La 9e édition de la Power Day, organisée jeudi 21 mars à Rabat sous le thème de la « Transition énergétique : quelle trajectoire pour le Maroc ? », est un évènement tourné vers l’intégration des futurs ingénieurs de l’École Mohammedia d’ingénieurs (EMI) dans le domaine énergétique.
Initiée par le club énergétique de l’EMI « EMIENERGIE », en collaboration avec le club écologique de l’EMI « EMIGREEN », l’édition 2019 constitue une occasion idoine pour asseoir les notions de partage, d’appartenance et de respect des règles dans les esprits des étudiants dans une ambiance stimulante, ainsi qu’une opportunité pour les futurs ingénieurs de l’école de tirer profit des expériences réussies des spécialistes.
L’ambition est également d’intégrer les élèves ingénieurs dans le domaine énergétique par la programmation de divers ateliers, des conférences sur la transition énergétique animées par des conférenciers de haut calibre, ainsi qu’un concours offrant aux étudiants une large zone d’échange de visions, d’expériences et de savoir-faire.
Bouchra Wahb, vice-présidente du club écologique de l’EMI, a indiqué que la Power Day se distingue cette année par l’organisation d’une compétition « Green innovation » qui connaitra la participation de plusieurs écoles d’ingénieurs du Maroc et qui portera sur les projets à caractère éco-innovant.
« Nous souhaitons inviter toutes les personnes à prendre conscience des problématiques environnementales afin de s’intégrer dans la transition énergétique que connait le Maroc » depuis des années, a-t-elle déclaré.
Dans une allocution à l’ouverture de la 9e édition de la Power Day, le directeur de l’EMI Moulay Larbi Abidi a souligné que cette journée se veut une occasion pour les futurs ingénieurs de l’EMI de nouer des contacts avec le monde extérieur et de ne pas se contenter de la formation académique, mais plutôt de s’ouvrir sur le monde des professionnels, félicitant à cet égard les étudiants de l’école et particulièrement le club EMIENERGIE pour l’organisation de cette nouvelle édition.
Par la même occasion, le secrétaire général du ministère de l’Énergie, des mines et du développement durable, Mohamed Ghazali, a souligné l’importance de l’intelligence administrative et sociale dans le développement personnel et professionnel des étudiants qui ne doivent pas uniquement se concentrer sur les compétences techniques afin de bien se préparer pour le monde professionnel.
Le ministère œuvre à l’implémentation de l’industrialisation des énergies renouvelables afin de développer et d’accompagner l’émergence de ce secteur en matière notamment de production d’électricité.
De nombreux académiciens et experts dans le domaine de l’énergie ainsi que des représentants d’organismes opérant dans le secteur ont pris part à la 9e édition de la Power Day, dont le directeur général de l’Institut de recherche en énergie solaire et en énergies nouvelles (IRESEN).
Le groupe énergétique ENGIE a décidé d’aligner ses activités et son organisation au Maroc afin de permettre aux entreprises et aux collectivités locales une transition énergétique compétitive, a annoncé le groupe dans un communiqué.
Au cours des trois dernières années, le groupe s’est profondément transformé en concentrant son développement sur trois activités : le gaz, les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, tout en prenant des positions fortes sur des activités innovantes comme la mobilité verte et les réseaux intelligents.
Cette transformation a permis à ENGIE de renouer avec une croissance organique et de s’imposer comme leader de la transition énergétique compétitive.
Et de préciser que cette approche fait également partie de la nouvelle organisation d’ENGIE Afrique, qui se concentre sur un développement par métiers afin de répondre aux besoins en constante évolution des parties prenantes, entreprises et clients, et qui permettra d’être davantage axée sur les activités et résultats.
Philippe Miquel, précédemment en charge d’ENGIE Afrique de l’Ouest et Centrale, sera responsable du déploiement de cette stratégie, qui vise à accélérer le développement des solutions clients au Maroc.
Une campagne de sensibilisation et de communication au niveau central et régional sur l’importance de l’eau potable et la gestion durable des ressources en eau vient d’être lancée par l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE).
Organisée à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de l’eau, placée cette année sous le thème « Ne laisser personne de côté », la campagne cible les citoyens, la société civile, mais surtout les établissements scolaires.
Au menu de cette initiative figurent des journées Portes ouvertes, des visites auprès d’installations d’eau et d’assainissement de l’Office, en plus d’activités socio-culturelles et sportives destinées aux associations et aux établissements scolaires. C’est le cas entre autres de la visite organisée mardi à la station de traitement des eaux du Bouregreg à Rabat, au profit des élèves d’un établissement scolaire relevant de la ville de Khemisset.
Au-delà de la sensibilisation à l’importance de la protection de l’eau, l’objectif consiste à informer les élèves sur le processus de traitement de l’eau potable et de contrôle de sa qualité ainsi que sur le rôle de l’assainissement dans la préservation des ressources hydriques et de l’environnement, a expliqué le chef d’unité des analyses bactériologiques, Hamoucha El Boujnouni.
A travers des manipulations d’ordre bactériologique et physico-chimique, illustrées par des essais de traitement, Mme El Boujnouni a exposé devant les écoliers les étapes majeures de traitement des eaux destinées à la consommation et des eaux de l’assainissement, soulignant le rôle que jouent les châteaux dans la distribution et le stockage de l’eau. L’idée est d’inculquer aux élèves les valeurs de respect de l’environnement et de préservation de cette précieuse ressource naturelle.
Outre les visites et les expositions, l’événement a été marqué par la remise des prix du concours de dessins organisé récemment au sein de cet établissement à Khemisset. Au Total, six distinctions ont été remises aux élevés ayant excellé dans le traitement de thématiques en relation avec la Journée mondiale de l’eau.
Célébrée le 22 mars de chaque année, la Journée est principalement dédiée à des actions de sensibilisation instituée par l’Organisation des Nations unies avec pour objectif d’attirer l’attention des différentes parties prenantes sur l’importance de l’eau et de promouvoir la gestion durable des ressources en eau.
Une rencontre sur « l’efficacité énergétique entre les universités de l’espace Euro-Maghreb » s’est tenue, le 20 mars à Fès, avec la participation d’une pléiade de chercheurs de pays maghrébins et européens.
Initiée par l’Université Euromed de Fès (UEMF), cette rencontre vise l’évaluation des résultats du projet « PROEMED » obtenus jusqu’à aujourd’hui, ainsi que la synthèse de ces résultats en un modèle académique des formations de master en efficacité énergétique du bâtiment montées dans les universités du Maghreb membres du consortium du projet. Elle s’inscrit dans le cadre du projet « PROEMED Erasmus+ », financé par l’Union européenne.
S’exprimant à cette occasion, le président de l’UEMF, Mostapha Bousmina, a souligné que le Maroc a pris, ces dernières décennies, des initiatives « importantes » pour produire dans les différentes régions des énergies renouvelables, dont la plus grande centrale solaire au monde, en l’occurrence celle de Ouarzazate, rappelant que la facture énergétique du Maroc s’accapare une part importante du budget national
Ces actions ont été accompagnées depuis 2014 par un arsenal juridique approprié, la création de l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN) et l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN) destinée à financer les projets de recherche en la matière, en collaboration avec les universités.
M. Bousmina a aussi fait savoir que l’UEMF a pu bénéficier de ‘’plusieurs millions de dollars’’ de projets de recherches financés par l’IRESEN, tout en mettant en avant l’importance de la création de l’Agence marocaine de l’efficacité énergétique, destinée notamment à réduire la dépendance énergétique et la préservation de l’environnement.
De son côté, le vice-président chargé de la recherche et de l’innovation à l’UEMF, Tijani Bounahmidi, a mis l’accent sur le choix de la thématique débattue, précisant qu’il s’agit de former des ingénieurs capables de concevoir des systèmes énergétiques efficaces pour réduire la consommation des bâtiments en la matière.
Ce projet s’inscrit dans le cadre des initiatives dédiées à améliorer l’efficacité énergique dans les bâtiments pour réduire le gaz à effet de serre et lutter contre le réchauffement climatique, a-t-il poursuivi, rappelant que le Maroc vise à réduire sa consommation d’énergie de 12% à l’horizon 2020.
M. Bounahmidi a également indiqué que ce projet de formation pour les futurs ingénieurs est « très judicieux » pour renforcer la protection de l’environnement et le développement durable des pays concernés.
Les objectifs spécifiques de PROEMED, dont les activités ont démarré en décembre 2016 pour une durée de trois ans, concernent la création de programmes de master en protection de l’environnement et en efficacité énergétique dans les bâtiments, l’amélioration des perspectives d’emploi des diplômés, le renforcement de la capacité du personnel enseignant à répondre aux demandes du marché du travail et l’orientation des nouveaux programmes vers la résolution de problèmes environnementaux et énergétiques.
Il s’agit également d’assurer l’intégration des éléments éducatifs améliorés et leur exploitation au-delà du cycle de vie du projet par des actions de diffusion et de création d’un réseau entre les institutions œuvrant dans le domaine.
Les formations de Master en efficacité énergétique du bâtiment, montées dans le cadre du projet PROEMED, ont été basées sur une analyse des besoins ciblés développée lors de visites d’experts, ainsi que dans le cadre d’ateliers avec les parties prenantes.
L’analyse s’est aussi basée sur une enquête par questionnaire réalisée auprès d’organisations impliquées à différents niveaux dans le domaine des bâtiments économes en énergie, afin d’identifier les besoins en formation en adéquation avec le marché du travail.
L’objectif principal de la filière de Master « ingénierie et conception de bâtiments verts », développée par l’Université Euromed de Fès dans le cadre du projet PROEMED, est de préparer des diplômés ayant une solide expérience en efficacité énergétique et capables de concevoir, calculer, mettre en œuvre et exploiter des procédés et des dispositifs assurant l’efficacité énergétique. La formation de l’UEMF dans ce domaine cible les ingénieurs en génie civil ainsi que les architectes.
La centrale solaire Noor de Ouarzazate a été citée, jeudi 14 mars lors du 3è One Planet Summit dans la capitale kényane, comme modèle de succès de l’énergie solaire en Afrique.
« La centrale solaire Noor de Ouarzazate au Maroc est un exemple de succès de l’énergie solaire en Afrique », a déclaré le président de la Banque Africaine du Développement, Akinwumi Adesina qui a pris la parole lors de la séance d’ouverture des travaux de ce 1er sommet régional, tenus sous l’égide des présidents français Emmanuel Macron et Kényan, Uhuru Kenyatta.
Cette session de haut niveau rassemble des chefs d’État, des ministres ainsi que des représentants des secteurs de la finance et des affaires, des administrations locales, de la société civile et de la jeunesse de plusieurs pays, dont le Maroc.
Le Maroc est représenté à ce premier sommet régional par la Secrétaire d’Etat chargée du développement durable, Nezha El Ouafi et l’Ambassadeur du Royaume au Kenya, El Mokhtar Ghambou.
Le sommet a abordé deux questions principales, à savoir la promotion des énergies renouvelables et le renforcement de la résilience, de l’adaptation et de la biodiversité.
Ce Sommet a permis aux participants de présenter des réalisations concrètes et des initiatives novatrices, suscitant de nouvelles coalitions et de nouveaux engagements.
Le Ministère de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Economie Numérique vient de lancer une étude pour le développement de l’écosystème industriel des énergies renouvelables au Maroc, confiée au Cabinet Energy Handle.
Cette étude, menée en collaboration avec le cluster Solaire, a pour objectifs de fournir une synthèse de l’état des lieux du marché des énergies renouvelables national et à l’export et d’élaborer un plan de développement de l’écosystème industriel des énergies renouvelables, prenant en considération le potentiel du marché ainsi que les capacités et besoins des industriels nationaux. Cette étude permettra particulièrement d’élaborer le contrat de performance de l’écosystème EnR, fixant ainsi un cadre global d’accompagnement des projets industriels.
Dans le cadre de la mise en œuvre de cette étude, des ateliers sectoriels ont été organisés les 20 et 21 Février 2019 ; suite auxquels le MIICEN sollicite aujourd’hui, dans le cadre d’une démarche de co-construction afin d’identifier les projets industriels qui pourraient faire l’objet de l’accompagnement du MIICEN dans le cadre de cet écosystème.
Le MIICEN recherche, en particulier, les projets permettant de renforcer la création de valeur ajoutée, d’emplois et promouvant les exportations marocaines. L’identification de ces projets permettra de définir les mesures d’accompagnement appropriées et les moyens à mettre au service du développement de l’écosystème.
Tirer profit de l’immense potentiel dont dispose le continent africain en matière d’énergies renouvelables est tributaire d’une bonne gouvernance et de la mise en place d’institutions professionnelles et spécialisées, a indiqué, le 16 mars à Dakhla, le Directeur général de l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE), Said Mouline.
Une gouvernance optimale, la création d’entités dédiées spécialement au développement et à l’exploitation des énergies renouvelables et la mobilisation des forces vives des pays africains sont des éléments fondamentaux pour réussir le défi de la révolution énergétique, a expliqué M. Mouline qui intervenait lors d’une session plénière sur « les opportunités de développement pour l’Afrique dans les énergies renouvelables » organisée dans le cadre du Forum Crans Montana.
Dans cette ligne, le Maroc s’érige en modèle en Afrique et même sur le plan mondial dans la mesure où le Royaume, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, a mis en place des stratégies et des plans dans le domaine énergétique et a érigé les énergies renouvelables en une priorité de premier rang, a relevé M. Mouline.
Grâce à cette volonté, il a été procédé également à la mise en place de plusieurs institutions chargées spécialement de développer ce secteur vital pour l’avenir du pays mais aussi du continent africain, a dit le DG de l’AMEE, mettant l’accent sur l’importance des investissements et de la formation des jeunes pour réduire la dépendance de l’Afrique en énergie.
S’exprimant également à cette occasion, M. Mohamed Ghazali, secrétaire général du ministère de l’Énergie, des mines et du développement durable, a souligné que l’Afrique, un continent qui souffre de problèmes mais qui suscite de l’espoir, doit exploiter son potentiel énorme en matière d’énergies renouvelables et nouvelles pour relever les défis de la croissance.
« Les africains, nous avons encore la possibilité de créer et de construire notre avenir. Notre destin est entre nos mains », a fait observer M. Ghazali, appelant à encourager les investissements dans l’économie verte et à la mise en place de pôles industriels régionaux intégrés pour réaliser l’intégration régionale.
Dans le même sillage, le directeur des Partenariats et de la coopération internationale à MASEN, M. Ali Zerouali, a passé en revue les étapes de la « révolution énergétique » au Maroc depuis 2008 et les conditions internationales ayant imposé le changement du modèle énergétique dans le Royaume.
La politique énergétique au Maroc, lancée grâce à la volonté de SM le Roi, a donné une « nouvelle dynamique » au secteur qui se positionne actuellement en tant que priorité, a poursuivi M. Zerouali, rappelant qu’une stratégie a été élaborée en la matière en collaboration avec toutes les parties prenantes.
Cette stratégie vise à porter à 42% en 2020 et 52% en 2030 la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique national, assurant que l’objectif étant de réduire de 12% la consommation de l’énergie en 2020 et 15% en 2030.
Les autres intervenants lors de cette session plénière ont souligné qu’un marché régional compétitif et le développement de grands projets d’infrastructures transfrontaliers doivent constituer une priorité dans les plans des pays africains, précisant que la révolution énergétique nécessite de nouveaux modèles de financement.
Les actions d’efficacité énergétique devant être mises dans les domaines des transports, de l’industrie et du bâtiment ont été également au débat lors de cette rencontre de haut niveau.
Le Maroc a réalisé des avancées remarquables dans le domaine de l’environnement devenant un modèle de développement durable, a affirmé, le 21 mars à Accra, le Directeur du changement climatique et de la croissance verte à la Banque africaine de développement (BAD), Anthony Nyong.
« Le Maroc a avancé, à pas de géant, dans le domaine de l’environnement et du développement durable, à travers le lancement de plusieurs initiatives et politiques à même de faire du Royaume un exemple à suivre par les pays africains », a indiqué M. Nyong à l’occasion de la Semaine africaine du climat.
« Conscient de l’importance de l’agriculture dans le développement durable, le Royaume a pu développer son Plan Maroc Vert, une initiative politique de relance de l’agriculture qui prend en considération l’aspect environnemental », a souligné le responsable de l’institution financières africaine.
Par ailleurs, M. Nyong a salué l’initiative pour l’Adaptation de l’Agriculture Africaine (AAA), lancée par le Maroc en marge de la COP22, et qui vise à réduire la vulnérabilité de l’Afrique et de son agriculture face aux changements climatiques.
« L’initiative « Triple A » constitue non seulement une réponse clé aux changements climatiques, mais également à l’insécurité alimentaire, surtout que l’agriculture des pays africains dépend des précipitations », a-t-il souligné.
M. Nyong a saisi cette occasion pour jeter la lumière sur le projet Noor Ouarzazate, la plus grande centrale solaire au monde, avec une capacité totale de 580 MW.
Organisée à Accra, la Semaine africaine du climat (du 18 au 22 mars) a pour objectif d’encourager la mise en œuvre des Contributions déterminées au niveau national (CDN) dans le cadre de l’Accord de Paris et des mesures climatiques pour atteindre les objectifs de développement durable de 2030.
Le Ministère de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Economie Numérique vient de lancer une étude pour le développement de l’écosystème industriel des énergies renouvelables au Maroc, confiée au Cabinet Energy Handle.
Cette étude, menée en collaboration avec le cluster Solaire, a pour objectifs de fournir une synthèse de l’état des lieux du marché des énergies renouvelables national et à l’export et d’élaborer un plan de développement de l’écosystème industriel des énergies renouvelables, prenant en considération le potentiel du marché ainsi que les capacités et besoins des industriels nationaux. Cette étude permettra particulièrement d’élaborer le contrat de performance de l’écosystème EnR, fixant ainsi un cadre global d’accompagnement des projets industriels.
Dans le cadre de la mise en œuvre de cette étude, des ateliers sectoriels ont été organisés les 20 et 21 Février 2019 ; suite auxquels le MIICEN sollicite aujourd’hui, dans le cadre d’une démarche de co-construction afin d’identifier les projets industriels qui pourraient faire l’objet de l’accompagnement du MIICEN dans le cadre de cet écosystème.
Le MIICEN recherche, en particulier, les projets permettant de renforcer la création de valeur ajoutée, d’emplois et promouvant les exportations marocaines. L’identification de ces projets permettra de définir les mesures d’accompagnement appropriées et les moyens à mettre au service du développement de l’écosystème.
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