Dans le cadre de la 2ème édition des HQE Sustainable Building Awards, organisée par Certivéa et Cerway, MASEN a reçu le 5 juillet dernier le prix « HQE Sustainable Building Award – Meilleures performances International ». Ce prix a été obtenu pour la construction du bâtiment MASEN Center au cœur du complexe solaire Noor Ouarzazate.

Pour rappel, filiale du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) et partenaire de l’Alliance HQE GBC France, Certivéa développe et commercialise l’offre HQE en France. Quant à Cerway, il est l’opérateur de la certification HQE qui accompagne les acteurs à l’international.

L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) a pris part, récemment à Cotonou, à la cérémonie de lancement officiel du marché régional de l’électricité de la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest).

L’ONEE est, depuis 2008, le seul organisme hors CEDEAO à siéger en tant qu’observateur au Système d’échanges d’énergie électrique ouest-africain (West African Power Pool – WAPP), initiateur de cet événement. Cette institution spécialisée de la CEDEAO, qui compte 29 membres, a pour vision d’intégrer les réseaux électriques nationaux dans un marché régional unifié de l’électricité en vue d’assurer, à moyen et long termes, un approvisionnement en énergie électrique régulier, fiable et à un coût compétitif aux populations locales.

Le Directeur général de l’Office, Abderrahim El Hafidi, accompagné de l’ambassadeur du Maroc au Bénin, Rachid Rguibi, a eu, à cette occasion, une série d’entretiens avec de hauts responsables du secteur électrique en Afrique de l’Ouest, axés sur les relations de coopération qu’entretient l’ONEE avec ses homologues africains et les projets qu’il conduit dans la région.

Ce fut une opportunité pour rappeler la volonté de l’ONEE de « renforcer ces liens de coopération qui reposent sur l’accompagnement, l’échange de transfert de savoir et le renforcement des capacités techniques et managériales dans l’objectif de permettre d’améliorer les performances et assumer pleinement la mission de service public». Au cours de la rencontre de Cotonou, les ministres de l’Énergie de la CEDEAO ont approuvé plusieurs documents dédiés au développement harmonieux de ce secteur dans l’espace ouest-africain.

Il s’agit notamment du règlement sur les sanctions du marché régional de l’électricité, de l’étude pour l’élaboration du Plan directeur d’électrification rurale et périurbaine en Afrique de l’Ouest et d’une autre relative à la faisabilité de l’extension du gazoduc de l’Afrique de l’Ouest.

Créé en décembre 1999 par le 22e Sommet de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO, le WAPP a été mis en place en 2006 et basé à Cotonou, dans le but de promouvoir et développer des infrastructures de production et de transport d’énergie électrique ainsi que d’assurer la coordination des échanges d’énergie électrique entre les États membres.

Vivo Energy Maroc confirme son engagement en faveur de la protection de l’environnement et renouvelle son partenariat avec la Fondation Zakoura. Après le succès du programme « Mama Tabiaa » lancé dans 17 écoles publiques primaires de l’Académie Régionale de l’Education et de la Formation de la région Casablanca-Settat, ce programme d’éducation à la protection environnementale se voit élargi à plus de 150 nouvelles écoles. Son objectif est de susciter l’intérêt et d’encourager la réflexion des élèves et de leurs proches sur les problématiques environnementales.

« L’initiative Mama Tabiaa, lancée depuis 2014 avec la Fondation Zakoura, est un réel succès dont nous sommes fiers. Avec ce programme, Vivo Energy Maroc investit dans l’avenir et l’éducation de nos enfants pour contribuer à en faire les éco-citoyens du Maroc de demain. 50 nouvelles écoles des académies de Souss-Massa et de Marrakech-Safi bénéficient déjà de cette formation, et nous avons l’ambition de l’élargir à 150 établissements sur les trois prochaines années. Notre objectif ultime est de le généraliser à terme à l’ensemble des écoles primaires du Royaume », a déclaré Asaf V. Sasaoglu, Président Directeur Général de Vivo Energy Maroc.

« Un partenariat de longue date en matière d’éducation non formelle puis d’éducation à l’environnement nous unit avec Vivo Energy Maroc. Avec le programme Mama Tabiaa, nous associons les jeunes à la cause environnementale. Une démarche qui s’allie à notre objectif commun d’inscrire nos actions dans une optique d’éducation durable. Nous saluons le fidèle engagement de Vivo Energy Maroc à nos côtés et sa volonté de décupler le nombre d’enfants et jeunes bénéficiaires du programme Mama Tabiaa », a commenté Jamal Belahrach, Président de la Fondation Zakoura.

C’est en février 2015 que le programme d’éducation à l’environnement a été lancé au sein d’écoles publiques de Hay Hassani à Casablanca et des écoles d’éducation non formelle de la Fondation. Une première étape avant de l’étendre à d’autres villes du Maroc. Près de 6 000 enfants et leurs proches ont depuis été sensibilisés à la problématique environnementale.

S’appuyant sur des méthodes pédagogiques innovantes, qui allient interactivité et apprentissage par le jeu, le programme « Mama Tabiaa » vise à développer un comportement éco-citoyen auprès des élèves du primaire. Il est axé sur six thématiques : eau, biodiversité, énergie, gestion des déchets, solidarité et protection de l’environnement. Ces thématiques sont traitées en classe avec les élèves par le biais de séances d’acquisition de connaissances enrichies par des supports interactifs telles que des vidéos et des animations. Des sorties découvertes et des activités éco-citoyennes réalisées par les élèves au sein des écoles mais aussi du quartier ou du douar, impliquant leurs parents et la communauté, complètent le programme.

Au-delà de son investissement dans la sensibilisation au respect de l’environnement par des actions citoyennes, Vivo Energy Maroc dispose d’une stratégie globale de développement durable dont la protection de l’environnement représente un axe principal. Dans ce cadre, Vivo Energy Maroc a mis en place depuis plusieurs années un programme visant à réduire son empreinte environnementale couvrant, entre autres, la sensibilisation de ses collaborateurs à la conduite responsable et la commercialisation de produits toujours plus respectueux de l’environnement.

 

 

La compagnie marocaine Nova Power construira la première centrale solaire photovoltaïque de Côte d’Ivoire. Le coût du projet est estimé à 377 millions de dirhams.

La compagnie se prépare, en effet, à démarrer le chantier de construction, prévu dans la localité de Bengué-Bougou, dans le département de Korhogo, relate le site Telquel.ma.

La centrale, qui sera construite sous forme de partenariat public-privé (PPP), aura une capacité de 25 mégawatts. Sa mise en place sera assurée par Korhogo Solaire, une filiale de Nova Power.

L’énergie produite par la centrale sera rachetée par la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), filiale du groupe français Eranove liée à l’État de Côte d’Ivoire par une convention de concession.

Selon la même source, « le tarif de sortie combiné de l’énergie est fixé à 10 centimes de dollars / kWh ».

Nova Power assurera ainsi la conception, le financement, la construction et l’exploitation de la centrale photovoltaïque. Le coût du projet est estimé à environ 40 millions de dollars, soit près de 377 millions de dirhams.

Sa mise en service devrait se faire au deuxième semestre de 2019, après 10 mois de travaux de construction. La centrale devrait permettre la création de 300 emplois pour la phase de construction et une trentaine d’autres directs lors de l’exploitation du site.

Dans le cadre du renforcement de la dissémination de l’information scientifique et technique dans le domaine des technologies vertes, IRESEN mets à disposition de la communauté nationale et continentale deux dispositifs innovants ; la première revue africaine spécialisée et un portail interactif dans le domaine des énergies vertes.

L’IRESEN vient de lancer un appel à communication pour la revue Solar For Africa and Renewable Energies.

Ce périodique à comité de lecture accrédité a pour principal objectif de fournir une plateforme d’échange d’idées entre les scientifiques africains et de publier les articles scientifiques des dernières avancées du secteur des technologies vertes.

 

Le projet Feuille de Route pour une Mobilité Durable au Maroc a été présenté et cité comme un exemple à suivre lors du Sommet Climate Chance d’Abidjan, les 28 et 29 juin.

« Avec sa Feuille de Route pour une Mobilité Durable, le Maroc a fourni un travail remarquable et initié une dynamique de réflexion collective dont d’autres pays doivent s’inspirer », a confirmé Patrick Oliva, co-fondateur du Processus de Paris pour la Mobilité et le Climat, l’initiative qui a engagé et promu la formulation de feuilles de route pour le secteur transport au niveau mondial, continental et national après la COP21 de Paris.

L’atelier « Favoriser une mobilité et des transports durables en Afrique », organisé par le PPMC et ses partenaires était ainsi l’occasion de discuter des opportunités et défis de la mobilité en Afrique et de motiver divers acteurs dans la démarche de construction de feuilles de route nationales qui sauront guider l’évolution des pays vers une mobilité durable.

Rappelons que l’Association Climate Chance réunit les acteurs non-étatiques autour des objectifs du développement durable et de la protection du climat. Le Sommet d’Abidjan était organisé conjointement avec l’Assemblée des Régions et Districts de Côte d’Ivoire. Le premier Sommet Climate Chance en Afrique avait été accueilli à Agadir en 2017.

 

La Tanzanie ambitionne de collaborer avec le Maroc en matière d’énergie et des mines, a affirmé, le 3 juillet à Rabat, le ministre tanzanien de l’Énergie, M. Medard Matogolo Kalemani, lors d’une réunion avec le ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah.

Après avoir passé en revue les atouts, les projets, les réformes et les politiques menées par son pays dans les secteurs de l’énergie et des mines, M. Kalemani a émis le souhait de développer une coopération fructueuse avec le Royaume, à travers l’élaboration d’études et l’échange d’expertises, de manière à promouvoir davantage ces secteurs et valoriser la richesse des minéraux.

Pour sa part, M. Rabbah a indiqué que « la Tanzanie, qui regorge de grands potentiels et de minéraux, a conduit un ensemble d’études dans ce domaine, nécessitant des investisseurs, vu le coût très élevé de l’électrification dans ce pays », ajoutant que des projets « énormes » ont été et vont être lancés dans le domaine du gaz, des combustibles et des énergies renouvelables dans ce pays, ce qui contribuera à la conclusion d’un partenariat maroco-tanzanien fructueux et bénéfique au niveau des secteurs privés des deux pays.

Il a également salué l’excellence des relations entre les deux pays, rappelant l’intérêt particulier que porte Sa Majesté le Roi Mohammed VI au continent africain, et la détermination du Souverain à consolider davantage la coopération avec l’Afrique et à renforcer encore plus la coopération Sud-sud pour le développement durable des pays africains.

Lors de cette réunion, l’accent a été mis sur les investissements dans le domaine des énergies renouvelables, la coopération technique et dans le domaine de la législation et de l’électrification du monde rural, en raison de l’expérience marocaine réussie en la matière.

Tout en se félicitant de la qualité des échanges bilatéraux, les deux parties ont convenu de mettre en place un plan d’action pour la mise en œuvre du mémorandum de coopération, à travers une équipe de travail technique mixte qui accompagnera l’implémentation des conventions et le suivi des projets conclus, et ont également convenu de poursuivre les contacts pour renforcer davantage la coopération via le partage d’expériences et la promotion de partenariats rentables.

Cette première réunion du Comité mixte, visant à saisir les opportunités offertes au Maroc et en Tanzanie dans ces secteurs, intervient dans le cadre du suivi du Mémorandum d’entente de coopération dans les domaines des hydrocarbures, de l’énergie, des mines et de la géologie, signé par les Gouvernements des deux pays, lors de la visite officielle de Sa Majesté Le Roi en Tanzanie en octobre 2016.

La délégation tanzanienne aura également, lors de sa visite, plusieurs rencontres avec l’Office national de l’électricité et de l’eau Potable (ONEE), l’Agence marocaine pour l’énergie solaire (MASEN), l’Office chérifien des phosphates (OCP), l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE), l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles du Maroc (IRESEN), ainsi qu’avec les Fédérations de l’énergie et de l’industrie minérale, ayant été représentés par de hauts responsables lors de cette réunion.

 

Le ministre de l’énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah a souligné, le 10 juillet à Rabat, que 9 nouvelles licences ont été attribuées à des opérateurs économiques en vue de promouvoir le secteur des hydrocarbures et de renforcer la concurrence dans ce domaine.

Lors d’une séance plénière à la Chambre des Représentants consacrée à l’examen du rapport sur la mission exploratoire temporaire relative à la détermination des prix de vente au public et la fixation des conditions de concurrence dans le secteur des hydrocarbures après la décision de la libéralisation des prix, M. Rabbah a indiqué que les prix des carburants au Maroc sont impactés par la conjoncture internationale et les fluctuations des cours du pétrole au niveau mondial.

Le Maroc a opté pour la libéralisation des hydrocarbures à l’instar de plusieurs secteurs, a-t-il relevé, rappelant que la loi sur la libéralisation des prix a été promulguée en 2000 et la structure des prix a été fixée en 2009. Le ministre a affirmé que le gouvernement est prêt à prendre toutes les mesures nécessaires pour baisser les impôts à condition de préserver le budget et maintenir son équilibre.

Le secteur des énergies renouvelables connaît une dynamique soutenue au Maroc, a indiqué le ministre de l’énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rebbah qui a mis en exergue les perspectives prometteuse de ce domaine dans le cadre du développement durable qui renforce l’équilibre entre les dimensions environnementales, économiques et sociales.

S’exprimant, le 4 juillet à l’ouverture d’un atelier de sensibilisation sur « le pompage solaire: levier de l’efficacité énergétique et de développement durable dans le secteur de l’agriculture », M. Rebbah a rappelé les avantages multiples du recours à l’énergie verte en termes d’investissements, d’emploi, d’innovation, d’industrie, d’entreprenariat ainsi qu’en ce qui concerne la recherche scientifique.

Le ministre a en outre souligné que grâce à la percée réalisée en matière d’énergies renouvelables, le Maroc est bien en marche pour cibler des marchés en Afrique et au niveau international à la faveur des compétences marocaines, des grands projets lancés ainsi que des mécanismes de financement, de soutien et d’accompagnement mis en place.

Abondant dans le même sens, le directeur général de l’Agence Marocaine pour l’Efficacité Energétique (AMEE), Said Mouline, est revenu sur les efforts consentis par le Maroc pour réduire la facture énergétique et assurer une rationalisation de l’utilisation de l’énergie notamment dans le domaine agricole grâce à la promotion de l’efficacité énergétique dans les différents secteurs.

Après avoir insisté sur la nécessité de sensibiliser les acteurs du secteur de l’agriculture, M. Mouline a passé en revue les multiples partenariats tissés par l’AMEE pour garantir l’efficacité énergétique qui fait partie des grandes orientations de la nouvelle stratégie énergétique nationale.

La représentante du Programme de l’ONU pour le développement (PNUD) a salué, de son côté, les efforts consentis par le Maroc pour développer l’économie verte et garantir l’efficacité énergétique mettant en exergue l’apport du Royaume dans la recherche de solutions pertinentes aux défis du développement durable.

En marge de cet atelier organisé dans le cadre de la 4ème édition du Salon international de pompage solaire, il a été procédé à la signature de deux conventions entre l’AMEE d’une part et la société « ZEECA » et l’association « Reso vert », portant sur la mise en œuvre d’un programme de formation et de promotion des énergies renouvelables et de sensibilisation à l’importance de l’efficacité énergétique.

Le prix Hassan II pour l’environnement a été remis le 12 juillet à Rabat, lors d’une cérémonie organisée par le Secrétariat d’État chargé du Développement durable et célébrée pour la première fois sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI.

Dans la catégorie recherche scientifique et technique, le prix a été attribué à Abdelhadi El Karouali pour son travail sur la lutte contre l’émission du méthane des vaches en utilisant les additifs alimentaires naturels.

Dans la catégorie médias, le prix a été décerné à Naïma Achrai pour son reportage sur la mine d’or de Tiouit et la problématique environnementale, Mohamed Tafrouti pour l’ensemble de ses articles autour du thème de l’environnement et des enjeux du développement durable, à Adil Boukhima et Youssef Zouintni pour leur reportage télévisé diffusé sur la chaîne 2M intitulé « Maroc, l’énergie de demain », ainsi qu’à Lahbib Slimani pour son émission radio hebdomadaire « Al kawkab al hay » et particulièrement un dossier sur l’aspect environnemental africain dans la politique Maroc, diffusée sur la station régionale de Tanger de la Radio nationale.

Quant aux associations Almaouja de Ouarzazate, Talassemtane pour l’environnement et le développement de Chefchaouen et Dar Si Hmad d’Agadir, elles ont remporté le prix de l’action associative. Par ailleurs, le prix des initiatives des entreprises a été remporté ex æquo par les entreprises Afrique Cables, Lidec et ST Microelectronics Bouskoura, tandis que le prix des collectivités territoriales a été décerné à la collectivité de Marrakech pour avoir intégré l’environnement dans un ensemble de projets de la ville intitulés “Greening de la ville de Marrakech” et à la collectivité d’Agadir pour ses projets visant à relever les défis du développement durable et des changements climatiques.

Le chef du gouvernement Saâd Eddine El Othmani, qui présidait cette cérémonie, a indiqué que ce prix traduit l’intérêt que porte le Maroc aux questions relatives à l’environnement et au développement durable, précisant que le prix a été créé pour appeler à une mobilisation collective et sociétale quant à ces questions cruciales pour toute l’humanité.

Le Royaume a pu, grâce aux orientations de SM le Roi Mohammed VI, porter le flambeau de la question du développement durable sur le plan international, régional et au sein de l’Afrique, a-t-il ajouté. Pour sa part, la secrétaire d’État chargée du Développement durable, Nezha El Ouafi, a souligné que ce prix est organisé dans un contexte où la planète est sur le point d’épuiser ses ressources naturelles, notant cependant que le Royaume jouit d’une forte expérience en matière de développement durable et connait actuellement une dynamique sans précédent sous la conduite éclairée de SM le Roi.

En plus de l’ensemble des stratégies du Royaume concernant les énergies renouvelables, le Maroc a adopté la stratégie nationale de développement durable lors du conseil ministériel du 25 juin 2017, a-t-elle rappelé, ajoutant que le gouvernement a actuellement préparé 21 projets pour l’année 2019, dont certains relatifs au développement durable. Pour cette 12ème édition, le nombre des candidatures a atteint 99, dont 44 pour le prix de recherche scientifique et technique, 24 pour le prix de l’action associative, 24 pour le prix des médias, 5 pour le prix des initiatives des entreprises et 2 pour le prix des collectivités territoriales.

Le prix Hassan II pour l’environnement participe à la mobilisation des acteurs et des partenaires du secteur public et privé, de la société civile, des instituts de recherche scientifique et des médias, et ce en encourageant toutes les actions et initiatives qui contribuent à la protection de l’environnement et à la conservation du patrimoine culturel et naturel. La cérémonie, à laquelle ont pris part plusieurs ministres, ambassadeurs et représentants des organismes internationaux, du secteur privé, de la société civile et des médias, a également été marquée par la présentation du rapport du jury ainsi que par la diffusion d’un film sur le prix Hassan II pour l’environnement.