne (UE) d’appui à la compétitivité et à la croissance verte (PACC). L’initiative Ecostart, mise en œuvre par l’Agence Maroc PME et l’Agence Marocaine pour l’Efficacité énergétique (AMEE), a pour objectif d’offrir un accompagnement entrepreneurial d’une durée de 3 mois à 50 entrepreneurs en phase d’amorçage et spécialisés dans l’économie verte.

Cet appel à projets s’adresse principalement aux autoentrepreneurs, microentreprises, startups et chercheurs qui opèrent dans l’efficacité énergétique, les énergies renouvelables, la gestion et valorisation des déchets, l’eau et l’assainissement liquide, le transport et l’écomobilité, les solutions digitales, les processus de transformation agricole durable, les éco-solutions et les services annexes à une industrie verte contribuant à la gestion des crises sanitaires comme celle du COVID19.

A l’issue de cet accompagnement et suite à une compétition finale, 10 lauréats bénéficieront d’une contribution financière pour l’acquisition d’équipements, de matériels et de solutions digitales. Les lauréats auront accès à un réseau d’incubateurs et d’accélérateurs, comme le Green Business Incubator du Cluster Solaire, partenaire technique d’Ecostart, de financiers et d’experts ainsi qu’à une visibilité nationale et internationale.

Les candidatures doivent être déposées en format électronique au plus tard le 07 juillet 2020 à travers le site électronique « www.ecostart.business ».

Le projet TAM III, mis en œuvre par la coopération allemande (GIZ) pour le compte du ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ), en partenariat avec le ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Économie Verte et Numérique (MICEVN), et d’autres partenaires publics et privés, se donne comme objectif de renforcer et d’améliorer les services d’accompagnement publics et privés pour les TPME marocaines.

Le Programme d’Appui à la Compétitivité et à la Croissance verte, financé par l’Union européenne (2016- 2022/ 105M€) apporte son soutien budgétaire et technique du Maroc, dans la mise en œuvre de stratégies et de programmes sectoriels favorables à l’industrie, l’entrepreneuriat, aux start-ups, à l’inclusion financière, à la facilitation des échanges et à l’économie verte.

Le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah a souligné, lundi à Rabat, que le paiement des factures dues pendant la période de confinement au niveau de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) est rééchelonné.

Répondant à une question centrale à la Chambre des représentants relative au « plan du ministère pour contrer les répercussions de la pandémie du nouveau coronavirus, à la lumière du déconfinement progressif », le ministre a indiqué que quelques 11 millions de factures seront rééchelonnées et des facilités de paiement accordées, assurant que l’ONEE s’engage à ne pas couper l’électricité.

En ce qui concerne les mesures préventives pour faire face à la pandémie, M. Rabbah a mis en exergue la mise en place d’un comité de veille pour le suivi du processus d’approvisionnement en électricité, des stocks de combustibles alloués à la production électrique et de la continuité de l’approvisionnement dans les différentes régions du Royaume.

Ces mesures concernent, également, la fixation de délais supplémentaires pour la lecture des compteurs et la distribution des factures, a indiqué M. Rabbah, ajoutant que les consommations pendant la période de confinement feront l’objet d’un réexamen. Les équipes de maintenance de l’ONEE resteront mobilisées, notamment dans les zones reculées, a-t-il poursuivi.

Concernant les hydrocarbures et le gaz, le responsable gouvernemental a affirmé qu’il n’y avait pas le moindre déséquilibre dans ce domaine, grâce notamment à la coordination entre le ministère de l’Intérieur, de l’Économie, des Finances et de la Réforme de l’Administration, de l’Industrie, du Commerce, de l’Économie verte et numérique, des walis et gouverneurs et du secteur privé.

Abordant des répercussions de la pandémie sur le secteur des hydrocarbures, le ministre a relevé qu’une baisse de 70% des ventes a été remarquée dans les stations-services, ajoutant que certaines ont été contraintes d’arrêter leur activité compte tenu de l’absence de voyageur en la période de confinement.

Les moyens de renforcer le principe de préférence nationale en matière d’opportunités d’investissement dans les secteurs des mines et de l’énergie ont été au centre d’une réunion tenue récemment à distance. Cette réunion présidée par le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, M. Aziz Rabbah a été marquée par la présence de plus de 40 participants dont des représentants d’établissements publics de l’énergie et des mines placés sous la tutelle du ministère de l’Énergie, des mines et de l’environnement, ainsi que des représentants du ministère de l’Économie, des finances et de la réforme de l’administration, du ministère de l’Industrie et du commerce, de l’économie verte et numérique, du ministère de l’Équipement, du transport, de la logistique et de l’eau, en plus du secteur privé représenté par la Confédération générale des entreprises du Maroc, la fédération de l’énergie et la fédération de l’industrie métallurgique.

A cette occasion, M. Rabbah a mis en avant l’importance des projets d’investissement des secteurs de l’énergie et des mines, soulignant la nécessité de mobiliser tous les moyens disponibles pour permettre aux entreprises marocaines de bénéficier de ces opportunités d’investissement, particulièrement, en appliquant le principe de la préférence nationale, en tant que mécanisme important pour soutenir l’entreprise marocaine dans les circonstances actuelles afin de surmonter les répercussions économiques et sociales de la pandémie du coronavirus.

Au cours de cette rencontre, il a été procédé à la présentation du cadre organisationnel du principe de préférence nationale, ainsi que des mesures restantes adoptées dans les secteurs de l’énergie et des mines, qui contribuent à promouvoir la compétitivité des entreprises nationales et à l’inclusion d’un pourcentage d’intégration industrielle dans les affaires liées aux projets d’énergie renouvelable. Le ministre a, en outre, salué la grande expérience accumulée par certaines entreprises nationales en matière de l’énergie et des mines, appelant dans ce contexte, à former un comité restreint permanent composé des secteurs public et privé, pour déterminer, dans les plus brefs délais, les meilleures pratiques et proposer des recommandations liées aux réformes réglementaires afin de permettre aux entreprises marocaines de bénéficier davantage des opportunités d’investissement disponibles dans les secteurs de l’énergie et des mines.