Dans le cadre de l’action commune régionale «10 jours pour la Méditerranée », qui s’est déroulé durant le mois de juin  dans 10 pays de la Méditerranée, le Centre des Jeunes Marocains pour l’Énergie Durable (CJMED) vient de lancer son site web officiel www.cjmed.org. Selon Rachid Ennassiri, le secrétaire général du centre, « le site web du centre se veut comme un portail de promotion et renforcement du rôle des jeunes et citoyens marocains dans l’accélération de la transition énergétique du Royaume, il permettra de partager les expériences et bonnes pratiques des jeunes entrepreneurs et les acteurs associatifs qui œuvrent dans le domaine de plaidoyer pour l’énergie renouvelable, il sera également un outil ressource des recommandations des jeunes et acteurs de la société civile pour être davantage impliqués dans le domaine de l’accélération de la transition énergétique au Maroc ».

Parmi les rubriques qui figurent sur le site du CJMED, une base de données des jeunes experts et auto-entrepreneurs « Sun-Cop » en énergies renouvelables et efficacité énergétique qui est constituée afin de répondre aux besoins techniques des différents acteurs. Cette base de données des jeunes experts sera structurée et mise à disposition publiquement sur le site du CJMED. Pour soumettre une candidature et être membre dans ce groupement des auto-entrepreneurs, on demande à consulter le site www.cjmed.org, rubrique « Projets, Sun-Cop » pour remplir le formulaire mis à disposition. A rappeler que le Centre des Jeunes Marocains pour l’Énergie Durable (CJMED) est une plateforme de dialogue et de renforcement des capacités des jeunes en matière des énergies renouvelables et efficacité énergétique ouvert sur son environnement local, national et international.

Lydec a procédé à la réalisation d’une émission obligataire de 500 MDH par placement privé auprès d’investisseurs qualifiés. L’opération est structurée en une tranche unique à taux fixe, remboursable par amortissement linéaire sur 5 ans. L’objectif de cette émission est de permettre à Lydec de faire face aux différents besoins de trésorerie et d’investissement, notamment dans un contexte fortement impacté par la crise sanitaire relative à la pandémie Covid-19.

La plage de Bouznika a hissé mardi le Pavillon Bleu, un écolabel obtenu pour la 14e année consécutive depuis 2007 grâce à l’implication citoyenne de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) en étroite collaboration avec la commune de Bouznika.

Dans une déclaration, Mourad El Khalfani, chef de la division de la communication à l’ONEE a indiqué que la distinction de cette station balnéaire pour la 14e année consécutive vient récompenser les efforts déployés par l’Office et ses partenaires afin de fournir un espace approprié aux estivants en aménageant la plage et en veillant à sa propreté.

“Durant cette année marquée par la propagation de la pandémie du Coronavirus, nous avons installé des pancartes à la plage de Bouznika dans l’objectif de sensibiliser les estivants et les inciter à respecter les mesures de précaution et de prévention préconisées telles que la distanciation sociale et le port de masque”, a-t-il expliqué.

M. El Khalfani a, par ailleurs, souligné que l’ONEE est constamment mobilisé pour garantir l’approvisionnement en eau potable et en électricité dans tous les coins du Royaume.
Pour garantir les critères d’attribution du label “Pavillon Bleu” et contribuer au bien-être des estivants durant la période d’estivage, l’ONEE a réalisé un important programme au niveau de la plage de Bouznika. L’Office assure le nettoyage quotidien de la plage et de son environnement, le criblage du sable, la fourniture des poubelles et des sachets en matériaux recyclés placés tout le long de la plage ainsi que le curage de l’Oued Saikouk dans le cadre de la protection de l’environnement.

En ce qui concerne la signalétique et compte tenu de la crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19, il a été procédé à la réalisation de visuels de sensibilisation aux mesures préventives et aux gestes barrières au niveau de la plage conformément aux recommandations de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement relatives à la gestion des risques sanitaires. L’engagement de l’ONEE dans la campagne nationale “Plages propres” s’inscrit dans le cadre de la stratégie de l’Office visant la préservation de l’environnement et la contribution au développement durable du Maroc.

Le Pavillon Bleu a été hissé sur la plage de Bouznika lors d’une cérémonie marquée par la présence des représentants de l’ONEE, du gouverneur de la province de Benslimane, des représentants de la commune et de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement et des représentants de la société civile.

Il s’agit d’une référence internationale dans le domaine de la qualité des sites balnéaires, délivrée par la Fondation européenne pour l’éducation à l’environnement (FEE) pour distinguer les sites balnéaires qui répondent aux critères de qualité et de sécurité.

La reprise se confirme pour Solaire Expo Maroc. La 10e édition de ce rendez-vous de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique au Maroc, en Afrique et à l’international aura lieu du 23 au 25 février 2021.

C’est ce qu’annoncent les organisateurs qui confirment la reprise de leur activité après une suspension momentanée due au Covid-19. En effet, les équipes de Solaire Expo Maroc ont regagné les locaux après 2 mois d’arrêt animées d’optimisme, de vigilance et de mobilisation. La finalité étant d’offrir aux exposants et partenaires la possibilité de relancer leurs activités aussi bien au niveau national qu’international, renouant ainsi les connexions commerciales à travers l’événement Solaire Expo Maroc.

La ville marocaine de Marrakech abritera du 1er au 3 décembre prochain le World Power-to-X Summit 2020, un carrefour pour les décideurs politiques, les leaders de l’industrie, les experts en recherche et les innovateurs mondiaux. Initiée par l’Institut marocain de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN), cette rencontre se penchera sur les défis à relever face au déploiement à grande échelle d’un marché Power-to-X régional et international basé sur l’hydrogène vert et les carburants propres, font savoir les organisateurs.

Un lieu d’être privilégié visant à favoriser la collaboration, la créativité et les échanges dans le domaine de l’hydrogène vert et du power-to-x, cet événement invite ainsi tous les acteurs du PtX du monde entier à un échange ouvert sur les opportunités que l’hydrogène vert offre aux futurs pays exportateurs et importateurs de molécules propres. Selon les organisateurs, le World Power-to-X Summit 2020 sera une manifestation incontournable pour assister au début d’une nouvelle ère d’énergie propre basée sur l’hydrogène vert et les carburants propres, et discuter de la question en profondeur à travers une variété de panels et de sessions scientifiques de haut niveau.

Cinq principales thématiques meubleront les travaux de ce sommet, qui réunira les meilleurs experts techniques, des chercheurs de renom et des représentants officiels dans le domaine hors power-to-X venus de tous les coins du globe. Il s’agit de « l’hybridation des énergies renouvelables », « la production, le transport et le stockage d’hydrogène », « la chimie verte », « le stockage et utilisation du captage du carbone » et « la mobilité de l’hydrogène ». Le programme dudit sommet offrira, par ailleurs, aux visiteurs et aux exposants des opportunités uniques d’en savoir plus sur les derniers développements ayant un impact sur le secteur power-to-x.

L’Alliance marocaine pour le climat et le développement durable a organisé, le 27 août, une table ronde à distance sur la gestion des opérations d’exportation et d’importation des déchets solides au Maroc. La rencontre, tenue sous le thème «La gestion des opérations d’exportation et d’importation des déchets solides au Maroc, entre les défis du cadrage juridique, la rentabilité économique, sociale et environnementale et le débat public», a été consacrée à l’analyse des contenus et des dispositions des deux arrêtés ministériels publiés, récemment, dans le bulletin officiel.

La conférence s’est penché sur différents axes, à savoir «Les dispositions juridiques et institutionnelles aux niveaux national et international», «Quelle stratégie nationale et quelle politique publique dans le domaine de l’environnement et du développement durable pour promouvoir le secteur des déchets au Maroc?», «Quels sont les impacts économiques, sociaux et environnementaux pouvant résulter de l’importation des déchets?», ainsi que sur le rôle de la société civile environnementale dans le renforcement des procédures, des mesures et des décisions des pouvoirs publics compétents pour la préservation de l’environnement et la réalisation du développement durable, à travers la gestion des déchets importés.

L’Alliance marocaine pour le climat et le développement durable, considérée comme le plus grand rassemblement des réseaux et des associations dans le domaine de l’environnement et du développement durable, a trois principales fonctions, à savoir le renforcement des capacités des organisations non gouvernementales et des acteurs, le dialogue avec les acteurs et les responsables ainsi que le plaidoyer sur des questions environnementales. L’Alliance estime que la véritable solution de toutes les problématiques actuelles liées à la gestion des déchets nécessite un changement radical de la politique générale en la matière, appelant à la nécessité d’élaborer une vision participative de l’économie circulaire déterminant la responsabilité du producteur, du consommateur et de tous les départements gouvernementaux et les collectivités territoriales.

Le Maroc engagé à ne pas autoriser l’importation de déchets toxiques ou non conformes aux normes nationales, a affirmé le ministère de l’Énergie, des mines et de l’environnement. «Le Royaume est engagé aujourd’hui et comme toujours à ne pas accepter d’importer des déchets toxiques, dangereux pour l’environnement et qui sont non conformes aux normes nationales encadrées par l’article 42 de la loi N° 28.00 publiée le 7 décembre 2006 relative à la gestion des déchets et leur élimination», a indiqué le ministère dans un communiqué. Le ministère rappelle que le Maroc importe depuis plusieurs années des déchets non toxiques et non dangereux pour l’environnement utilisables dans une série d’industries manufacturières, a précisé le département de tutelle en interaction avec la polémique suscitée suite à la publication des deux décisions ministérielles relatives à l’application de certaines dispositions du décret N° 2.17.587 fixant les conditions et les modalités d’importation, d’exportation et de transit des déchets.
Selon la même source, le Royaume a importé, entre 2016 et 2019 (avant la publication des deux décisions) près de 1,6 million de tonnes de ces déchets qui constituent des matières premières pour l’énergie et l’industrie tels que le tissu, le plastique, le papier et les minéraux, notant qu’il ne dispose que d’une petite quantité de ces déchets qui sont soumis à une forte concurrence et à une compétitivité entre les entreprises internationales, en particulier avec le développement du domaine du recyclage et de la réutilisation des déchets dans le cadre de l’économie verte et circulaire.
Après avoir salué l’interaction de la société civile avec les décisions ministérielles et son souci à l’égard des questions liées à l’environnement, le ministère a souligné le besoin d’une adhésion forte et efficiente des acteurs associatifs œuvrant dans le domaine, relevant que ces deux décisions sont venues encadrer le processus d’importation des déchets non dangereux et non de l’autoriser et d’assurer un cadre juridique intégré des opérations d’importation, d’exportation et de transit des déchets. Il a par ailleurs expliqué que l’importation des déchets est soumise à une série de normes et de conditions pour qu’ils ne nuisent pas à l’environnement et que seuls sont autorisés à l’importation les déchets qui seront valorisés et recyclés et non enfouis, précisant que ces déchets autorisés à l’importation sont fixés conformément au décret N° 02.07.253 du 18 juillet 2008

A l’heure du Covid-19, où toute notre économie est fragilisée, le secteur agroalimentaire marocain n’est malheureusement pas épargné ! Dans ce contexte, l’Agence Marocaine pour l’Efficacité Énergétique “AMEE” avec le soutien technique de la GIZ ont mis en place une démarche pratique et concrète d’appui aux entreprises et institutions marocaines souhaitant devenir plus performantes et compétitives en saisissant toutes les opportunités qu’offrent ce nouveau marché de l’économie verte et responsable.

L’AMEE et la GIZ ont organisé un “Atelier de partage sur les bonnes pratiques EE dans le secteur agro-alimentaire”,  Lundi 27 Juillet à 15h,  pour sensibiliser et vulgariser auprès des industriels toutes les notions et bonnes pratiques en matière d’efficacité énergétique dans le secteur l’industrie.

En effet, comme l’annonce le titre de l’atelier : “Atelier de partage de bonnes pratiques sur l’efficacité énergétique : Quelles opportunités pour le secteur de l’industrie Agro-Alimentaire à l’heure du Covid-19 ?”, cet atelier a pour principal objectif de convaincre les entreprises marocaines de l’industrie agroalimentaire de la nécessité d’investir dans une démarche d’efficacité énergétique pour la mise à niveau et l’optimisation de leur système de production et de management. Cet atelier se veut avant tout un moment de partage de retour d’expériences et de conseils et recommandations pratiques pour les convaincre que l’efficacité énergétique est une opportunité et non une contrainte pour leurs business.

OLA Energy, Leader Africain de la distribution des produits Hydrocarbure et le Raja Athletic Club (RCA), l’un des meilleurs clubs de football Africain, ont consolidé leur partenariat par un accord de sponsoring. En vertu de cet accord, OLA Energy deviendra l’un des sponsors principaux du club dès la reprise de la phase retour de la BOTOLA PRO saison 2019/2020 et pour toute la saison 2020/2021.

Le logo OLA Energy apparaîtra sur le devant des kits d’entraînement et des maillots de l’équipe du RCA pour tous les matches du club, y compris la BOTOLA PRO et la Coupe du trône jusqu’à la fin de saison 2021. En plus d’être sponsor de maillot, l’accord prévoit une grande visibilité sur le terrain pour les matchs à domicile ainsi que d’autres droits marketing.

Le Raja Athletic Club possède l’un des meilleurs records de football parmi les clubs Africains.La constance, l’esprit sportif et la fidélité des fans de l’équipe ont joué un rôle déterminant dans la décision d’OLA Energy de s’associer au RCA. OLA Energy et le Raja Club Athletic travailleront ensemble pour atteindre les fans du monde entier et tirer parti de l’incroyable succès de l’équipe. Outre les partenariats avec certains des plus grands clubs de football, OLA Energy est également un partenaire de premier plan d’événements sportifs dans les domaines du sport automobile, volley-ball et le tennis.

La Régie Autonome de Distribution d’Eau et d’Electricité de Marrakech (RADEEMA) a annoncé avoir obtenu, en juillet dernier, le Label “TAHCEINE”, attribué par l’Institut Marocain de Normalisation (IMANOR), devenant ainsi le premier établissement à décrocher ce Label au niveau national.
Ce certificat a été remis, jeudi au siège de la Régie, au directeur général par intérim de la RADEEMA, Salaheddine Mountassir, relève l’établissement dans un communiqué.
Préparé sur la base notamment du protocole établi par le gouvernement pour la gestion du risque de contamination à la Covid-19 dans les lieux de travail, le référentiel “TAHCEINE” fixe les exigences devant être satisfaites par un organisme pour assurer la continuité des activités dans des conditions sanitaires maîtrisées, et présente des lignes directrices et des recommandations permettant de satisfaire ces exigences.
Il s’adresse aux organismes opérant dans tous les secteurs de l’industrie et des services et souhaitant établir et mettre en œuvre des mesures préventives sanitaires pour la continuité d’activité, et démontrer leur aptitude à rassurer leurs personnel, clients et partenaires sur leur capacité à fonctionner dans des conditions sanitaires satisfaisantes.
La pandémie de la Covid-19 a déstabilisé le cours des activités dans les entreprises et contraint tous les organismes (petits, moyens et grands) dans les différents secteurs à travailler différemment pour la mise en œuvre d’une batterie de mesures préventives et de dispositifs de précaution appropriés, tout en érigeant en priorité essentielle la sécurité sanitaire des collaborateurs, des partenaires, des clients, des sous-traitants et des fournisseurs, note la même source.
C’est dans cette optique que la RADEEMA a adapté sa politique en matière de santé et de sécurité au travail afin de maîtriser les risques sanitaires liés au nouveau coronavirus, ce qui a permis à la Régie d’assurer la continuité de ses activités dans des conditions sanitaires soumises au contrôle et ce, à travers la mise en place des mesures préventives préconisées, dans le cadre d’une approche structurée et susceptible d’évoluer, explique le communiqué. Et d’ajouter que cela a permis à la RADEEMA de renforcer sa capacité de garantir la continuité du travail dans des conditions sanitaires satisfaisantes et rassurantes pour les employés et toutes les parties concernées.
Tous ces efforts, qui ont été jugés et évalués avec succès conformément aux conditions fixées, ont permis à la Régie de jouir du droit d’utilisation du Label “TAHCEINE” de l’IMANOR.
A noter que durant la même période, la RADEEMA a également obtenu, grâce aux efforts de l’ensemble de ses composantes (cadres, usagers, et partenaires sociaux), la triple certification de son Système de Management Intégré (ISO 9001 version 2015 pour la qualité, ISO 14001/2015 pour l’environnement et ISO 45001/2018 pour la santé et la sécurité au travail), consolidant ainsi sa position parmi les rares établissements publics marocains à avoir un Système de Management Intégré par la Qualité, la Sécurité et l’Environnement.
Dans ce cadre, la RADEEMA a intensifié les efforts pour tester son Système de Management Intégré dans une dynamique proactive, visant à poursuivre le développement durable conformément aux fondamentaux de la bonne gouvernance, de la cohésion sociale et de l’amélioration continue de la performance, conclut le communiqué.