Nouvelle consécration pour Afriquia SMDC. Le leader marocain dans la distribution de carburants, coté à la Bourse de Casablanca, a obtenu la certification ISO 9001 version 2008 du Système de Management de la Qualité pour l’ensemble de ses activités, ses 7 directions régionales ainsi que pour son réseau de stations-service à l’échelle nationale. Cette certification « est le fruit de l’engagement et de l’implication de l’ensemble des collaborateurs de la société Afriquia ».

L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) vient de lancer un appel à manifestation d’intérêt pour le projet Gas to Power qui constitue la première phase du plan de développement du gaz naturel liquéfié (GNL) et qui a pour objectif de couvrir les besoins de production d’électricité (Phase dite Gas to Power). Cet appel cible ainsi les sociétés opérant dans le développement et la construction des terminaux de regazéification et de stockage du GNL, des gazoducs de transport du gaz naturel et des CCGT (centrales à cycles combinés) pour la production de l’électricité. Des sociétés qui participeront par la suite à l’appel d’offres pour le développement, la conception, le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance du projet Gas to Power.

Sur Hautes instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, une session de travail consacrée au secteur de l’énergie a réuni, le 26 décembre, plusieurs hauts responsables de ce secteur au Cabinet Royal à Casablanca. Le Souverain a précédemment pris acte du rapport sur une vision globale et intégrée de la gouvernance du secteur énergétique national qui lui avait été remis suite à la séance de travail tenue le 13 octobre dernier au Palais royal de Tanger, consacrée au suivi du programme national de développement des énergies renouvelables. Sa Majesté le Roi a ainsi transmis ses instructions aux différents acteurs concernés afin que le pilotage des énergies renouvelables, notamment solaires, éoliennes et hydroélectriques, soit désormais assuré par MASEN. Le processus de convergence de la politique énergétique du Royaume permettra le renforcement de l’ambition nationale en matière de développement des énergies renouvelables, en ligne avec l’objectif de porter la part des sources renouvelables dans le mix électrique national de 42 % en 2020 à 52 % en 2030. Tout en conservant leur autonomie de gestion respective, l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE) et MASEN seront appelés à travailler en symbiose afin de confirmer le leadership continental et mondial du Maroc en matière de transition énergétique. Ils devront ainsi opérer à travers des liens organiques plus forts et un pilotage stratégique unifié.
Cette collaboration vise à donner des moyens institutionnels et économiques renforcés aux acteurs nationaux afin que les objectifs annoncés soient tenus et que les synergies attendues soient à la hauteur de la vision stratégique énoncée.
Cette session de travail a réuni le Chef du gouvernement, M. Abdelilah Benkirane, les Conseillers de SM le Roi , MM. Fouad Ali El Himma et Yassir Znagui, le ministre de l’Economie et des Finances, M. Mohamed Boussaid, le ministre de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement, M. Abdelkader Aamara, le directeur de l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable, M. Ali Fassi Fihri, la directrice de l’Office national des Hydrocarbures et des Mines, Mme Amina Benkhadra, et le Président du Directoire de (MASEN), M. Mustapha Bakkoury.

Abdelkader BenbakhaledAbdelkader Benbakhaled, directeur général de Salam Gaz et membre de la Fédération de l’Energie, est le nouveau président de la CGEM région Centre (Rabat-Salé-Kénitra) jusqu’en 2018. Candidat unique, Benbakhaled a été élu jeudi 17 décembre à l’unanimité des 44 membres présents lors de l’Assemblée générale ordinaire. Il remplace Moncef Ziani, dont le mandat a pris fin. Benbakhaled sera épaulé par Imad Barrakad, patron de la Société marocaine d’ingénierie touristique (SMIT) qui devient le vice-président général.

L’Agence spéciale Tanger Méditerranée (TMSA), la société en charge du développement et de la gestion du complexe industrialo-portuaire Tanger Med, planche actuellement sur la mise en place d’un terminal GNL (Gaz naturel liquéfié) au niveau du port tangérois. Ce projet, qui sera installé à Tanger Med II (TM2), sera destiné à l’importation et le stockage du GNL pour l’avitaillement (Bunkering) des navires fréquentant tout le complexe portuaire de Tanger Med. Il vise aussi à alimenter d’autres marchés en GNL, essentiellement le secteur industriel de la région du nord-ouest du Maroc. A noter que Tanger Med II SA, la filiale de TMSA, s’apprête ainsi à lancer une étude faisabilité pour évaluer notamment l’intérêt à mettre en place une installation d’importation et une filière de distribution de GNL, en considérant à la fois les aspects économiques, techniques, environnementaux et réglementaires. Et un appel d’offres vient d’être lancé à cet effet.

L’Agence spéciale Tanger Méditerranée (TMSA), la société en charge du développement et de la gestion du complexe industrialo-portuaire Tanger Med, planche actuellement sur la mise en place d’un terminal GNL (Gaz naturel liquéfié) au niveau du port tangérois. Ce projet, qui sera installé à Tanger Med II (TM2), sera destiné à l’importation et le stockage du GNL pour l’avitaillement (Bunkering) des navires fréquentant tout le complexe portuaire de Tanger Med. Il vise aussi à alimenter d’autres marchés en GNL, essentiellement le secteur industriel de la région du nord-ouest du Maroc. A noter que Tanger Med II SA, la filiale de TMSA, s’apprête ainsi à lancer une étude faisabilité pour évaluer notamment l’intérêt à mettre en place une installation d’importation et une filière de distribution de GNL, en considérant à la fois les aspects économiques, techniques, environnementaux et réglementaires. Et un appel d’offres vient d’être lancé à cet effet.

Le groupement mené par le marocain Nareva, et composé de l’allemand Siemens et l’italien Enel Green Power, a présenté l’offre la plus compétitive pour développement du gigantesque projet éolien de 850 MW porté par l’ONEE. Les propositions financières ont été ouvertes lundi dernier. Ce consortium a présenté l’offre la plus compétitive pour remporter le lot des 5 parcs éoliens qui constituent le programme (Midelt 150 MW, Tiskrad 300 MW, Tanger II 100 MW, Jbel Lahdid 200 MW et Boujdour 100 MW). Un marché de près de 11 milliards de dirhams. A noter que plusieurs arguments ont joué en faveur de ce groupement, et principalement la clause de préférence nationale.

 

Les participants à la sixième conférence générale du Comité maghrébin de l’électricité (COMELEC) ont appelé à ce que l’intégration du système électrique régional et l’accélération de la transition énergétique dans les pays maghrébins soient le levier de la complémentarité économique et le renforcement de l’unité maghrébine.
Les participants à cette conférence, organisée durant deux jours sous le thème « L’intégration maghrébine: facteur d’accélération de la transition énergétique », ont souligné que les pays maghrébins sont invités à assurer l’intégration de leur système énergétique et à renforcer leur coopération dans le domaine des énergies renouvelables en vue de bâtir un partenariat à même de réaliser la complémentarité économique dans la région.
Ils ont relevé que la région maghrébine dispose de tous les ingrédients d’une intégration économique et sociale grâce à ses réserves en pétrole et en gaz et à ses ressources minières, précisant que ce capital l’habilite à drainer d’importants investissements étrangers, avec comme conséquence la modernisation de ses infrastructures, le renforcement de l’interconnexion, de l’intégration industrielle et du positionnement de la région en tant que trait d’union entre le Nord et le Sud.
Les experts maghrébins ont également plaidé pour le partage d’expériences entre les pays maghrébins et pour la recherche de financements pour les projets communs, en plus de la modernisation des infrastructures et la connexion des réseaux électriques avec les pays du sud.
Lors de cette conférence, les experts et professionnels du secteur ont débattu de la question de la transition énergétique dans les pays du Maghreb au regard des enjeux actuels, ainsi que des évolutions et mutations que connaît le paysage énergétique sur la scène mondiale.
Les discussions ont porté sur plusieurs thèmes, dont « Quelle vision maghrébine commune pour une valorisation optimale des ressources de la région ? », « enjeux économiques et industriels des énergies renouvelables au Maghreb », « la coopération maghrébine: clé de réussite pour une meilleure intégration régionale » et « quels leviers d’accompagnement pour une transition énergétique ? ».
Créé en 1974 à l’initiative de trois entreprises électriques de la Tunisie, de l’Algérie et du Maroc, auxquelles se sont jointes les sociétés électriques de la Mauritanie et de la Libye, le COMELEC est un cadre d’échange et de concertation entre les opérateurs nationaux de l’énergie électrique dans les cinq pays du Maghreb.

Le Maroc fait son entrée dans le groupe des leaders mondiaux en matière de protection du climat, selon le « Climate change performance index 2016 » (CCIP), publié par l’ONG environnementale allemande Germanwatch et dévoilé cette semaine à Paris, en marge de la COP21. En effet, le Royaume est désormais 10ème dans cet indice qui classe 58 pays en fonction de leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) par habitant, l’évolution de ces émissions et la politique climatique des Etats. A noter que le Maroc n’est plus devancé dans ce classement que par, dans l’ordre, le Danemark, le Royaume-Uni, la Suède, la Belgique, la France et Chypre, sachant que les 3 premières places ne sont occupés par personne « car aucun pays n’en a fait assez pour éviter les conséquences dangereuses des changements climatiques ». Le Royaume occupe même la 1ère marche du podium en matière climatique dans la catégorie des pays nouvellement industrialisés.