La Fondation Lydec anime la plage Lalla Meryem
Pour la quinzième année consécutive, le gestionnaire délégué à la distribution d’eau et d’électricité de Casablanca, Lydec participe à l’opération « Plages propres » et parraine la plage Lalla Meryem.
« L’océan, une ressource à préserver » est le thème choisi par Lydec cette année, indique le délégataire dans un communiqué. L’objectif est de sensibiliser les estivants aux enjeux liés à la préservation des océans et de l’environnement, à travers l’organisation d’animations ludiques. Cette action, portée par la Fondation Lydec, a démarré le 3 juillet et se poursuivra jusqu’au 28 août, souligne la même source.
Tout au long de cette période, la Fondation déploie un programme varié à la plage Lalla Meryem. Des ateliers sur le changement climatique, l’eau, l’énergie, les déchets et la biodiversité sont organisés chaque semaine par l’Association des enseignants des sciences de la vie et de la terre. Les week-ends, des partenaires de la Fondation Lydec, à savoir la Fondation M’jid et les associations Espod, Casa Environnement et Théâtre Nomade, viennent présenter leurs actions et proposer des ateliers ludiques aux estivants. Aussi, une animation axée sur l’environnement, l’océan et l’Afrique, incluant des jeux éducatifs et une radio plage, est assurée tout au long de cette période. Environ 8.000 estivants, notamment des enfants, sont ainsi attendus à l’espace d’animation de Lydec.
Par ailleurs, la Fondation Lydec a mis en place une signalisation et des panneaux d’affichage et a réhabilité les infrastructures nécessaires comme les blocs sanitaires, les rampes d’accès, les tours de surveillance et les abris pour la Protection civile et la Police.
À noter que les eaux de baignade de la plage Lalla Meryem sont de bonne qualité (niveau A). Pour rappel, l’ensemble des plages du Grand Casablanca, dont Nahla et Essaada, est conforme aux exigences de la norme marocaine (NM 03-7-200) de surveillance de la qualité des eaux de baignade, et ce, grâce au Système anti-pollution du littoral Est qui a permis de supprimer les rejets directs en mer et d’atteindre, depuis mai 2015, un taux de dépollution des eaux usées de la métropole de 100%.